Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

MANDARINE - Page 25

  • Murielle à la rue après sa maison incendiée

    Imprimer

    elle n’a que 3 gosses et n’est pas voilée…

    Le feu a tout brulé: même les papiers d’identités

    Ah, si seulement Murielle était voilée, avec au moins 8 gosses… elle cocherait bien plus de cases…

    Des logements pour les migrants illégaux (même dangereux!), on en trouve à gogo, toutes affaires cessantes, y compris en réquisitionnant hôtels, édifices religieux (seulement chrétiens!), châteaux, résidences secondaires inoccupées… tant il est important et urgent de secourir toute la misère du monde pour nos bonnes âmes gauchistes prétendant détenir le monopole du cœur!

    "TOUTE LA MISERE DU MONDE",

    vraiment?

    Pas tout à fait exact, car il semblerait, et les exemples sont nombreux, que le fait d’être citoyen français (de naissance ou de cœur) se révèle scandaleusement de nos jours être un gros handicap car le seul privilège que l’on puisse en retirer, si j’ose dire, c’est d’être automatiquement taxé de racisme, fascisme et extrême droite… (même si l’on vote précisément dans un isoloir les jours de scrutins!), et encore plus grave, blanc; ce qui fait qu’en aucun cas nous ne sommes prioritaires en quoi que ce soit, bien au contraire!

    En résumé, pour ceux qui ne veulent toujours rien voir, rien entendre, rien comprendre: une grande majorité d’élus se révélant depuis des décennies, au minimum de fieffés grigous, bien plus véloces pour gérer leurs affaires personnelles que pour exécuter avec soin leurs promesses électorales (quel que soit le mandat revendiqué!) font précisément l’inverse en soutenant carrément des horreurs (viols, égorgements…) dès lors qu’elles sont le fait d’opposants aux riches valeurs morales de la France qu’ils trahissent sans vergogne!

    Le malheur veut qu’ils soient donc toujours vent debout devant la prétendue richesse des envahisseurs, dans lesquels ils supputent de futurs électeurs, en remplacement d’autochtones, de plus en plus nombreux, votant forcément extrême droite, selon les médias à leur botte.

    Ces crétins n’ayant toujours pas compris que leurs petits protégés, pour la plupart ne sont pas venus se réfugier en France, fuyant leur pays devenu dangereux (!!!???), mais bel et bien pour l’envahir par leur nombre sans cesse grandissant, et se l’accaparer en chassant les réfractaires à leurs coutumes arriérées et inhumaines qu’ils ont bien l’intention de reproduire dans leur nouveau pays!

    Heureusement certains se comportent correctement envers la France, mais ils sont de plus en plus minoritaires et donc sans intérêt pour les dirigeants actuels, au souhait identique de saccage de cette France à qui ils doivent tant, mais qu’ils haïssent sans autre raison que leur bassesse et vilenie!

    Exemple à la clé, ce fait divers qui ne devrait pas en être un, s’il restait encore suffisamment d’élus honnêtes et justes, mettant immédiatement en œuvre tous les rouages qu’ils activent pour protéger et défendre leurs amis d’ailleurs, majoritairement si peu recommandables, chaque fois que besoin est… c’est-à-dire en permanence; car précisément ici, c’est une citoyenne française qui se retrouve à la rue, avec ses trois enfants, après l’incendie de sa maison, dans le silence assourdissant de tous ceux qui se prétendent meilleurs que les sales racistes de patriotes!

    C’est un cri de détresse. Celui de Murielle, une habitante de Quimper (Finistère), qui a tout perdu lors de l’incendie qui a touché la maison dont elle est locataire. Les faits ont eu lieu, jeudi 15 mai 2025, rue Abalor.

    " On se réveille et il n’y a plus rien, déplore Murielle, mère de trois enfants. Selon les expertises, seuls deux bureaux pourraient être sauvés sur toute la maison. "Une catastrophe".

