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opinions - Page 24

  • Les écolos accusent l’État français d’être responsable

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    du prétendu réchauffement climatique

    Pas si fous les bolchos verdâtres. En tablant sur la bienveillance de juges de leur bord, ils ont trouvé un moyen simple et rapide de s’enrichir. Puisque l’État est incapable d’empêcher la terre de se réchauffer, il doit raquer. En versant des compensations financières non imposables aux givrés les plus fondus.

    Des procès qui évoquent le synopsis d’une dystopie post-apocalyptique

    Chaque cas est révélateur du climat d’assistanat général qui voudrait que chacun soit protégé des aléas de la vie par Big Brother. Même contre des phénomènes naturels. Auxquels lesquels les humains ne peuvent s’opposer. Mais le bon sens a déserté les médias et les prétoires.

    Marie Le Mélédo, 37 ans, ancienne architecte, ignorait les coefficients de retrait des matériaux. Elle avait acheté un appartement en Seine-Saint-Denis en 2018. Deux ans plus tard, celui-ci s’est fissuré. Selon elle, en raison de la sécheresse. Une mésaventure à laquelle on compatit. En se demandant pourquoi elle n’a pas allégué un éventuel défaut de construction, ou une négligence de l’agent immobilier ou du notaire tenus de fournir une information exhaustive.

    Même histoire avec la maison de Mohamed Benyahia dans la Sarthe. Détériorée par un retrait-gonflement des argiles, attribué à la succession des sécheresses et des pluies. Ce franco-algérien de 64 ans dit entendre des craquements flippants et observe des lézardes de plus en plus profondes. C’est bien triste ce qu’il lui arrive. Mais de quoi le gouvernement français est-il coupable?

    Pour ces deux requérants, parmi une douzaine d’autres plaideurs, l’État aurait manqué à ses obligations. Parce que ses plans de lutte contre le changement climatique auraient dû empêcher (comment?) la terre de se réchauffer.

    Si tu t’enrhumes en hiver ou si tu chopes un coup de soleil en été, Macron est coupable!

    Les victimes climatiques comme la gauche les désigne, espèrent que des juges les entendront. Puisque des cours ont déjà condamné à des peines d’emprisonnement ferme et des amendes faramineuses des maires qui n’avaient pas su stopper les grandes marées d’équinoxe inondant des maisons en bord de plage. D’autres édiles ont morflé pour n’avoir pas empêché des arbres de se jeter tout seuls sur des bagnoles.

    Terminé le concept de force majeure qui remontait à Saint-Louis. On doit trouver absolument un coupable pour tout. Sauf quand il s’agit des crapules de la nomenklatura, exonérées de toute responsabilité pour des broutilles telles que le sang contaminé, la remise en liberté d’assassins récidivistes ou les faux vaccins qui tuent.

    On retrouve à la manœuvre toutes les organisations anti-France. À commencer par les hors-la-loi de Green Piss qui mènent le bal. Heureux comme des voyous en France.

    Certains, venus clandestinement de l’étranger, pénètrent par effraction dans les installations d’une centrale nucléaire, un délit passible de cinq ans de prison et 75.000 euros d’amende. Avec des éléments incontrôlés qui caillassent les gendarmes. La justice implacable avec les patriotes français pour un mot de travers, leur inflige des sanctions symboliques. Quand, aux USA, ces malfaisants écopent une amende de 665 millions de dollars.

    Une autre organisation internationale qui prétend sauver la planète, l’OXFAM attaque aussi devant les tribunaux la France qui la gave de subventions. Moins que l’Eurocrature toutefois. Six milliards alloués par Pustula la Hyène. Un pourboire de garçon de café, en comparaison de ce qu’elle a refilé à son pote Bourla de Pfizer.

    La directrice générale d’OXFAM est Cécile Duflot dont la ridicule voix de crécelle masque mal son agressivité de gaucharde. Nullement concernée quand des nervis de sa société de bienfaisance sont poursuivis pour tabassage d’adversaires et viols de jeunes personnes. Au Bangladesh, au Népal, aux Philippines, en Haïti, au Soudan… De lointaines contrées où ces crimes ne suscitent pas la réprobation de Karim Abdul Ahmed Khan et de son tribunal fantoche.

    Même les bolchos du Monde, qui ne sont pas a priori hostiles aux escrolos, parlent d’une véritable culture du viol au sein de cette organisation. Rien de nouveau sous le soleil. Du temps de Kouchner, certains philanthropes et bénévoles puisaient dans le vivier africain des garçonnets et des fillettes pour satisfaire leurs perversions.

