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opinions - Page 48

  • La culture gauchiste mondialiste…

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    … est l’antithèse de la culture au sens noble du terme

    À propos du texte relatif à Christelle Morançais, favorable aux restrictions de budget alloué à la culture, un commentateur regrette à juste titre: "Il y manque une définition de ce qu’est (encore) la culture, et une analyse de ce qui la différencie du divertissement plus ou moins branché". Voici une réponse.

    La culture recouvre tous les aspects de la vie, sans exclusive:

    la culture classique relative aux œuvres éternelles du passé comme du présent,

    la culture mode de vie, mais vue sous l’angle de la sociologie, de l’étude des faits sociaux sur la longue durée, et non la description banale de comportements,

    la culture technologique, de plus en plus prégnante dans notre société où la technique envahit le quotidien.

    D’après le vocabulaire de Lalande, le mot de culture, dans son acception française traditionnelle exprime l’idée d’un développement, d’un perfectionnement de la personne, personne qui  a enrichi en s’instruisant son goût, son sens critique et son jugement".

    La culture ainsi comprise caractérise un individu, une personne. Elle a des résonances à la fois individualistes et spirituelles. Elle signifie un développement spirituel.

    Culture vient du verbe latin colère qui recouvrait trois notions très proches par l’exigence d’un travail: la culture de la terre, la culture de l’esprit, la culture du culte religieux.

    La culture de l’esprit suppose trois principes majeurs:

    la nécessité de la mise en œuvre d’une attitude culturelle, d’un choix individuel,

    la nécessité d’un travail, d’un apprentissage, d’une activité permettant l’acquisition de connaissances, l’acceptation de l’effort,

    l’assimilation de ce savoir qui transforme l’homme par la réflexion philosophique.

    La culture est ce qui élève l’individu, ce qui développe son sens critique et son autonomie de pensée. La culture est encore ce qui crée du lien social.

    La culture est une tournure de l’esprit, une ouverture de l’esprit, une disponibilité de l’esprit.

    Edouard Herriot (1872-1957) la définissait ainsi: "La culture générale, c’est ce qui reste quand on a tout oublié". Ce qui reste, c’est une curiosité d’esprit toujours en éveil, une aptitude à ne juger qu’après réflexion. Ce qui reste, c’est savoir choisir avant de juger et juger avant d’agir.

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  • L’inversion généralisée prépare le totalitarisme des actes

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    Alors que les faits démontrent le contraire, la croyance politico-médiatique montée façon Village Potemkine (ou statistiques arrangées…) va par exemple fanatiquement pixelisée qu’un attentat fomenté contre un marché de Noël le serait par un “islamophobe” bon sang mais c’est bien sûr! ou encore que le traitement précoce conseillé par d’éminents spécialistes envers la C19 était un complot contre la santé (tandis que la vraie vague, elle, des effets indésirables approche des cotes…);

    idem pour “la” guerre en Europe qui serait uniquement l’apanage de Poutine, ou le climat dont chaque “changement” serait uniquement “d’origine humaine” (ou comment transformer l’holocène, dans lequel nous sommes, en cette fiction de “l’anthropocène” ce qui a été rejeté après dix ans d’analyse…)

    ou l’économie dont la crise, en France par exemple, serait uniquement liée au “néo-libéralisme” des “ultra-riches” car sans eux tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, ou, enfin, “le” génocide qui serait uniquement l’apanage d’Israël, gonflant le terme en tordant la notion d’intention préméditée en plan de nettoyage ethnique qui existerait depuis… 1947…

    CETTE EPIDEMIE D’INVERSION GENERALISEE N’EST PAS FORTUITE.

    Elle est le résultat multiforme d’une poussée totalitaire sans précédent provenant de perceptions tronquées des réalités indiquées ici afin de conserver négativement sa croyance et le pouvoir qu’elle procrée avec ses avantages se comptant par milliards sans parler du prestige et son lot de médailles, prix, doctorats honoris causa; le tout au service de la Secte composée de la technostructure globaliste et ses créatures photocopiées partout hantant le cœur des villes tandis que les gueux (les sans-dents sans-âme) à Crit’Air 3-4-5 sont relégués dans les nouveaux faubourgs.

