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société - Page 42

  • La commission européenne finance l’idéologie transgenre avec nos impôts

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    Image générée par I.A.

    Au moment même où aux USA, Donald Trump pourfend l’idéologie transgenre et supprime tous les financements fédéraux aux associations wokistes chargées de cette promotion inepte, au moment où en Argentine, Javier Milei agit de même et coupe les vivres aux militants gauchistes et veut supprimer la loi qui permet aux mineurs de changer de sexe sans contrôle, la Commission européenne, elle, nage à contre-courant et dilapide nos sous, appliquant allègrement le principe "dans la gêne il n’y a pas de plaisir!".

    Il est vrai qu’elle n’a aucune légitimité populaire et qu’elle n’a de compte à rendre qu’à elle-même.

    Laurence Trochu, eurodéputée du groupe Identités et Libertés, a jeté un pavé dans la mare en annonçant que près de 8 millions d’euros ont été dépensés dans des projets wokistes, transgenres et déconstructeurs. C’est ainsi 1,5 millions d’euros vont être jetés par les fenêtres pour une étude "visant à étudier l’influence des hormones sur les transgenres et leurs bienfaits psycho-sociaux".

    215 000 euros sont alloués à "un projet de redéfinition de la violence de genre pour y inclure les personnes transgenres et intersexes "!

    Pour 1,26 millions d’euros on pourra "comparer les parcours de trans en Europe et ceux qui immigrent pour se prostituer". Pour boire le calice jusqu’à la lie de l’infamie, 750.000 euros sont attribués à une mission se voulant définir ce qu’est l’hétérosexualité "qui est un vecteur d’intolérance" et aussi "pour rendre les plans d’égalité encore plus inclusifs, car la considération des identités LGBTQI+ et les minorités inter-sectionnelles seraient insuffisantes".

    LA POLICE DE LA PENSEE TERRORISTE BAT SON PLEIN.

    Qu’on en juge.

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  • Que nous cache la nomination de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel?

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    On peut s’étonner qu’un personnage mis en examen par le passé pour prise illégale d’intérêts, prenne la tête du Conseil constitutionnel. Cette mise en examen faisait suite à une plainte d’Anticor.

    Certes, la Cour de cassation a bien mis fin à la procédure en prescrivant les faits, mais quand un juge d’instruction vous met en examen, c’est qu’il vous soupçonne d’être l’auteur d’une infraction. Et si la prescription classe l’affaire et vous garantit la présomption d’innocence, elle ne répond aucunement à la plainte initiale ni aux soupçons du juge.

    https://www.la-croix.com/France/Affaire-Richard-Ferrand

    Mais là n’est pas l’essentiel de mon propos.

    Ce qui m’intrigue, c’est que Richard Ferrand, tout comme Emmanuel Macron, a toujours critiqué l’article 6 de la Constitution, qui limite à deux mandats consécutifs de cinq ans l’exercice du pouvoir présidentiel. Un article qui "bride la libre expression de la souveraineté populaire".

    Article 6:

    Le Président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct.

    Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.

    Les modalités d’application du présent article sont fixées par une loi organique.

    Par conséquent, il est permis de se demander ce que cache la nomination de Richard Ferrand, ami fidèle de Macron, à la tête du Conseil constitutionnel.

    MACRON VA-T-IL INTRIGUER POUR EFFECTUER UN TROISIÈME MANDAT?

    "Il faudrait que Richard Ferrand clarifie ses intentions", estime Manuel Bompard.

    Et le député Insoumis Aurélien Saintoul de soupçonner une "grande combine" (Le Figaro).

    Pourquoi ces soupçons aux relents de complotisme?

    Mais tout simplement parce qu’il existe un précédent à la présidence de la Polynésie française.

    Soit il tente de modifier la Constitution, ce qui parait difficile, soit Macron nous la fait à la polynésienne: démission, suivie d’un acte de candidature dans la foulée.

    En 2022, Matignon avait interrogé le Conseil d’État pour savoir comment interpréter la limitation à deux mandats consécutifs, quand un des mandats n’a pas été exécuté dans sa totalité. En effet, le président en place en Polynésie, avait achevé le mandat de son prédécesseur démissionnaire et avait ensuite effectué un deuxième mandat de cinq ans.