    Depuis ce drame, elle est hébergée à l’hôtel. "C’est l’assurance qui prend en charge les nuitées. À chaque fois, on doit changer de lieu. Avec mes enfants, nous sommes aujourd’hui séparés: mes deux aînés dorment à droite et à gauche, loin de moi. Cette situation est extrêmement difficile à vivre, pour eux comme pour moi".

    Pire, samedi prochain – le 31 mai 2025 – cette solution d’hébergement sera terminée. Elle se retrouvera à la rue.

     

    https://www.ouest-france.fr/faits-divers/incendie/je-veux-un-toit-pour-mes-enfants-a-la-rue-a-cause-dun-incendie-cette-maman-appelle-a-laide-6bdb7ada-3ad7-11f0-b71a-e87c40f434be

     

    Si elle cherche un toit et des lits pour mettre ses enfants à l’abri, Murielle ne demande pas l’aumône, elle veut juste un endroit à louer, où ses enfants et elle pourront se reconstruire après ce drame qui a vu partir en fumée absolument tout ce qui faisait leur vie, y compris les papiers d’identité…

    Elle martèle, paraissant n’être entendue par aucun(e) du clan des habituels donneurs de leçons et distributeurs de bons et mauvais points de conduite (la leur étant hors compétition!):

    "Je ne demande pas la gratuité. Je suis employée à la mairie de Quimper. J’étais locataire depuis dix ans dans cette maison, j’ai toujours payé mes loyers, toujours pris soin du logement. Je demande aujourd’hui simplement qu’un propriétaire accepte de me faire confiance pour un relogement temporaire, le temps que les travaux soient faits. "

    Financièrement, elle assure pouvoir supporter un loyer "jusqu’à 800 €, en me serrant la ceinture pour retrouver mes fils ".

    C’est dire que cette femme qui attend juste que quelqu’un lui tende la main n’a aucunement l’intention de vivre aux frais des contribuables, à l’inverse précisément de tous ces envahisseurs aux mains tendues pour exiger d’être pris en charge pour tout, avec, en guise de remerciements, insultes, crimes et une totale indifférence à la souffrance qu’ils imposent à ceux qui leur viennent en aide sans aucune reconnaissance… au nom d’une fausse revanche sur l’ex colonisateur qui pourtant leur a apporté bien plus de bien que de mal!

    PETIT RAPPEL AUX AMNESIQUES DE LA BIEN-PENSANCE:

     

    https://www.youtube.com/watch?v=aGBuTydNyhg

    Avez-vous vu ou entendu, venu pérorer et palabrer au JT du soir, un seul élu s’étant précipité sur place (comme d’aucuns au chevet d’une racaille blessée!) pour venir soutenir cette famille dans le besoin, pour lui assurer immédiatement une solution de secours, en attendant mieux???

    Moi pas!

    Et comme toujours, si pour sauver la nature, ou encore l’équilibre budgétaire mis à mal par les charlots qui nous gouvernent, la réaction est d’appeler TOUS les citoyens à mettre la main à la poche, du moins les contribuables, pour Murielle, aucune réaction humaine des prétendus experts en la matière!

    Du coup, ce sont les vrais humanistes, discrets, ne portant pas leurs bonnes actions en bandoulière, qui se distinguent, pendant que les gorets habitués à se goinfrer aux frais du peuple sont une nouvelle fois aux abonnés absents.

    Que l’on me donne la preuve du contraire si je me trompe…

    Bouleversés par la situation que vit Murielle, ses collègues de travail ont mis en place une cagnotte: Aidons Mumu.

    Sur celle-ci, il est possible de faire un don afin d’aider financièrement la famille. " Je n’étais pas au courant de cette démarche, témoigne-t-elle, très émue. Tout le soutien que j’ai reçu, les très beaux messages, ça me fait chaud au cœur et me réconforte. Ce sont des personnes formidables".

     

    https://www.onparticipe.fr/c/AJC9khFv

    En attendant de pouvoir un jour régler enfin nos comptes avec les mafieux qui (directement ou non) mènent la France à la ruine totale, faisons en sorte, quand c’est possible, d’aider nous-mêmes ceux des nôtres qui en ont besoin.

    Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

     

  • Histoire de dingue à l’Assemblée…

    Imprimer

    Joachim “Eva” Son-Forget, ex-député ayant fait une transition de genre, s’introduit dans des bureaux, vide un minibar et vole des robes à l’élue RN Manon Bouquin

    Une histoire de dingue à l’Assemblée. Eva Son-Forget s’est introduite ce dimanche 25 mai dans la chambre de Manon Bouquin, députée Rassemblement national (RN) de l’Hérault, au 101 rue de l’Université, dans le VIIe arrondissement de Paris.

    L’immeuble, qui appartient à l’Assemblée nationale, abrite les bureaux de nombreux parlementaires et fait aussi office de résidence avec chambres à coucher. Comme ancienne députée, Eva Son-Forget (sous la bannière de La République en marche, entre 2017 et 2022, élue sous le nom de Joachim Son-Forget, avant d’annoncer sa transition de genre en 2024) y a toujours accès avec son badge, dont elle s’est servie pour accéder à l’accueil, désert le week-end, où Manon Bouquin avait laissé les clés de sa chambre. Elle y aurait passé plusieurs heures et en serait sortie après avoir vidé le minibar qui contenait des jus de fruits, de l’eau et de l’alcool, et emportant avec elle deux robes et une vestes laissées par l’élue d’extrême droite, pour que les services de l’Assemblée les portent au pressing.

    Contactée, l’élue RN confirme les informations de Libé, qu’elle a elle-même apprises ce mercredi 28 mai, par les services de la résidence, qui l’ont également informée du dépôt d’une plainte. Un collaborateur d’élu aurait vu, le lundi matin, Son-Forget se faire courser par la sécurité du bâtiment. Contactés, les services de l’Assemblée n’avaient, mercredi après-midi, pas répondu à nos relances. Egalement joint, l’avocat de l’ex-LREM, Sipan Ohanians.

    Libération

  • URGENCE

    Imprimer

    3 h 47 du matin. Votre téléphone vibre.
    La voix de votre mère tremble au bout du fil:

    " Mon chéri... j'ai… mal à la poitrine... je ne sais pas… quoi faire... "

    Vous vous redressez d'un coup dans vos draps. Votre cœur s'emballe.
    Elle habite à 200 kilomètres. Seule.

    – Maman, appelle ton médecin tout de suite!

    – Il n'y en a plus... Docteur Mercier a fermé… le mois dernier...

    Le vertige vous prend. Votre mère, 73 ans, au milieu de la nuit, avec cette douleur qui lui coupe le souffle. Et vous, à des centaines de kilomètres, incapable de l'aider.

    Qui appeler? Où l'envoyer? Les urgences les plus proches sont à 50 kilomètres, avec 6 heures d'attente...

    L'angoisse. Ne pas pouvoir sauver quelqu'un qu'on aime. 

    Dans le pays de Pasteur.
    Dans le pays où la Sécurité sociale est née pour que chacun puisse se soigner sans mendier.
    Dans le pays qui s’est relevé des ruines de la guerre en garantissant des soins gratuits pour tous.

    Cette menace pèse sur des millions de Français, 6 millions de Français n'ont plus même de médecin traitant. 

    Dans les déserts médicaux, il faut parcourir 250 kilomètres pour enfin voir un dentiste qui accepte de nouveaux patients… Plus de deux mois d'attente pour un cardiologue… Et même 9 mois ou un an pour un dermatologue, quand c’est encore possible… La moitié des maternités, fermées en 30 ans… Des urgences bondées… Nos anciens, abandonnés…

    Nos grands-parents trouvaient un médecin au coin de la rue.
    Nos enfants doivent traverser trois départements.

    Nos campagnes sont même contraintes de faire appel à des "médicobus" pour remplacer les médecins absents, comme en brousse africaine…

    Aujourd’hui en France, le système de santé est-il devenu celui d’un pays sous-développé?

    L’HOPITAL PUBLIC EST A L’AGONIE

    En région parisienne, l’AP-HP a perdu 627 infirmiers, rien qu’en une seule année (2022). Et l’hémorragie continue.

