L'histoire de France falsifiée: la vérité (25/06/2025)

Le spectacle historique "Murmures de la Cité " doit avoir lieu, malgré la CGT et la gauche

Les 11, 12, et 13 juillet 2025, à Moulins, dans l’Allier, divers organismes présenteront un spectacle historique retraçant 2 000 ans d’histoire, à travers des tableaux vivants et des costumes d’époque. Un divertissement populaire intitulé " Murmures de la Cité", un projet qui s’inspire du Puy du Fou.

L’Union Départementale CGT de l’Allier, donc la gauche, sonne l’alerte. Une opération politique de grande ampleur se prépare, une opération d’entrisme idéologique menée par des réseaux d’extrême droite. Une machine à nostalgie réactionnaire où l’Histoire est réécrite au service d’un récit nationaliste, patriarcal et clérical. Un imaginaire idéologique où les rapports sociaux sont gommés, où les luttes ouvrières sont invisibilisées, où la domination masculine, religieuse catholique intégriste, réactionnaire et identitaire devient "tradition".

Murmures de la Cité, c’est la culture comme outil de conditionnement. C’est la diffusion douce d’un discours politique fondé sur le rejet de l’autre, le retour à un ordre moral autoritaire, et le culte d’une France fantasmée.

L’objectif est clair: faire du Bourbonnais un laboratoire culturel d’embrigadement. La fachosphère s’agite en ligne pour défendre bec et ongles cette opération. Ils appellent les " patriotes " à venir défendre leur spectacle. Qu’ils viennent. Nous serons là. Et nous ne reculerons pas.

La CGT défend une culture populaire, critique, vivante. Une culture qui éclaire, qui libère, qui construit l’émancipation. Pas une culture de vitrines, pas une Histoire maquillée à la sauce identitaire.

En résumé, la restitution du passé, le récit de l’Histoire de France, le patriotisme, deviennent des délits, voire des crimes, et sont interdits. La gauche se réserve le droit d’affronter physiquement et les promoteurs du spectacle historique et les spectateurs.

Pourtant, l’histoire gauchiste, l’histoire officielle n’est pas une science, mais un instrument de propagande. Les erreurs qu’elle propage sont des mensonges culturels commis en conscience.

L’histoire officielle est un mensonge généralisé. Tout ce qui est dit aujourd’hui est trompeur, à commencer par l’emploi d’un vocabulaire qui désigne en général l’inverse de ce qu’il est censé signifier. Le vocabulaire moderne est une inversion généralisée.

La propagande maçonnique porte le nom d’Histoire. Les cerveaux ont été décervelés par la faute des loges. Et le contemporain croit en l’histoire officielle et refoule l’histoire non conformiste.

L’homme actuel est persuadé que le monde moderne est un progrès et que la Révolution lui a apporté la liberté. Il rejette le passé et croit au nouveau, sans savoir que ce "nouveau" est fort ancien.

Nous vivons la civilisation du mensonge démocratique. Le politique moderne ne sert pas le peuple, car la Démocratie est aux mains des forces occultes, la Franc-Maçonnerie et la Finance apatride.

Le mensonge culturel sur le religieux couvre cette imposture politique, à savoir la prétention rationnelle de la philosophie moderne. Le religieux, ou la transcendance est considéré comme irrationnel, alors le rationalisme moderne est irrationnel. L’Humanisme de la Renaissance n’a pas établi la raison, il l’a perdue en faisant primer la raison humaine sur la raison divine ou transcendantale. Le monde moderne, fondé sur ce rationalisme, est un échec. Les Temps modernes sont les plus meurtriers de toute l’histoire de l’humanité.

Il n’y a pas d’un côté le culturel, de l’autre côté, le politique, et séparé d’eux le religieux. Le marxisme a imposé sa vision matérialiste de l’Histoire. Pourtant, toute l’Histoire est religieuse, elle se résume à la lutte de l’Adversaire contre le Dieu de la Bible.

Pour l’Histoire officielle, le Moyen Âge, les dix siècles qui courent du Ve au XVe siècle, représenteraient une coupure dans le progrès de la Civilisation. La redécouverte de la culture antique au XVe siècle marquerait un nouveau départ dans une Civilisation qui aurait connu dix siècles d’interruption. La Renaissance serait la redécouverte de l’Antiquité païenne au XVe siècle, une résurgence de la raison après un Moyen Âge "obscur".

L’expression "les ténèbres du Moyen Âge" a son origine dans l’hostilité des premiers Humanistes à l’égard des anciennes générations. Le terme de Moyen Âge est né un siècle avant la Révolution. Jacques Heers, historien français écrit:

"L’inventeur en fut le savant allemand, Christophe Keller, dit Cellarius, absolument pas historien".

