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MANDARINE - Page 15

  • Les César 2025: la grande messe du wokisme

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    Comme chaque année, la cérémonie des César s’est transformée en tribunal de la bien-pensance et en grand-messe du progressisme. Oubliés le talent, l’exigence, l’excellence artistique! Place aux quotas, aux cases à cocher et aux bons sentiments dégoulinants.

    Le triomphe d’Emilia Perez, un film centré sur un transsexuel, n’a rien d’un hasard: c’est un manifeste idéologique, un signal envoyé par l’industrie du cinéma qui ne jure plus que par la déconstruction de nos repères. Meilleur acteur et meilleure actrice? Bien sûr, des représentants de la "diversité", parce que ce qui compte aujourd’hui, ce n’est plus la performance mais l’origine ethnique.

    Quant au prix de la révélation masculine, il ne pouvait évidemment revenir qu’à un migrant africain. Peu importe qu’il soit le meilleur ou non: il incarne le narratif que l’on veut nous imposer.

    Et que dire de Catherine Deneuve, monument en ruine du cinéma français, réduite à livrer l’hommage attendu à l’Ukraine, comme pour rappeler que même dans la culture, il est interdit de dévier de la ligne atlantiste?

    Les César ne sont plus une célébration du cinéma français mais une farce militante, un concours de vertu où l’on récompense moins les films que leur conformité aux dogmes du moment. Affligeant.

    Thomas Joly

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

     

  • La vérité sur le coût pour l’agriculture française

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    Image générée par IA

    Trois ans de guerre en Ukraine: Trois ans de conflit et trois étapes:

    2022, la Commission européenne autorise les produits ukrainiens à entrer dans l’Union sans droit de douane.

    2024: elle actionne un frein d’urgence sur sept productions agricoles pour limiter les dégâts.

    2025: elle entretient le flou mais les pertes pour la France s’accumulent.

    Dans les allées du Salon de l’agriculture, l’ambiance est détendue, joyeuse même. Les éleveurs présentent leurs bêtes au grand public, certaines sont mises aux enchères à prix d’or.  Les producteurs proposent leurs spécialités régionales avec fierté et enthousiasme. Au stand de la Coopération Agricole ou à la FNSEA, même atmosphère, la bière coule à flot. Personne n’évoque les sujets qui fâchent.

    Au contraire. La ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, assure que la France doit "produire plus pour manger mieux" et livre sa vision de la souveraineté alimentaire considérée comme un "réarmement", dans un monde marqué par les conflits.

    "Cette souveraineté, c’est la capacité d’un pays à nourrir sa population" nous glisse t-elle, "or, quand on regarde l’évolution de la production alimentaire dans notre pays, on s’aperçoit d’une chute dans de nombreux secteurs qui nous rend dépendants des importations".

    Les chiffres sont connus: 80% du poulet consommé hors domicile n’est pas élevé en France, 60% des fruits consommés sont importés, 40% des légumes, 50% de la viande d’agneau, 25% du bœuf… Et de pousser le constat: "on voit bien que notre autosuffisance alimentaire s’étiole dans un contexte géopolitique incertain, où, on le dans le conflit russo-ukrainien, l’alimentation peut devenir une arme".

    La guerre entre la Russie et l’Ukraine a débuté il y a tout juste trois ans.  L’occasion de faire le point sur ses conséquences sur l’agriculture française. L’Association Générale des Producteurs de Maïs tire la sonnette d’alarme; elle indique que les importations ukrainiennes de semences de maïs ont été multiplié par treize entre 2021-2022 et 2023-2024 à plus de 120 000 quintaux.

    Pour le secteur français, c’est un manque à gagner de 200 millions d’euros. "La France est le premier exportateur mondial de semences de maïs et le premier producteur de l’Union européenne; nous demandons la mise en place de mesures de sauvegarde notamment dans le cadre des négociations commerciales en cours entre l’Union européenne et l‘Ukraine pour arrêter les perturbations du marché" tempête un porte-parole de l’AGPM qui souligne, en parallèle, la diminution des surfaces de production de semences de maïs, de l’ordre de 30% l’an dernier…

    Même constat dans la filière sucre. En trois ans, les importations de betteraves en provenance d’Ukraine ont été multipliée par 25 en trois ans! "Les Ukrainiens ne s’en cachent pas: ils souhaitent continuer à nous envoyer 500 000 tonnes de sucre. Nous demandons le retour au contingent minimum d’avant-guerre (20 000 tonnes), et la Commission européenne laisse planer le doute sur sa position" estime Guillaume Gandon, vice-président de la Confédération Générale des Betteraviers

    "Nous avons déjà largement financé la guerre en Ukraine; nous avons perdu plus de 10 euros par tonne de betteraves en une campagne et de plus, cette guerre a fait exploser nos coûts de production". Il demande à la Commission européenne de sortir du flou quant à l’importance du contingent d’importations de sucre qui sera accordé en juin 2025.