    Et plus les faits émergent démentant systématiquement ces allégations Potemkine et leurs guirlandes de statistiques ad hoc, plus ceux qui les véhiculent affirment le contraire jusqu’à se cramponner hystériquement à leur surface politico-médiatique (à l’instar du nouveau 1er ministre français) maintenue à flots à fonds perdus par des mécènes ad hoc.… Et le détournement de l’argent… public…

    COMMENT FAIRE POUR S’EN DEBARRASSER?

    Cela peut demander des années, surtout judiciairement parlant, même si des rapports officiels comme celui du Congrès américain ou encore provenant de divers collectifs regroupant d’éminents scientifiques honnêtes parviennent à percer ce mur de la honte à l’instar de celui de Berlin…

    Le seul espoir consiste à calculer que, vu le degré de décomposition atteint, une accélération exponentielle de son implosion n’est pas exclue à la suite cependant d’une rupture majeure un effondrement soudain entraînant des glissements de terrain idéologiques tels qu’ils peuvent se traduire en irruptions électorales surprenantes mais que la Secte peut fort bien colmater comme en Roumanie dernièrement ou en France avec l’alliance contre-nature des deux tours de la présidentielle et des législatives (entraînant bien plus un état instable que stationnaire); à moins que le raz-de-marée soit tel qu’aucune manip ne peut l’arrêter comme ce fut le cas avec l’élection de Mileï puis celle de Trump…

    Le seul rempart pour la Secte en France sera alors comme en Roumanie ou en Israël l’action antidémocratique du Conseil constitutionnel qu’il sera cependant possible de briser avec le référendum comme ce fut le cas en 1962 lorsqu’il fut proposé l’élection du président de la République au suffrage direct alors que ce n’était pas prévu par les textes et que le Parlement y était opposé…

    La Secte le sachant, elle pense alors empêcher la possibilité même de faire appel au referendum; du moins si celui-ci pose une question extérieure à l’organisation des pouvoirs publics (conformément à l’article 11); d’où la nécessité de convoquer au préalable un referendum à portée plus générale quant à la structuration de ceux-ci, touchant par exemple à leurs divers impacts comme le prélèvement des cotisations sociales, la redistribution des allocations, l’autonomie des structures éducatives, le mille-feuille administratif, la possibilité donnée à la Cour des comptes de poursuivre en justice, la réforme du Parquet, le rôle du juge de l’application des peines, etc.

    Ce serait donc la lutte finale… entre la Secte et la “souveraineté – du peuple – qui ne peut être que nationale“…

    Une vraie offensive façon Pont d’Arcole…

    Ou mieux encore celle, décisive, d’Alexandre face aux Perses…

    Lucien Samir Oulahbib

  • Bien sûr qu’on doit encore espérer: l’espoir fait vivre!

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    "Le pessimisme n’est autre que le produit de l’expérience, il suffit de constater la réalité, d’être attentif au mouvement du monde pour conclure à l’évidence que le pire est toujours certain". (Michel Onfray).

    Un ami-lecteur trouve que, ces temps-ci, je fais preuve de pessimisme dans mes chroniques.

    C’est vrai, mais c’est de la provocation de ma part. Il m’arrive de chercher le bâton pour me faire battre car je suis lassé des raisonnements des Bisounours – qui trouvent que tout va bien – des tièdes – qui nous disent que ça pourrait être pire – et des matamores et autres va-t-en-guerre – qui sont prêts à faire la Révolution mais qui attendent… un chef, et qui aimeraient bien que d’autres partent au baston à leur place. Ils soufflent sur la braise mais ont terriblement peur de se brûler.

    Michel Onfray déclarait récemment "La vérité cruelle est que notre civilisation s’effondre" or, je fais partie des gens qui, sans sombrer dans une nostalgie stérile, regrette le temps où la France était une grande puissance, riche, conquérante, dynamique et fière de son passé (y compris de son passé colonial).