    De plus en plus de services doivent fermer la nuit, faute de personnel.

    " Il y a des nuits où une seule sage-femme est présente, contre quatre normalement ", témoigne l'Ordre des sages-femmes. 

    Imaginez cette soignante, seule, face à tous les accouchements de la nuit, à travailler pour 4, sans pause. On se croirait en temps de guerre.

    La quasi-totalité des soignants (96 %) souffrent de fatigue intense au travail. 57 % ont connu la dépression ou le burn-out!

    Le résultat fait froid dans le dos.

    CHAQUE JOUR, AU MOINS UN PATIENT MEURT DANS LE COULOIR DE L’HOPITAL, PARCE QU’IL NE PEUT ETRE PRIS A TEMPS!

    Et attention: ces décès concernent des patients ne présentant initialement aucun signe de gravité ou dont l’état aurait pu évoluer rapidement. 

    Oui, aujourd’hui, les services d’urgences deviennent dangereux pour les patients!

    Et quand ce n’est pas la mort, c’est l’humiliation.

    À Langres, en Haute-Marne, en octobre 2024, Gérald, 53 ans, a été hospitalisé… dans le garage de l’hôpital, dans un bruit assourdissant!

    Voilà où en est notre hôpital public. Il faut immédiatement sauver nos soignants et nos hôpitaux, c’est littéralement une question de vie ou de mort!

    Les plus faibles d’entre nous sont les premiers touchés: 

    • Les maternités ferment: les femmes enceintes doivent accoucher toujours plus loin, au péril de leur vie et de celle de leur enfant. Alors qu’en Europe la mortalité infantile baisse, en France, elle augmente depuis une quinzaine d’années!
    • Les soins palliatifs manquent partout: certains sont tentés par le choix terrible de l'euthanasie car ils ne peuvent pas être soulagés correctement.
    • Le vieillissement explose, les structures manquent. Des cas de maltraitance se multiplient. Les services gériatriques s'effondrent. Les personnes âgées finissent oubliés dans des couloirs d'hôpital.

    SOS HÔPITAL!
    Ne laissons pas mourir notre système de santé!

    Chaque jour, au moins un patient meurt dans le couloir de l’hôpital!?

    Prenons exemple sur la Suisse, l’un des systèmes de santé les plus performants du monde.
    Aux Pays-Bas, des "  maisons de santé " accueillent 24h/24 les patients non graves, désengorgeant les hôpitaux.
    Ils ont relevé leur système de santé. Pourquoi pas nous?

    SIGNEZ LA PÉTITION!

     

    Notre souveraineté sanitaire est brisée

    La France subit des ruptures de médicaments en cascade.

    En 2023, l'Agence nationale de sécurité du médicament a enregistré 4 925 signalements de ruptures ou risques de rupture de stock, soit une augmentation de 31 % en un an.

    Nous sommes donc en dépendance grave aux chaînes d'approvisionnement étrangères. Pendant le Covid, nous avons découvert avec effroi que la France ne savait même plus fabriquer des masques…

    Résultat: en 2024, 39 % des Français ont été confrontés à une pénurie de médicaments, et 35 % d'entre eux n'ont pas trouvé d'alternative thérapeutique, selon une étude.

    Il y a quelques jours, le Doliprane, médicament le plus prescrit en France, a même été vendu aux Américains…

    Un pays qui ne maîtrise plus ses médicaments essentiels n'est plus souverain.

     LA BUREAUCRATIE: LE CANCER QUI RONGE NOTRE SYSTEME DE SANTE

    Asphyxiés par la paperasse, les soignants n’ont plus le temps de soigner! Ils passent des heures à remplir des dossiers, justifier chaque acte, répondre à des normes kafkaïennes… pendant que les patients attendent. Et c’est pareil pour les médecins généralistes.

    L’hôpital est devenu une machine bureaucratique où les décisions se perdent dans la hiérarchie, où chaque innovation doit franchir une montagne de procédures, et où le temps de soin est grignoté chaque jour un peu plus. 