    LA COMMISSION EUROPEENNE EN EAUX TROUBLES

    Dans cette guerre commerciale, la Commission européenne navigue en effet en eaux troubles. Elle a reconduit jusqu’en juin 2025 l’accord de 2022, en prévoyant un "frein d’urgence", avec la réintroduction de droits de douane sur sept produits, dont la volaille, le sucre et les œufs, si les importations dépassent les niveaux moyens de 2022 et 2023.

    Pas de quoi décourager les oligarques ukrainiens, qui investissent massivement dans le secteur de l’élevage, pour se conformer aux normes européennes. Numéro un de la production avicole ukrainienne, l’entreprise Avangard, dirigée par l’oligarque Yuriy Kosiuk, a ouvert fin 2023 des bureaux de vente en France et a investi dans de nouvelles unités d’élevage en vue d’accroître ses importations.

    "Objectivement, on n’a pas envie d’enrichir ce monsieur" avait déclaré Emmanuel Macron il y a tout juste un an. Sans effet.

    Idem dans le secteur porcin: "les élevages de porcs de l’Ouest du pays se préparent déjà aux normes européennes. Une exploitation porcine a récemment embauché un ingénieur agricole polonais pour importer et mettre en place toutes les bonnes pratiques applicables en UE" confiait Clément Coussens aux Assises de l’agriculture et de l’alimentation en novembre 2024.

    Pour l’heure, les agriculteurs pointent du doigt les normes et réglementations en vigueur en Ukraine et dénoncent une concurrence déloyale.  En juin 2025, la Commission devra décider d’une nouvelle politique commerciale envers l’Ukraine. "Je viens de voir le commissaire européen à l’Agriculture, Christophe Hansen et lui ai dit combien j’étais favorable au prolongement du frein d’urgence mais lui-même semble privilégier un autre dispositif " confie la ministre, avant d’ajouter, un brin désabusée: "Mais vous savez, il n’y a pas que l’Ukraine. Il y a le bœuf de Nouvelle Zélande, l’agneau du Canada…".

    Quant à l’accord entre l’Union européenne et le Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay…), qui prévoit d’éliminer 90% des droits de douane, et qui a été signé en catimini par la commissaire von der Yelen début décembre, nul ne sait quelles en seront les conséquences pour la France. "On continue de se battre; le combat est diplomatique pour réunir une minorité de blocage au sein de l’Union européenne pour refuser cet accord en l’état" dit la ministre.

    Seuls la Pologne, l’Autriche et l’Italie, et dans une moindre mesure la Belgique, ont manifesté leur opposition à cet accord. Il reste quelques semaines pour faire croire à tout le monde que la France a encore un peu de pouvoir…

    Marie de Greef-Madelin

  • Les Français premières victimes d’un système de Ponzi

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    au service des immigrés

    Image générée par I.A. par moi

    Système de Ponzi, vente pyramidale, affaire Madoff ou Stravinsky, qui n’a entendu ces mots, termes, expressions ou vu un film sur ce thème.

    Pourtant, sans le savoir, tous les citoyens-contribuables français pourraient bien être des acteurs essentiels d’un tel système mis en place par leur classe politique.

    Essentiels, car ils auraient repris sans le savoir dans ce théâtre de boulevard le beau rôle du pigeon à qui l’on tond la laine sur le dos pour s’en faire de l’alpaga pour politicards, leur famille et ceux de leur Caste.

    Prenons l’exemple donné par un site d’alerte d’investisseurs qui montre le mécanisme en cause:

    "LA PYRAMIDE DE PONZI PAR L’EXEMPLE

    Une société financière vous promet un rendement de 50% par an. Vous y investissez 1000 euros, vous espérez donc obtenir 500 euros d’intérêts au bout d’un an.