    En conséquence, pouvait-il se représenter pour un troisième mandat?

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  • La révolution prolétarienne suit la révolution bourgeoise

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    Les mesures anti-ouvrières prises sous l’influence des initiés ne tardent pas à porter leurs fruits.

    La loi Le Chapelier, promulguée le 14 juin 1791, supprime les corporations. Plusieurs requêtes ne peuvent décider les gouvernements de l’époque à rapporter cette loi: les vœux des conseils généraux de l’an IX (23 septembre 1800-22 septembre 1821), le ministre de l’Intérieur Montalivet en 1811, le mémoire de l’avocat Levacher-Duplessis présenté à la chambre de commerce le 16 septembre 1817.

    À Lyon, en septembre 1831, les salaires des canuts s’effondrent à 15/25 sous, alors qu’ils étaient de 4 à 6 f. sous l’Empire. Les prud’hommes et le préfet leur accordent un nouveau tarif, les 11 et 25 octobre 1831. 104 industriels sur 1400 refusent l’accord. Le ministre du Commerce annule la mesure. Le 21 novembre, 60 000 ouvriers se mettent en grève et s’emparent de la ville. Le maréchal Soult rétablit l’ordre avec 20 000 hommes. Le gouvernement de Louis-Philippe révoque le préfet, coupable d’avoir enfreint la loi Le Chapelier.

    En Angleterre, les mêmes causes produisent les mêmes effets. La classe bourgeoise anglaise se montre impitoyable. En 1834, la "Loi des pauvres" supprime les secours traditionnellement apportés par les paroisses. Désormais, les indigents doivent entrer au work-house de la région, sorte de prison où l’on travaille de force, ou bien trouver un emploi dans une usine. L’augmentation du nombre de la main-d’œuvre a pour résultat de faire baisser les salaires dont le montant est déterminé par la loi de l’offre et de la demande.

    Les initiés, responsables de cette situation, n’ont aucun mal à endoctriner le peuple. Ils lui présentent le collectivisme comme le seul remède à leur misérable condition. De nombreux maçons se font les apôtres du socialisme. On peut les découvrir en feuilletant le Dictionnaire de la franc-maçonnerie, le Ligou. Quelques exemples.

    Pierre Leroux (1797-1871): "Philosophe, journaliste et écrivain socialiste, typographe, membre de la Constituante de 1848, puis de la Législative. Membre de la Loge des Droits de l’Homme, Orient de Grasse".

    Louis-Auguste Blanqui (1805-1881), théoricien socialiste: "membre des Amis de la Vérité dans les années 1830, et du Temple des Amis de l’Honneur français en 1842".

    Pierre-Joseph Proudhon (1809-1865), le père du socialisme français, ami puis adversaire de Marx, " initié non sans avoir longtemps hésité, le 8 janvier 1847, à la loge bisontine Spucar… Son initiation est surtout célèbre par le fait que Proudhon, à la troisième question d’ordre (Devoirs de l’Homme envers Dieu) répondit: – La guerre … "

    Dans De la justice dans la Révolution et dans l’Église, écrit en 1858, Proudhon écrivait: " L’anti-théisme n’est pas l’athéisme: le temps viendra où la connaissance des lois de l’âme humaine, des principes de la Justice et de la Raison, justifiera cette distinction, aussi profonde qu’elle paraît puérile".

    Proudhon s’exclamait encore: " Nous atteignons la Connaissance malgré lui (Dieu), nous nous procurons le bien-être malgré lui, nous arrivons à la société malgré lui encore. Chaque pas en avant est une victoire où nous l’emportons sur le divin".

    Ceci confirme l’interprétation du mythe du Fils de la Veuve. Ce mythe, véritable parabole, transmet une tradition religieuse secrète, à laquelle était associé à l’origine un culte initiatique. Ce récit symbolique décrypté révèle une religion dualiste opposant un " dieu mauvais "trine, auteur du Déluge, à un "dieu bon", apparemment trine lui aussi, de type prométhéen.

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