Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

MANDARINE - Page 22

  • l’assassin de Mélanie s’appelle Gallois ou Ghenouchi? À quand sa photo?

    Imprimer

    Il paraît qu’il y aurait des lois qui interdisent de donner le nom des mineurs délinquants et de publier leur photo. Tout comme, selon d’autres, publier les photos des djihadistes de Daech en train d’assassiner des infidèles serait de l’incitation au terrorisme. Tout comme d’autres interdisent les statistiques ethniques. Toutes ces lois sont stupides et ne servent qu’à une chose: protéger les délinquants, pour qu’on ne connaisse pas leurs origines et leur religion, afin de continuer à mentir aux Français. Et il en est de même pour les victimes, puisque dans les médias, on appelle Mélanie, la victime de Quentin, avec seulement la première lettre de son nom, un G.

    Pour revenir sur l’insupportable assassinat de Mélanie, on a constaté que les médias, cette fois, sur ordre des autorités, ont balancé le prénom de l’assassin en une demi-heure, pour leur laisser entendre que cela n’étaient pas toujours des Mohamed qui assassinent les Français. Darmanin nous avait fait le coup des Kevin et Mattéo, pour dissimuler la réalité des émeutes ethniques ayant suivi la mort de Nahel Merzouk.

    Jean Messiha a donc relayé une information qui aurait été explosive, nous apprenant que le vrai nom de l’assassin serait Ghenouchi, et qu’il serait tunisien. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, d’autres affirment qu’il s’appelle Gallois. Dans le doute, après plusieurs contacts, Jean a retiré son tweet. Mais le doute demeure. Des médias comme RTL, parlant de la famille de l’assassin Quentin, parlaient de " famille bien intégrée " dont les deux parents travaillent. Donc peut-être des " Ghenouchi".

    Sur la toile, d’autres rumeurs circulent, qui expliquent que Quentin n’aurait pas la couleur de peau d’un Gallois…

    D’autres encore ont même affirmé que ses trois premiers prénoms seraient musulmans, que le premier serait Ali, et que Quentin serait le quatrième.

    La seule solution est de mettre fin à ces lois sur les mineurs qui protègent les assassins, et de traiter ceux qui tuent comme des adultes et pour ce qu’ils sont: des criminels qu’il convient de traiter comme tels, quel que soit leur âge, et de publier leur photo et leur nom…

    Lucette Jeanpierre

  • La montée de la cryptographie post-quantique

    Imprimer

    une course discrète pour sécuriser l’avenir du numérique

    L’ombre des ordinateurs quantiques plane sur la cybersécurité. Alors que ces machines d’un nouveau genre progressent à un rythme fulgurant, elles menacent de rendre obsolètes les systèmes de chiffrement actuels d’ici 2030. Face à cette échéance, chercheurs et experts en sécurité informatique s’activent pour concevoir une nouvelle génération d’algorithmes: la cryptographie post-quantique. L’enjeu est considérable, car l’ensemble des communications numériques sécurisées – des transactions bancaires aux échanges gouvernementaux – est en péril.

    Selon les spécialistes, le temps presse. L’arrivée du " Q-Day ", ce moment où les ordinateurs quantiques pourraient briser les protections cryptographiques actuelles, pourrait survenir plus tôt que prévu. Contrairement aux ordinateurs classiques qui manipulent des bits (0 ou 1), les ordinateurs quantiques exploitent des qubits, capables d’exister dans une superposition d’états. Cette caractéristique leur confère une puissance de calcul inédite, leur permettant d’explorer simultanément un grand nombre de solutions.

    Les algorithmes de chiffrement actuels, comme le RSA (Rivest-Shamir-Adleman) ou la cryptographie sur les courbes elliptiques (ECC), reposent sur des problèmes mathématiques tellement complexes qu’un ordinateur classique mettrait un temps prohibitif à les résoudre. Mais l’algorithme quantique de Shor permettrait, lui, de factoriser de grands nombres en quelques heures, rendant ces systèmes vulnérables.