    Nous ne voulons pas d’un hôpital géré comme une entreprise de reporting. Nous voulons des médecins qui soignent, pas des infirmières croulant sous la paperasse.

    LES VRAIS RESPONSABLES DE CE DESASTRE 

    Pendant des décennies, l'État a volontairement bridé la formation de médecins avec le numerus clausus. Les politiques savaient mais ont tardé à réagir. Une erreur criminelle dont nous payons le prix aujourd'hui. Pendant que nos facultés de médecine refusaient des milliers d'étudiants brillants, on savait déjà que les générations de médecins partiraient massivement à la retraite.

    Résultat: nous importons aujourd'hui des médecins formés à l'étranger, exactement comme font les pays pauvres incapables de former leurs propres élites.

    Les ARS – ces Agences Régionales de Santé – ferment nos hôpitaux de proximité depuis leurs bureaux, en totale déconnexion d'avec le terrain. La grande machine administrative décide du sort de nos maternités à coups de tableaux Excel.

    Quarante ans de mauvais choix: fermetures d'hôpitaux ruraux, sous-financement chronique, bureaucratisation à outrance. L'hôpital français est étouffé par une administration pléthorique pendant que les vrais soignants craquent.

    Et pour couronner cette gestion désastreuse: 1,2 milliard d'euros donnés chaque année pour soigner les clandestins par l’Aide Médicale d’État – sans parler de la fraude à la carte Vitale qui atteint des sommets –, pendant que les Français renoncent aux soins faute d'argent!

    ILS ONT CASSE LE SYSTEME DE SANTE FRANÇAIS.

    Maintenant, ils vous demandent de payer toujours plus cher pour des soins toujours plus rares, alors que des étrangers se font soigner à vos frais!

    SIGNEZ LA PÉTITION !

     Il est temps de reconquérir notre santé 

    Cette spirale mortifère doit s'arrêter.

    Il ne s’agit pas seulement de santé. Il s’agit de justice, de dignité.

    Notre système de santé est en train de s’effondrer. 

    C’est pourquoi en signant cette pétition nous exigeons de tous les élus locaux et nationaux de se battre pour:

    1. Première urgence: mettre fin aux déserts médicaux. Recruter 1000 médecins salariés par l'État dans les déserts médicaux. Rouvrir des services hospitaliers de proximité: maternités, urgences, soins palliatifs. Que les femmes qui vont accoucher n'aient plus à faire 100 kilomètres, que nos grands-parents puissent finir leur vie dignement près de chez eux.
    2. Deuxième priorité: sauver l'hôpital public en recrutant 40 000 nouveaux personnels hospitaliers. Rendre le métier attractif en limitant l’administratif au maximum. Privilégier les soins plutôt que la rentabilité en modifiant la tarification à l’activité dans les hôpitaux. 
    3. Troisième action: reconquérir notre souveraineté sanitaire. Plus jamais dépendre de pays étrangers pour le paracétamol de nos enfants. Relocaliser la production des médicaments essentiels sur notre sol. Mettons fin aux pénuries de médicaments dans nos pharmacies.

    La France qui soigne plutôt que celle qui gère la pénurie 

    Imaginez: votre mère peut à nouveau voir un médecin dans l'heure. Votre fille accouche dans une vraie maternité, pas dans un couloir d'hôpital. Votre père âgé reçoit des soins palliatifs dignes, apaisé, entouré des siens.

    Imaginez: nos étudiants en médecine n'émigrent plus au Canada faute de places. Nos infirmières ne craquent plus, épuisées par la surcharge. Nos pharmaciens ne vous disent plus " désolé, rupture de stock ".

    Cette France-là est possible. À condition d’agir ensemble.

    Signez cette pétition, pour dire: nous ne laisserons pas notre système de santé mourir en silence.

    Signez pour vos proches. Signez pour vous. Signez pour tous ceux qu’on n’écoute plus.

    La santé des Français d'abord. Toujours.

    Signez et partagez maintenant.