    Je ne passe pas ma vie à dire que "c’était mieux avant" car tout n’était pas mieux.

    Je pense par exemple au sort des paysans ou des ouvriers de l’immédiat après-guerre.

    Quand il m’arrive d’évoquer la période des "trente glorieuses", celle de mon enfance, il se trouve toujours quelqu’un pour me rétorquer que notre civilisation occidentale est la seule qui ait pu valablement améliorer le sort de millions d’individus. L’allongement considérable de la durée de vie et l’éclosion de libertés individuelles en sont une illustration.

    On m’explique aussi que le capitalisme a été davantage facteur de richesse et de liberté que le communisme. Je ne dis pas le contraire; je pense simplement qu’il existe une troisième voie qui s’appelle le nationalisme.

    Et puis, il y a ceux qui pensent qu’une civilisation ne meurt pas; elle évolue, se transforme, mute, et ce, pour le bonheur des citoyens. Je ne peux pas nier que les nouvelles technologies informatiques, la génomique et les sciences cognitives sont des avancées scientifiques et technologiques qui ont transformé la vie de l’homme moderne, mais sont-ce toujours des progrès? Les nouveaux espaces de liberté qu’offrent les moyens numériques à la puissance exponentielle sont-ils un gage de bonheur?

    Je n’en suis pas certain, j’ai même un sérieux doute! Notre civilisation se transforme à une vitesse inquiétante, grâce à la puissance des ordinateurs et de "l’intelligence artificielle" qui sont capables d’interventions inconcevables il y a seulement quelques années.

    Mais j’ai le sentiment que tout va trop vite. Nous sommes à l’époque du "tout image", de la communication à outrance, des réseaux dits "sociaux" (qui, en réalité, désocialisent les gens).

    Les citoyens, les consommateurs, partagent chaque jour une multitude d’informations comme jamais ils n’auraient pu le faire auparavant. Mais entre le global et le local, les intermédiaires sont appelés à disparaître. Que sait-on de ces robots qui vont nous aider, nous dominer, voire nous remplacer à terme, avatars de plus en plus crédibles. La science-fiction – de moins en moins fiction! – s’incarne chaque jour plus profondément dans une refondation du monde.

    Quel avenir prépare-t-on à une jeunesse abrutie par la télé, les jeux vidéos, et qui passe ses journées sur son Smartphone?

    Personne n’ose dire que cette invention géniale – qui a révolutionné la communication – est aussi une drogue dure (dont énormément de gens sont accros, jeunes et moins jeunes) et une arme de destruction massive… des cerveaux. Je suis affolé, effaré, attristé aussi, quand je vois des couples qui, au restaurant, ne s’adressent pas la parole, scotchés à leur téléphone; des gamines, en bande, qui ricanent bêtement des niaiseries qu’elles vont chercher sur "face de bouc" ; des femmes libérées qui arpentent le trottoir d’un pas alerte tout en racontant leur vie à leur Smartphone. Et ne parlons pas du nombre d’accidents imputables au téléphone au volant.

    Les drogués de la communication et des réseaux sociaux sont, pour la plupart, des égoïstes narcissiques. Grâce à leur Smartphone, ils s’isolent et gravitent un peu plus autour de leur nombril. Et ceux qui entendent les diriger ont bien compris que ce monde virtuel, superficiel, artificiel, est idéal pour que le vulgum pecus oublie les vrais problèmes des pays occidentaux.

    Plus rien ne fonctionne normalement chez nous, et on me reproche mon pessimisme.

    Moi, j’appelle ça de la lucidité, pour qui veut bien voir les choses en face.

    J’avais 18 ans en mai 68 et j’ai vu, depuis, comment notre pays a évolué. Mai 1968, c’est une colère d’enfants trop gâtés, de gosses de bourgeois, à une époque où 20 % des jeunes accédaient aux études supérieures. Cette " chienlit ", comme disait De Gaulle, n’a concerné qu’une infime partie de la population, mais ses conséquences ont été désastreuses pour le pays.

    Beaucoup d’anciens soixante-huitards sont devenus les bobos de la "gauche-caviar"; ceux-là sont des privilégiés, mais pas les autres!