    FACE AU PERIL QUANTIQUE, DES STRATEGIES DE DEFENSE INTERMEDIAIRES

    Une menace qui n’est plus purement théorique. Des chercheurs ont récemment démontré qu’un ordinateur quantique pourrait casser un chiffrement, relançant les inquiétudes dans le monde de la cybersécurité. Selon un rapport de Gartner publié en 2024, les systèmes asymétriques actuels pourraient être compromis dès 2029 et totalement obsolètes d’ici 2034.

    Face à ces risques, la protection des données devient plus que jamais une priorité. Si la cryptographie post-quantique est en plein développement, certaines solutions intermédiaires, comme les réseaux privés virtuels (VPN), permettent déjà d’améliorer la confidentialité des communications.

    En masquant l’adresse IP et en chiffrant les échanges de données, un VPN complique toute tentative d’interception malveillante. Qu’il s’agisse de contourner la censure, de sécuriser une connexion sur un réseau Wi-Fi public ou de protéger ses échanges en ligne, son usage devient un réflexe essentiel pour de nombreux internautes.

    Si l’offre de VPN est vaste sur Windows et Android, elle reste plus limitée sur macOS, où certaines solutions ne proposent pas toujours les mêmes fonctionnalités ou protocoles de chiffrement. Cela rend d’autant plus important de choisir une option adaptée et de maîtriser son installation. Pour ceux qui utilisent un Mac, installer un VPN sur macOS à la fois efficace et fiable constitue ainsi une première étape vers une cybersécurité renforcée.

    UNE NOUVELLE GENERATION D’ALGORITHMES POUR CONTRER LA MENACE

    Selon une définition donnée par l’ANSSI, la cryptographie post-quantique repose sur des algorithmes capables de résister aux attaques quantiques tout en conservant une sécurité efficace contre les attaques classiques. Contrairement aux systèmes actuels, ces nouveaux schémas cryptographiques s’appuient sur des problèmes mathématiques réputés insolubles, même pour les ordinateurs quantiques. " La cryptographie post-quantique désigne le développement d’algorithmes capables de sécuriser les communications de machine à machine à l’ère quantique ", précise un article de DigiCert.

    LES PILIERS TECHNIQUES DE LA CRYPTOGRAPHIE POST-QUANTIQUE

    Pour concevoir des protocoles résistant aux futurs assauts quantiques, plusieurs voies sont étudiées:

        La cryptographie en treillis, exploitée par les algorithmes Crystals-Kyber et Crystals-Dilithium, qui repose sur des problèmes mathématiques complexes.

        La cryptographie basée sur le code, utilisant des techniques de correction d’erreurs pour protéger les messages.

        La cryptographie à base de hachage, qui repose sur la robustesse des fonctions de hachage, avec des solutions comme Sphincs+.

        La cryptographie symétrique, qui, grâce à des clés plus longues, pourrait résister aux attaques quantiques.

    UNE STANDARDISATION EN COURS, MAIS UN CALENDRIER SERRE

    L’été 2024 a marqué un jalon avec la validation par le NIST des premiers standards de cryptographie post-quantique. Trois nouveaux algorithmes ont été retenus: ML-KEM (ex-CRYSTALS-KYBER), pour le chiffrement et l’échange de clés et ML-DSA (ex CRYSTALS-Dilithium) pour la signature numérique. SLH-DSA (Sphincs+) constituant une solution alternative.

    "La question n’est plus de savoir si cela arrivera, mais quand. Pour les entreprises, la cryptographie post-quantique n’est plus une hypothèse lointaine, mais une nécessité stratégique immédiate", prévient un article du Journal du Net. Les cybercriminels, conscients de cet avenir inéluctable, adoptent une nouvelle stratégie, le "Harvest Now, Decrypt Later" ("récolter maintenant, déchiffrer plus tard "). Comme son nom l’indique, c’est une approche de surveillance qui consiste à collecter et conserver sur le long terme des données chiffrées, bien que celles-ci soient actuellement indéchiffrables. L’objectif étant d’anticiper de futures avancées technologiques en cryptanalyse (notamment l’arrivée des ordinateurs quantiques) qui permettraient un jour de les décrypter. Cette échéance hypothétique est désignée sous le terme Y2Q (ou Q-Day).