    Le troisième lascar de cette trilogie de super héros s’appelle " Notre Affaire à tous ". Un nom bien prétentieux pour une coquille vide qui ne réunit que 400 adhérents. Mais emploie onze salariés. Et lance des procédures tous azimuts. Contre les armadas d’avocats de Total, BNP, Arkema, et de l’État français. Où trouvent-ils le fric? Question rhétorique. Cette association à but non lucratif vit de dons. Mais ne délivre pas de reçu fiscal à ses généreux donateurs.

    Bien entendu, tous les requérants se disent désintéressés. Ce n’est pas le pognon qui les motive. Ils veulent juste sauver la planète. Leur objectif altruiste serait d’obliger la France à combattre avec plus de vigueur le prétendu réchauffement climatique. Comment? Avec plus décrets, plus de fonctionnaires, plus de parasites, plus de profiteurs et de délateurs…

    Selon eux, l’État serait tenu de protéger les citoyens contre le réchauffement climatique. Alors qu’il ne les protège pas des terroristes, des surineurs, des violeurs et des racketteurs.

    Donner dans le catastrophisme pour terroriser les esprits simples dépourvus de bagage scientifique et de culture historique est une recette imparable. Comme avec le virus et les vilains Russes. On monte en épingle sur les télés de propagande des sinistres naturels petits ou grands, sans en exposer les causes réelles. Et on n’invite pour les commenter que des militants écolo-gauchistes fanatiques.

    Champs inondés, incendies de forêts, fissures dans les immeubles, eaux polluées, coupures d’électricité, tempêtes, ouragans, canicules qui trucident les vieux… Les images se multiplient. Avec cette absurdité qui fait grincer les dents des physiciens de l’atmosphère: la France se réchaufferait plus vite que le reste du monde!

    La hausse moyenne des températures en France a été de l’ordre de 1,5 °C depuis 1860, déclin du petit âge glaciaire. Des cycles classiques. Comme partout ailleurs. Et c’est 4 à 5 degrés de moins que pendant l’optimum médiéval. Alors que, depuis quelques années, les indices montrent une stase et une tendance à la baisse des températures.

    La dictature macronarde pourrit la vie des gens avec ses ZFE et ses guimbardes électriques pour obéir aux diktats des Boches de Bruxelles, mais ça ne suffit pas aux escrolos.

    Dans un premier jugement en février 2021, le tribunal administratif de Paris avait déclaré l’État coupable et avait ordonné que soient compensés au 31 décembre 2022 au plus tard, 15 millions de tonnes d’équivalent CO2 émis en trop, selon les calculs fantaisistes de quelques réchauffards hystériques.

    Les ONG désintéressées exigeaient 1,1 milliard d’euros. Estimant que ce jugement n’avait pas été correctement appliqué, attribuant le ralentissement du volume des gaz à effets de serre à un hiver doux. L’antithèse du GIEC qui prétend que le CO2 augmente avec la température, ce qui est un non sens scientifique. Il faudrait entraver le développement des pays émergents, dont l’Inde et la Chine, pour réduire le CO2.

    Ces ONG monomaniaques accusaient l’État de mollesse dans la chasse au CO2. Qui loin d’être un poison est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire. Avec moins de CO2, les plantes dépériraient, causant une rupture de la chaîne alimentaire, et une grande partie de l’air que nous respirons ne se renouvellerait plus.

    Dans un jugement de fin 2024, le tribunal a considéré que la réparation du " préjudice écologique " (encore un concept idéologique) a été tardive mais complète. Puisque l’État a mis en œuvre des mesures coercitives faisant baisser les émissions de CO2 de 2,7% en 2022 et de 4,3% en 2023. Grâce à la traque aux bagnoles, aux fermetures d’usine, à l’abandon de grands chantiers, et au flicage des propriétaires d’immeubles. Bienvenue au nouveau Moyen Âge!

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • La réalité économique sous le prisme géographique

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    139 milliards d’euros... C’est le déficit des comptes publics prévu dans le budget 2025 (chiffre qui ne prend pas en compte les conséquences du relèvement des taxes douanières par Donald Trump). 3 300 milliards…

    C’est le montant de la dette française… 59 milliards, c’est celui des intérêt que la France paiera en 2025 sur cette dette…

    Milliards, millions d’euros, … ces chiffres donnent le tournis et pour beaucoup, ils ne veulent rien dire… tout juste, se dit-on, que la France va mal et que la situation s’empire sûrement, sans en mesurer vraiment la réalité.

    Une manière de s’en rendre compte est de regarder les chiffres sur les défaillances d’entreprises.