    12 mois plus tard, elle vous donne effectivement 500 €. Grâce à ces belles performances, la société prend une belle rémunération, disons 200 €. Ce que vous ne savez pas, c’est que vos 1000 € n’ont jamais été investis, et que tout l’argent distribué vient de ce montant.

    Il ne reste donc plus que 300 € dans les caisses de la société…

    Cependant l’année suivante, vous vous attendez à recevoir à nouveau 500 €. Ainsi pour tenir son engagement de rendement alléchant, la société a besoin de trouver de nouveaux investisseurs pour renflouer ses caisses et vous payer vos intérêts… Sans oublier qu’elle devra ensuite également payer leurs intérêts.

    Si un nouvel entrant met à nouveau 1000 €, elle pourra se servir des 1 300 € en banque pour vous verser vos 500 € d’intérêts et payer sa rémunération de 200 €. Il restera donc 600 € en caisse pour l’année suivante. Mais elle devra alors verser 500 € à ses deux investisseurs, sans oublier sa propre rémunération. Il lui faudra donc trouver d’autres investisseurs pour obtenir de l’argent frais. Et ainsi de suite.

    D’année en année, le schéma se reproduit, et la société doit toujours trouver plus d’investisseurs pour payer les intérêts des premiers. Qu’à cela ne tienne, les excellents rendements qu’elle a l’habitude de servir lui donnent une très bonne réputation, qui attire de nouveaux investisseurs.

    Le système dure tant que le nombre d’investisseurs croît. Mais lorsque les nouveaux entrants deviennent moins nombreux, ou lorsque beaucoup d’investisseurs demandent à récupérer leur mise en une seule fois comme ce fut le cas dans l’affaire Madoff, la chaîne se brise et la pyramide s’effondre. Chacun se rend alors compte qu’il a perdu tout le capital investi".

    https://www.ideal-investisseur.fr/economie/

    Bien, vous avez en tête comment l’escroc procède pour la tonte en toutes saisons de la bestiole qu’il a ferrée, vous remplacez le terme "investisseur" par le terme "contribuable" et le mot "investissement" que vous interchangez avec "prélèvements obligatoires" sachant que le prélèvement obligatoire s’analyse in fine bien comme un investissement puisque l’État est censé vous assurer des services comme l’hôpital, l’école des futurs citoyens, la sécurité de tous, le développement agricole et économique dont les infrastructures et recherches pour les industries et services d’avenir qui feront la richesse du pays de votre descendance.

    Ces translations de mots faite, auscultez la situation économico-budgétaire française du dernier demi-siècle écoulé: toujours plus d’impôts et de prélèvements obligatoires, toujours moins de services rendus par les administrations en quantité et en qualité, désindustrialisation, perte de souveraineté alimentaire par disparition du monde agricole, énergétique par démembrement du nucléaire et pratique d’un calcul du prix de l’énergie délégué à d’autres à Bruxelles, toujours plus d’emprunts et toujours plus de charges d’intérêts et toujours moins de sécurité corrélée à une submersion migratoire et une islamisation du pays avec créations de véritables enclaves étrangères qui signalent désormais une immense perte de souveraineté sur l’espace géographique de l’hexagone en voie de dépeçage par plusieurs puissances étrangères dont la Oumma qui en prennent possession sans même qu’un gradé militaire de l’état-major s’en émeuve et mette en forteresse la classe politique pour menées antinationales par la livraison de portions complètes de territoire auxdites forces étrangères.

    Le compte n’y est pas pour le prélevé-obligé autrement dénommé l’investisseur français de souche qui s’imagine cotiser pour améliorer son niveau de vie sur ses terres ancestrales: pour ce il paie moult impôts, taxes et cotisations, comme résultat on lui vole son pays: l’escroquerie est ici démasquée par la simple juxtaposition de deux faits réels qui se télescopent irréconciliables qui ne peuvent s’assimiler comme disent les tenants de l’immigration forcenée de la Caste.