    Le chômage a explosé, en France, à partir du milieu des années 1970, lors du premier choc pétrolier qui a bouleversé le monde économique (1973). Cela s’est traduit par un ralentissement conjoint de la croissance ET de la productivité. C’était la fin des "trente glorieuses", le début des "quarante piteuses" (lesquelles sont devenues calamiteuses, et ce n’est pas fini, hélas!). C’est à partir de cette époque que le chômage structurel s’est installé durablement chez nous. Georges Pompidou craignait des émeutes si le chômage venait à dépasser les 300.000 personnes. Ma génération l’a vu monter à 2, puis 3, puis 4 millions (1). On ne sait plus!

    Le socialisme larvé de Giscard d’Estaing, le socialisme assumé de Mitterrand, et la course à toujours plus d’Europe de tous nos dirigeants, sans exception, ont eu raison de notre industrie et, par là même, de notre économie. Depuis Giscard, la France n’a plus connu un budget en équilibre.

    Nous ne produisons quasiment plus rien, en dehors du luxe, de l’aéronautique et de l’armement lourd. Nos mines ont fermé une à une, les hauts fourneaux de nos aciéries aussi. Depuis les années 80, notre industrie a détruit des millions d’emplois. La classe ouvrière n’existe quasiment plus. Pour éviter des charges ou des impôts trop élevés, ou des normes drastiques – techniques ou environnementales – imposées par Bruxelles, nos industriels ont préféré délocaliser leur production.

    Et, tandis que la classe ouvrière allait pointer à l’ANPE (2), la France, avec le "regroupement familial" de Giscard, laissait rentrer massivement sur son sol une immigration attirée par nos aides sociales aussi généreuses que variées, sans parler de l’immigration clandestine.

    Je ne cherche absolument pas à me faire plaindre mais, depuis ma prime jeunesse, j’ai "mal à la France".

    On m’a appris à souffrir en silence, comme s’il s’agissait d’une maladie vénérienne. Être amoureux de ses racines est plutôt mal vu à l’époque de la France multiraciale, de l’Europe "à 27" et de la mondialisation de l’économie.

    Je souffre aussi de voir mon pays devenir une colonie de peuplement de ses anciens colonisés qui, bien souvent, ont appris à nous détester.

    Avant la pandémie, notre "douce France, terre des arts, des armes et des lois", chère à du Bellay, était devenue une réserve indienne: chaque année, 80 millions de touristes venaient visiter – admiratifs ou effarés – notre pays peuplé de 68 millions d’habitants dont 5 millions de fonctionnaires, 7 millions d’allocataires des minima sociaux, des millions de chômeurs et des milliers d’hectares de friches industrielles, tristes témoins d’une époque où tout ce que nous consommions n’arrivait pas de Chine, d’Inde, du Vietnam, du Bangladesh, de Roumanie ou d’ailleurs.

    Durant toute ma vie, j’ai vu mon pays se déliter, perdre ses emplois, ses repères, ses valeurs. Certains quartiers sont devenus des ghettos aux mains de dealers allogènes, et les "Français de souche" en ont été chassés.

    Nous avons (re)découvert l’" ensauvagement" et la barbarie.

    Jadis, nos aïeux se battaient pour un idéal: leur fief, leur Dieu, leur Roi, leur patrie, leurs frontières. Notre pays a été immolé sur l’autel des banquiers apatrides, des européistes forcenés et de l’économie mondialisée. Une reddition sans combattre, une capitulation honteuse!

    Nous avons connus, pour beaucoup, des années de pensionnat (j’étais "enfant de troupe" à 11 ans), suivies d’un service militaire plus ou moins "viril" ; parfois des journées de travail de 10 ou 12 heures, des semaines de 60 heures (avant que la France socialiste ne devienne une feignasse qui ne veut plus bosser), avec, dans le secteur privé, la menace quasi permanente du chômage…

    Mais, je ne saurais me plaindre: ma vie professionnelle n’a pas toujours été une partie de plaisir mais elle m’a permis de voyager et elle n’était pas monotone: pour moi, la vie ne doit pas être "un long fleuve tranquille " sinon elle devient vite ennuyeuse! Je n’ai pas connu le chômage.