Le mot doit ensuite sa gloire aux historiens protestants. Puis l’expression est reprise par les philosophes des Lumières. Les historiens francs-maçons du XIXe siècle créent le mythe du Moyen Âge. Il s’agit pour eux d’abaisser la civilisation de l’Occident chrétien, d’en faire une époque de "ténèbres", "d’obscurantisme", entre deux époques "lumineuses", le paganisme antique et le paganisme "renaissant ".

En dehors de la haine anticatholique, rien ne justifie l’appellation péjorative de Moyen Âge. Aujourd’hui, les affabulations des Michelet, Augustin Thierry, répétées par les freudo-marxistes du XXe siècle sont réduites à néant par les études récentes, notamment Régine Pernoud (1909-1998), et Jacques Heers (1924-2013).

L’idée d’une Renaissance mettant fin à un Moyen Âge apparaît véritablement dans l’Encyclopédie, puis est vulgarisée après la Révolution, vers 1820-1850. Le mot Renaissance fleurit d’abord dans la littérature, ainsi avec George Sand, socialiste antichrétienne, avec Eugène Sue, apologiste errant, avec Balzac, royaliste initié à l’illuminisme. Puis le mot Renaissance reçoit l’onction scientifique, avec les imposteurs de l’Histoire, John Ruskin, écrivain britannique (1819-1900), et surtout Jules Michelet (1798-1874). Michelet est l’un des plus grands falsificateurs de l’Histoire, propagateur de la légende noire du Moyen Âge, inventeur d’une histoire mythique de la Révolution. Il a fait croire que le peuple a pris la Bastille. Et Jacob Burckhardt, historien suisse (1818-1897). Tous sont des francs-maçons.

En opposant la Renaissance au Moyen Âge, les fils de la Révolution jettent le discrédit " sur toute forme de spiritualité et particulièrement ici sur la spiritualité chrétienne ", écrit Jacques Heers.

Pour les fils de la Révolution, la Renaissance est un retour à la civilisation, parce qu’elle marque "un abandon intelligent des dévotions traditionnelles". À l’idée d’humilier le christianisme, " Stendhal le révolté, qui se déclarait athée et jacobin, ne cessait d’applaudir ". George Gordon Byron, Stendhal, Victor Hugo, tous initiés, se passionnent pour la Renaissance, parce que cette époque est " en opposition avec l’obscurantisme médiéval".

Le mythe de la Renaissance a la vie dure pour son anti-christianisme. Mais les fictions des imposteurs qui se prétendent scientifiques sont passées jusqu’aux dictionnaires et aux livres scolaires. L’histoire officielle est soumise aux diktats des loges maçonniques et aux prébendes de la Finance apatride, ces forces occultes qui haïssent la civilisation occidentale devenue chrétienne. C’est bien cette haine qu’on retrouve dans la posture de la CGT et de la gauche, qui veulent interdire par la force une manifestation historique. La CGT et la gauche défendent l’histoire écrite par la Franc-Maçonnerie.

Faire croire à une Renaissance relève d’un conformisme maçonnique. Cela sert à justifier la dictature politique des loges et l’exploitation des peuples par la Démocratie.

La " culture " est mise au service d’une guerre de religion contre le christianisme. En dénigrant l’Occident chrétien avec l’invention d’un Moyen Âge, la Franc-Maçonnerie fait croire à une Renaissance " lumineuse " mettant fin à ce Moyen Âge "obscur", afin de préparer les esprits à " la solution finale ", l’éradication de la tradition chrétienne, avec pour conséquence, la mort de la civilisation occidentale, pour ne pas dire de la Civilisation.

La Renaissance ne peut pas signifier une renaissance de la civilisation en Occident parce que la civilisation n’y est jamais morte. La Renaissance du XVe siècle est décadente par rapport à l’apogée occidental du XIIIe siècle. Elle n’est pas un progrès puisqu’elle rompt avec les Temps féodaux. Elle est une mode de l’Antiquité, une passion pour l’Antiquité. Elle ne fait pas revenir la raison de l’Antiquité, mais l’irrationnel de l’Antiquité.

La Renaissance du XVe siècle n’est pas la redécouverte de l’Antiquité grecque et latine, parce que ces cultures n’ont jamais été perdues pendant les Temps féodaux.

L’histoire officielle ment. La Renaissance n’est ni une renaissance de la Civilisation, ni une redécouverte de l’Antiquité, ni une victoire de la raison, après un Moyen Âge " obscur ".