    Autre volet-cœur du système d’escroquerie mis en place par la classe politique française niché dans les nouveaux emprunts toujours plus élevés qui ne servent qu’à rembourser les premiers empruntés dont la mise est venue à échéance et couvrir le nouveau déficit que les prélèvements obligatoires de l’exercice budgétaire des citoyens ne bâchent pas, tandis que lesdits politiques se versent salaires et avantages en nature mirobolants et exorbitants et préparent probablement à milliards leur départ à l’étranger quand le pays sera livré aux Grands remplaçants haineux: c’est le propre du fraudeur à la Ponzi, d’avoir préparé sa fuite pour qu’au moment où il sent que son mécanisme va s’effondrer il soit ailleurs hors de portée des cordes pour le prendre.

    Ces nouveaux emprunts qui augmentent en boule de neige d’année en année sont portés au passif de la Maison France qui doivent être renommés selon le principe Camusien de la bonne désignation en "impôts et prélèvements obligatoires différés reposant sur la tête du tondu vouz’émoi dit le pékin-quidam" *.

    *NB: vous pouvez chercher dans les lignes du budget national, aucune ne porte cette appellation, preuve ici apportée que l’on vous cache les choses.

    Mais comme le précise le site qui explique la mécanique de l’escroquerie, "le système dure tant que le nombre d’investisseurs croît".

    La décroissance du nombre d’investisseurs dans les emprunts d’État, c’est ce qu’a connu brutalement la Grèce il y a dix ans.

    C’est ce que va inévitablement connaitre la France dans un temps qu’il n’est pas possible de définir précisément mais qui va coïncider avec la perte de confiance compte tenu d’une situation qui ne fait qu’empirer avec la classe politique française dont quasi tous les membres sortent avec leurs conseillers du même moule à lisier.

    Et ce jour-là, pour reprendre la formule finale du site supra, "chacun se rend alors compte qu’il a perdu tout le capital investi".

    C’est-à-dire que toute l’épargne, tous les prélèvements obligatoires depuis 50 ans, tout l’immobilier et les terres du pays changent de mains de la Nation ou des citoyens du Peuple Premier pour devenir propriété de créanciers pendant que les politiciens français vivront tranquilles à Dubaï avec les milliards détournés qu’ils y auront logés sur des comptes de sociétés offshore gérées par des prête-noms, tranquilles comme Job.

    Car le système pyramidal mis en place par les politiciens français est une variante particulièrement alambiquée et agressive qui dépasse le mécanisme classique de Ponzi, l’escroquerie ne porte pas seulement sur les prélèvements obligatoires du pigeon autochtone juif, chrétien ou athée, mais également sur toutes les terres du Peuple Premier: par la submersion migratoire du plan du Grand remplacement et l’islamisation complète de l’hexagone, ce sont 550 000 km² de terres qui ont été ou sont en passe d’être cédées en sous-mains avec l’argent même du prélevé-obligé, le vous-z-émoi en qualité de double tondu si c’est seulement, Sainte Vierge, possible de l’être doublement. Ici tondu, et non doublement vierge.

    Pour vous éclairer par l’exemple, voici une définition du montage:

    Ce système est appelé pyramide, car il nécessite d’augmenter chaque année le nombre d’investisseurs pour pouvoir verser leurs intérêts aux premiers. Ainsi l’argent n’est jamais investi: le capital est dilapidé sous forme de faux intérêts. Au moindre grain de sable, la chute du système est inéluctable.

    Vous reprenez la situation économico-budgétaire du pays du dernier demi-siècle supra résumée ici pour vérifier si vos prélèvements obligés ont bien été investis pour le développement profitable de la Nation: toujours moins de services rendus par les administrations en quantité et en qualité dont faillite de l’école et de l’hôpital, désindustrialisation, perte de souveraineté alimentaire-agricole, énergétique, perte complète de sécurité sur tous les points du territoire, submersion migratoire, islamisation généralisée, création d’enclaves étrangères entraînant dépeçage du pays notamment par la Oumma.

    Si vous en concluez que depuis un demi-siècle une bonne partie des sommes des prélevés-obligés du Peuple Premier, qui au surplus ont été endettés à l’insu de leur plein gré pour plus du demi-siècle qui vient et dont tous les biens propres servent indirectement, avant de servir directement, de gages par les hypothèque mises dessus, ont bien dû servir à autre chose qu’à l’investissement pour le futur et le développement de leur pays, alors vous pouvez avancer qu’il y a quelque part "escroquerie".

    Et si c’est pas du Ponzi ou apparenté, je me fais moine.

    Jean d’Acre

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)