    La transition vers la cryptographie post-quantique dépasse la simple mise à jour technologique; elle implique une refonte stratégique. Loin d’être une menace abstraite, cette rupture impose de repenser dès aujourd’hui les standards de sécurité, sous peine de voir des décennies d’innovations balayées en un instant. La cryptographie post-quantique ne sera pas une solution définitive, mais elle représente une étape clé dans l’adaptation de la cybersécurité aux évolutions technologiques.

    Trustmy science

  • Une immigration politique financée par George Soros

    Imprimer

    The Telegraph rend compte d’une étude menée par le professeur Matt Goodwin, de l’Université de Buckingham. Selon cette étude, les Britanniques blancs passeront de 73% de la population en 2025 à 33,7% en 2200. Soit une baisse de 40%.

    Les Britanniques non blancs, les personnes nées à l’étranger ou de parents immigrés passeront de 20% en 2025 à 60,6% en 2100. Soit une hausse de 40%.

    Les deux courbes se croisent en 2070, c’est-à-dire que les allogènes rejoignent les autochtones en nombre en 2070. La tendance est continue, régulière, inéluctable.

    La population musulmane, estimée aujourd’hui à 7% pourrait atteindre 19,2% en 2100, voire 25% dans un scénario de forte immigration musulmane.

    Les grandes villes sont en première ligne. Selon le dernier recensement de 2022, Londres et Birmingham sont déjà à majorité non-blanche britannique.

    Les mêmes chiffres, à quelques nuances près, se reproduisent en France, en Allemagne, dans l’Europe de l’Ouest. Des grandes villes, des régions, perdent leur identité. Un basculement identitaire se produit. La baisse et la hausse de 40%, simultanées et réciproques, signifient un Grand Remplacement. Le changement de population est massif. Des turbulences politiques, sociales, des affrontements, des conflits, déjà présents, risquent de s’amplifier et de tourner à la guerre civile.

    Cette situation ne doit rien au hasard. Au-delà des faits numériques et sociaux incontestables, se cache une volonté politique délibérée, en lien avec l’idéologie mondialiste cosmopolite. L’immigration est au service de l’empire, d’où une mondialisation de la population.

    Dès le début des années 1970, la France fut infectée par le tiers-mondisme, complément de l’antiracisme, valorisation de tout ce qui est anti-occidental. Le tiers-mondisme exalte toutes les civilisations autres que l’occidentale, particulièrement l’islamique ou l’africaine. Après la décolonisation, est venue sa suite logique et prévue, l’immigration.

    Il fallait importer la révolution d’Afrique en Occident en faisant venir le tiers-monde dans les pays occidentaux. À cette fin, pendant la guerre froide, Moscou a programmé l’immigration comme un moyen privilégié d’affaiblir l’Occident. En France, l’ordre immigrationniste a été répercuté par le Parti Communiste et sa cohorte d’intellectuels.

    En exaltant le tiers-mondisme et en poussant à l’immigration, la révolution de Mai 68 a créé de nouveaux pauvres en Occident, mais elle a trouvé tout de suite la parade, l’alibi caritatif. Il fallait s’occuper des pauvres pour qu’ils votent "bien". Sinon, leur révolte les mènerait vers un parti hors système maçonnique, "coupable" de nationalisme, donc" coupable " de s’opposer au programme mondialiste. Des prêtres, des comiques, des films pleurnichards, les Enfoirés, l’imposture des organisations dites humanitaires, montrent l’exploitation du caritatif. Ces organisations sont toutes "du monde": "Médecins du monde", "Enfants du monde". Et leurs membres tous gauchistes et mondialistes… Pas tous honnêtes.

    La France de Pompidou choisit la voie de l’immigration. Puis en 1974-1975, Giscard et Chirac décidèrent le regroupement familial des Africains sur notre sol et le suicide familial des Français avec le divorce par consentement mutuel et la loi Veil dépénalisant l’avortement.

    Un rapport de l’ONU préconisait une immigration massive en Europe d’ici à 2050. Le terme de "remplacement" figure dans le titre de ce rapport et à l’intérieur.

    "La migration de remplacement désigne la migration internationale dont un pays aurait besoin pour compenser le déclin de la population et le vieillissement de sa population résultant de faibles taux de natalité et de mortalité".

    Le document présentait trois scénarios. Premier scénario: accueil de 5,5 millions d’immigrés entre 2010 et 2050 pour conserver en France le même nombre d’habitants. Donc diminution des Français de souche compensée par une augmentation des immigrés.