La Renaissance n’est pas un progrès, mais une régression. La Renaissance est une résurgence de la gnose, c’est-à-dire un retour à l’obscurantisme.

La Renaissance est une imposture, parce qu’il n’y a pas de Moyen Âge, et surtout parce qu’elle est une seconde naissance de la gnose, connaissance supérieure des mystères de la religion, réservée à des initiés.

Tout ce qui est dit dans les manuels scolaires est faux. Le conformisme contemporain repose sur des fictions culturelles. Les mots disent le contraire de la réalité. Quand la CGT et la gauche parlent de culture des vitrines et d’Histoire maquillée, on peut leur retourner le compliment, preuves à l’appui.

La Révolution n’a pas été le fait du peuple, le peuple aimait son roi et son curé. Aucune émeute n’a été spontanée. En réalité, le peuple est victime d’une crise économique. Le revenu foncier a augmenté alors que les ressources des brassiers, des métayers, des fermiers et des petits propriétaires ont diminué. À la suite des mauvaises récoltes de 1788, les petits propriétaires, qui cultivent les terres des paroisses pour compléter leur revenu, se soulèvent. Le duc d’Orléans a spéculé contre le cours des céréales. Peut-on parler de spontanéité?

La disette jette sur les routes des hordes de miséreux qui font des incursions dans Paris, après avoir pillé les faubourgs. En août 1788, un illuminé allemand, dénommé Karl, avine et paie des bandes avec l’argent du duc d’Orléans. Peut-on parler de spontanéité ?

À la suite de la fermeture de petites manufactures, il y a des troubles. Une émeute est financée par CERF BEER, le complice de l’affaire du collier de la reine, philanthrope juif alsacien (1726-1793).

Selon Octave Aubry, historien français (1881-1946), l’Angleterre " soudoie à caisse ouverte de nombreux agitateurs " … et " s’emploient contre le gouvernement le duc d’Orléans et les factions dont il est entouré, les groupements avoués ou occultes qui se voient près de leur but ".

Réveillon, manufacturier honnête, refuse l’argent qu’on lui offre pour soulever ses cinq cents ouvriers. Sa maison est pillée et brûlée. Santerre accepte, il commandera les tambours de l’exécution de Louis XVI.

La disette et les émeutes ont été organisées. Ni les pauvres, ni les ouvriers ne se sont révoltés contre le roi. Les tentatives de soulèvement du peuple français ont toutes échoué.

Le 14 juillet 1789, ce n’est pas le peuple français qui prend la Bastille. La foule est constituée d’une horde de brigands et de mercenaires, " une troupe d’infortunés, la plupart allemands et provinciaux ", écrit Marat dans ses Mémoires. Ils ont été recrutés, excités de vin et de paroles par Camille Desmoulins. Sept privilégiés sont reclus à la Bastille. Le peuple de Paris assiste en badaud à la boucherie. Les images d’Épinal feront de lui l’acteur de ce haut fait. Michelet et Louis Blanc ont inventé le reste. Sans la Maçonnerie, l’événement n’aurait pas eu lieu, n’aurait pas été mythifié.

La séance du la nuit du 4 août 1789, abolition des privilèges, est émaillée d’interruptions. Elles servent à convaincre les récalcitrants, y compris en les saoulant.

La Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790, une tromperie, dont La Fayette est l’organisateur. L’office est célébré par Talleyrand, de la loge les Francs Chevaliers de Paris.

Le 10 août 1792, un faux historique. Les Tuileries sont attaquées par des mercenaires étrangers mêlés à un groupe de forçats libérés du bagne de Toulon et appelés à tort les " Marseillais ".

La bataille de Valmy, une parodie. Dumouriez et Kellermann y remportent une victoire symbolique, offerte par leurs frères généraux prussiens, pour la gloire de la Révolution et de la République.

Le procès de Louis XVI devant la Convention, un simulacre entaché d’irrégularités.

La Convention s’abreuve de sang. Fouché y commence sa carrière comme boucher de Lyon. Kléber et Marceau étripent les populations civiles en Vendée. De tels procédés se répéteront dans l’histoire. La Maçonnerie n’est pas innocente, même si certains francs-maçons sont victimes de la Révolution qu’ils ont mise en route.

La CGT et la gauche prohibent et censurent cette Histoire. Eux font preuve d’entrisme idéologique, réécrivent l’Histoire au service d’un système, diffusent un discours politique dogmatique, dominent la pensée, une pensée unique politiquement correcte. Leur culture dite populaire est une fausse culture, une culture abêtissante et abrutissante. Leur culture dite vivante est une culture de mort. Leur culture dite critique interdit toute critique. Leur culture qui éclaire, assombrit et obscurcit la vie. Leur culture qui libère asservit l’humanité. Leur culture qui construit l’émancipation emprisonne les esprits. L’ordre moral autoritaire, la réaction, la régression, la violence, ce sont la CGT et la gauche. La fachosphère et l’extrême droite, ce sont la CGT et la gauche.