    Pourtant, dans mon secteur d’activité – l’assurance – en raison des rachats, fusions, absorptions, regroupements de sociétés (dus, entre autres choses, aux marges de solvabilité imposées par Bruxelles) beaucoup de mes collègues se sont retrouvés sur le sable à 50 ou 55 ans et n’ont pas pu rebondir. D’autres sont allés de plans sociaux en CDD.

    Je ne pense pas être (ou avoir été) un privilégié. Disons que ma génération, dans ses jeunes années, aura eu un peu plus de liberté que la suivante: nous ne connaissons le diktat des minorités (féministes, racialistes, LGBT, islamo-gauchistes, écologistes, etc.) que depuis le début des années 80 (3).

    Mais, si j’en crois les sondages, une majorité de jeunes se satisfait pleinement d’une France multiculturelle, bigarrée, écolo, invertie et islamisée. L’Education nationale s’est chargée de lui inculquer que le métissage – racial ou sexuel – c’est l’avenir et que les seuls dangers qui attentent aux "valeurs ripoux-blicaines" sont le populisme et le nationalisme. L’ennemi, en fait, c’est le " mâle blanc ". Mais je plains, sincèrement, de tout mon cœur, la jeunesse qui partage encore mes valeurs. Elle n’a pas fini de souffrir! Cependant, il existe toujours une lueur d’espoir, plus ou moins vivace et solide selon ses croyances: la vie éternelle pour les chrétiens ou, plus prosaïquement, un retour de balancier dans cette vallée de larmes.

    "L’espoir fait vivre "dit-on. Pour le moins, il aide à survivre.

    Dans un article récent consacré à Hergé, j’avais cité Léon Degrelle, le fondateur du "Rex" belge, qui a combattu sur le front de l’Est avec la division "Wallonie". Un de mes amis, très au fait de cette période de l’histoire, m’a communiqué les propos de Léon Degrelle, recueillis en 1981 par Jean Kapel (4). Il portait un jugement assez lucide et très sévère sur la décadence de l’Occident:

    "A l’Ouest, la civilisation du seul profit matériel dégoûte de plus en plus une jeunesse qui ne peut se résoudre à accepter la réduction au niveau de tubes digestifs que lui propose la société de consommation. La délinquance ou la drogue sont la rançon de cette situation. A l’heure où nous assistons au réveil de l’Islam, alors que l’American Way of Life laisse les peuples insatisfaits, aucune espérance n’est offerte à la jeunesse d’Europe, laissée à elle-même et à sa misère spirituelle3….

    Et, à la question de Jean Kapel: "Où se trouve la solution?", Degrelle répondait: "Eh bien, je vais vous surprendre, au risque de déchaîner contre moi la colère de nouveaux ennemis: j’attends beaucoup du peuple russe. Il représente une force encore saine et il ne supportera pas éternellement son régime de bureaucrates gâteux dont l’échec est total dans tous les domaines.

    J’espère qu’un jour un jeune Bonaparte sortira de l’Armée Rouge comme aurait pu le faire Toukhatchevski en 1938, et qu’il rompra avec le fatras idéologique débile qui étouffe la plus grande nation blanche qui soit encore décidée à agir sur l’histoire. Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant"….

    Aïe, aïe, aïe! J’ai osé citer Léon Degrelle qui, en l’occurrence, disait des choses sensées. Je prie mes lecteurs de n’y voir qu’une provocation de ma part; c’est juste pour donner du grain à moudre à ceux qui me traitent régulièrement de "facho".

    Eric de Verdelhan

    1)- "Histoire de France" de Jacques Bainville; Arthème Fayard; 1924

    2)- "Napoléon" publié également chez Arthème Fayard ; 1931

    3)- EMP = École Militaire Préparatoire

    4)- Cette date ne rime à rien car l’indépendance de l’Algérie date du 5 juillet 1962.

    Note de J. JOYCE: je ne partage pas l'avis de Degrelle