    Deuxième scénario. Conserver un rapport de trois actifs pour un retraité. D’où l’importation de 16 millions d’immigrés sur la période 2020-2040, et un grand remplacement rapide.

    Troisième scénario. Pour un rapport de 4,4 entre actifs et retraités, nécessité d’importer 93 millions d’immigrés entre 2000 et 2050. Soit près de deux millions par an.

    Il faut se résoudre à l’immigration pour sauver les retraites. Il s’agit d’un chantage, car une alternative existe, lancer une politique nataliste en Europe. Mais ni l’ONU, ni le gouvernement français, ni les démographes n’ont envisagé ce remède, même pas comme hypothèse. La politique nataliste en Europe n’a pas été évoquée, sur décision idéologique.

    Le malthusianisme a été imposé au Nord quand l’explosion démographique touchait le Sud. Le suicide démographique du Nord a été orchestré et planifié. Le transfert ethnique par l’immigration massive a été concerté et mis au point. L’excès du Sud s’est déversé dans le manque ainsi créé au Nord. Les migrations sont déterminées par la sociologie et par l’économie. Mais la démographie dépend aussi et surtout de la politique.

    Les élites ne peuvent plus nier la délinquance et la criminalité liée à l’invasion migratoire, alors elles nient l’ampleur de l’immigration, elles minimisent les chiffres. La vraie question est la suivante: Combien y a-t-il d’individus issus d’ethnies nord africaines et sub-sahariennes en Europe? Personne ne répond car le recueil des données statistiques a été interdit en France. Finalement, on a laissé s’installer un communautarisme de fait.

    Autre ligne de défense du négationniste démographique: les migrations massives résultent de la pression démographique dans le Sud, associée à l’insuffisance des moyens de subsistance. C’est donc inéluctable, c’est une obligation. On reprend le sens de l’histoire: les migrants cherchent un espace vital, comme Hitler pour le peuple allemand. On revient à l’explication de Malthus: la population s’accroît en progression géométrique et les subsistances en progression arithmétique.

    L’émigration du Sud vers le Nord est donc la seule solution possible.

    Mais la politique d’immigration en France a été conçue vers 1973. La première conférence internationale sur les populations a eu lieu en 1974, à Bucarest. A cette époque, l’Europe renouvelle encore à peu près ses générations. L’Europe comptait 675 millions d’habitants et l’Afrique 400. Il y avait 1,7 Européen pour 1 Africain. De nos jours, l’Europe compte 745 millions d’habitants et l’Afrique 1 milliard et 320 millions. Il y a 0,6 Européen pour 1 Africain (chiffres de Martin Pelletier).

    Il a été décidé en 1974 qu’un continent vide remplisse un continent plein. Une politique nataliste appropriée aurait pu rendre à l’Europe la vitalité nécessaire et éviter son vieillissement. Mais on ne l’a pas voulu.

    L’immigration de masse vise certains pays, les pays d’Europe de l’Ouest, le Canada, les Etats-Unis. Elle en épargne d’autres: la Chine, le Japon, l’Arabie saoudite. La Révolution oppose Blancs et non-Blancs. Le monde occidental est ciblé prioritairement.

    Cette politique d’immigration, voulue et organisée de longue date, coûte très cher. Elle est financée par des milliardaires, comme George Soros, issu de la bourgeoisie juive de Hongrie, à la tête de l’Open Society Foundations, né en 1930. Georges Soros met des milliards à la disposition de son combat révolutionnaire. La complicité avec les élites néoconservatrices et démocrates le rend efficace et dangereux. Une opération de guerre est menée ouvertement, par le fascisme, la synarchie, la révolution, l’empire.

    La "Société ouverte" est un élément clé de l’idéologie de Soros et des actions promues en faveur de l’immigration. Ce concept de "Société ouverte", repris à Karl Popper, philosophe autrichien naturalisé britannique (1902-1994), implique la mort des Etats-nations et leur dissolution dans un creuset, un melting pot, mêlant tous les peuples, toutes les civilisations, toutes les cultures et toutes les religions sous l’égide d’un Gouvernement Mondial.

    Lire la suite