Ils détruisent tout, la nation, le patriotisme, la famille, les identités, l’ordre naturel, l’économie, avec la plus grande intolérance et avec la plus grande brutalité, soutenus par une justice partisane et partiale.

L’instrumentalisation de la morale et de la pensée, l’instrumentalisation de la science sous la figure de l’expert, jouent un rôle capital dans l’obéissance des masses. Ces masses sont amenées à reconnaître la légitimité d’élites perverses, et non plus la légalité de leur pouvoir.

Le clivage propre au discours idéologique exprime la domination d’une élite malveillante et satanique sur les masses. Le volontarisme, le déni du réel, confortent le pouvoir et la légitimation morale de la classe dominante. La dénonciation de l’identité, de l’ethnocentrisme de la nation est enseignée comme une norme éthique aux masses.

Ceci a pour effet de démobiliser les masses, décourager les masses. Mais le miroitement d’une liberté totale, la promesse d’une égalité enfin réalisée, font écran à cette démobilisation et à ce découragement. Une liberté totale via la technologie, l’anomie morale, une société sans règles, dans le désordre et le chaos, et la célébration de l’Autre. Une égalité réalisée dans le domaine des mœurs et du sexe.

L’idéologie du genre vise à réduire à néant l’identité des individus. Le transgenrisme vise à revenir à l’androgynie primitive. La théorie de la minorité politique vise à la déréliction, l’abandon, le délaissement de la nation. La théorie du réseau vise à décomposer les États. La théorie de la discrimination positive vise à reléguer les citoyens dans les marges. L’apologie du non-occidental vise à casser le principe de l’identité des nations "démocratiques ".

Un redressement du vocabulaire constitue des prémices indispensables à une libération de la pensée. Ainsi, les socialismes, dont se réclament la CGT et la gauche, sont des fascismes. Ils ont la même nature philosophique, deux athéismes de conception moniste, un réel unique, qu’il soit matière ou esprit.

Fascisme et socialisme appliquent tous deux la théorie hégélienne de l’État, deux étatismes déviant en totalitarismes. Propagande et répression sont des constantes des deux régimes.

Fascisme et socialisme procèdent à d’identiques mainmises sur les appareils d’État et suppriment les contre-pouvoirs. Tous ont utilisé la violence. Tous ont interné des populations civiles.

Le nationalisme n’est par essence ni fasciste, ni raciste, ni guerrier. L’attachement à la nation n’est pas lié au fascisme, ne dépend pas d’un régime politique. Il n’est ni de droite, ni de gauche. La nation est un " être ensemble " qui vit par-delà les clivages et les systèmes politiques, ou qui meurt. La CGT et la gauche préparent la mort de la nation.

Le nationalisme n’est pas raciste. Le national-socialisme allemand fut raciste à l’égard des Juifs. Mais l’antisémitisme fut allemand plus que fasciste. Il remonte au moyen Âge et a été réactivé par des maçons anticléricaux et socialistes. Les nationalismes ne sont ni antisémites, ni anti-judaïques.

Enfin, le nationalisme n’est pas spécifiquement guerrier ou militariste. Il entretient une armée pour se défendre et assurer la liberté de son peuple.

Dans le passé européen, le nationalisme a parfois été source de guerres. Depuis le XXe siècle, ce n’est plus le cas, les guerres sont idéologiques ou économiques. L’internationalisme est moins pacifique et plus impérialiste que le nationalisme.

La gauche confond le nationalisme et des excès possibles, l’autarcie, la xénophobie, le racisme. Ces accusations ne relèvent pas de la culture, mais de la propagande. Les nations peuvent vivre en paix tout en restant indépendantes.

Racisme et pseudo-antiracisme ne s’opposent pas. Ces deux idéologies poursuivent le même but, faire table rase de la tradition chrétienne. À cette fin, elles utilisent des arguments irrationnels. Seule la tradition chrétienne est antiraciste.

Pour toutes ces raisons objectives, le spectacle " Mémoires de la Cité " doit être maintenu. L’Histoire authentique doit être réhabilitée. Le passé doit être rétabli et revalorisé.

 

Jean Saunier

08:36 | Tags : histoire, politique, opinions, sociétérelgion | Lien permanent | Commentaires (0)