moteur de la destruction de l’Occident chrétien
Lors du Forum économique de Davos de Janvier 2025, Javier Milei, président argentin, a tenu un discours contre le wokisme, qu’il a qualifié de "cancer" et de "virus mental", et a appelé à l’éradication de cette idéologie des institutions.
"Ce Forum défend les hommes qui s’habillent en femmes même s’ils abusent de mineurs".
Selon l’idéologie woke, l’histoire des pays occidentaux se confond avec l’esclavagisme, le racisme, le colonialisme, le sexisme et l’homophobie. Il faut donc la déconstruire pour que triomphe pleinement l’égalité. L’idéologie woke prétend se faire l’avocate des minorités, principalement sexuelles, raciales et ethniques, qui seraient opprimées par la majorité blanche, hétérosexuelle et patriarcale.
A l’origine, ce mouvement né sur les campus américains visait à promouvoir la vigilance face à des actes jugés discriminants à l’égard de groupes minoritaires. Woke signifie "éveillé" en anglais. Au fil du temps, le mouvement woke s’est mué en un lobby puissant qui poursuit ceux qu’il juge racistes, homophobes, transphobes, islamophobes, grossophobes, spécistes.
Cette idéologie est à l’origine de mouvements sociaux relayés par les médias, tels que Les Marches pour le climat, ou le mouvement Black Lives Matter.
En France, le wokisme a pour égérie Assa Traoré, soeur d’Adama Traoré, délinquant décédé lors d’une interpellation policière. Les militants woke, activistes illuminés et étudiants attardés, s’en prennent à nos statues, à notre langue, qu’ils veulent inclusive, à notre gastronomie "outil de l’identité raciale dominante".
L’idéologie woke se diffuse à travers tout le corps social: suppression du sapin de Noël, interdiction des crèches de Noël, écriture inclusive dans les documents administratifs, garçons transgenres dans les douches des filles, dans les compétitions sportives féminines …