    Il y a eu 67 830 procédures ouvertes en 2024, avec un record atteint au dernier trimestre.

    Au total, 256 000 emplois seraient menacés, ce qui représente à peu de choses près, la population de Bordeaux, la neuvième ville de France.

    En février 2025, la France comptait 5,8 millions de demandeurs d’emplois inscrits à France Travail, dans les catégories A, B et C.

    Pour donner un nouvel ordre de grandeur, soit le nombre d’habitants des huit plus grandes villes de France: Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Nice, Nantes Montpellier et Strasbourg…

    Dernière manière de se rendre compte de la réalité économique française, la lecture du sondage étude publiée par l’association Dons solidaires: "Les résultats 2025 sont sans appel: malgré un ralentissement de l’inflation, près d’un Français sur deux se sent toujours vulnérable économiquement….

    Plus préoccupant, l’étude dévoile que "8 millions de Français doivent arbitrer entre l’achat de nourriture ou de produits d’hygiène".  

    Une vision, cette fois, au plus près du quotidien de millions de Français, bien éloignée de celle perçue depuis les lambris germanopratins de nos ministères.

    Par Frédéric Paya – Valeurs Actuelles

  • Le gouvernement des juges contre le peuple souverain

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    La condamnation de Marine Le Pen à une peine d’inéligibilité avec exécution provisoire constitue un véritable séisme politique, voire un point de bascule dans le fonctionnement de la démocratie française, maltraitée par des dérives continues installées depuis plusieurs années par notre République, mais brutalisée aujourd’hui par une décision lourde de conséquences pour son plein exercice.

    Car l’épisode présent n’est que le dernier d’une longue liste de décisions déniant les principes, les valeurs mêmes de la démocratie et une évidence s’impose : le peuple souverain ne doit pas pouvoir s’exprimer pour déterminer son avenir. Pourtant, l’article 3 de notre Constitution précise que "la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice".

    Or, il faut bien admettre que cette dernière décision des juges empêcherait de facto des millions de citoyens appartenant au peuple souverain, de voter pour leur candidate déclarée à la prochaine élection présidentielle. Ce pouvoir exorbitant des juges ne met-il pas en danger le fonctionnement de notre démocratie et la décision prise à l’encontre de la candidate du Rassemblement national (RN) est-elle vraiment conforme à l’État de droit auquel ils se réfèrent? L’État de droit ne commande-t-il pas que tous les citoyens soient traités de la même manière notamment au moment du choix de leur candidat à la fonction suprême? Si ce n’était pas le cas – la décision des juges semble cependant l’accréditer – serions-nous encore dans un État de droit?

    Incontestablement la décision prise par le tribunal correctionnel de Paris, le 31 mars 2025, est non seulement politiquement lourde de conséquence pour le déroulement de la future élection présidentielle mais, de l’avis même de personnalités reconnues en matière de droit et notamment de droit constitutionnel (ex-membres honoraires du Conseil constitutionnel), elle est juridiquement très discutable, voire infondée.

    Car cette décision est contraire à celle prise par le Conseil constitutionnel, trois jours plus tôt, le 25 mars 2025, en réponse à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) dans une autre affaire qui portait précisément sur l’exécution provisoire d’une peine d’inéligibilité et qui, lorsqu’elle est prononcée par les juges, est d’effet immédiat, le justiciable ne pouvant plus se porter candidat à une élection. De ce fait, le droit au recours et le droit d’éligibilité sont inéluctablement affectés.

    Le Conseil constitutionnel a donc analysé la notion de droit d’éligibilité qui est garanti par l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et par l’article 3 de la Constitution. Le Conseil constitutionnel devait alors dire si l’exécution provisoire d’une inéligibilité était conforme ou pas à la nature des mandats politiques et surtout à la liberté de l’électeur. Sa réponse à cette question essentielle est instructive: "Sauf à méconnaître le droit d’éligibilité garanti par l’article 6 de la Déclaration de 1789, il revient au juge, dans sa décision, d’apprécier le caractère proportionné de l’atteinte que cette mesure d’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité est susceptible de porter à l’exercice d’un mandat en cours et à la préservation de la liberté de l’électeur".

    Il est indéniable que l’évocation de l’atteinte à la préservation de la liberté de l’électeur fait référence aux élections futures et a fortiori, à l’élection présidentielle. Si ce n’était pas le cas, la référence à la liberté des électeurs n’aurait pas été faite. La réponse fournie par le Conseil constitutionnel à cette QPC a une portée générale dépassant le cas soumis.

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