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histoire

  • Bien sûr qu’on doit encore espérer: l’espoir fait vivre!

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    "Le pessimisme n’est autre que le produit de l’expérience, il suffit de constater la réalité, d’être attentif au mouvement du monde pour conclure à l’évidence que le pire est toujours certain". (Michel Onfray).

    Un ami-lecteur trouve que, ces temps-ci, je fais preuve de pessimisme dans mes chroniques.

    C’est vrai, mais c’est de la provocation de ma part. Il m’arrive de chercher le bâton pour me faire battre car je suis lassé des raisonnements des Bisounours – qui trouvent que tout va bien – des tièdes – qui nous disent que ça pourrait être pire – et des matamores et autres va-t-en-guerre – qui sont prêts à faire la Révolution mais qui attendent… un chef, et qui aimeraient bien que d’autres partent au baston à leur place. Ils soufflent sur la braise mais ont terriblement peur de se brûler.

    Michel Onfray déclarait récemment "La vérité cruelle est que notre civilisation s’effondre" or, je fais partie des gens qui, sans sombrer dans une nostalgie stérile, regrette le temps où la France était une grande puissance, riche, conquérante, dynamique et fière de son passé (y compris de son passé colonial).

    Je ne passe pas ma vie à dire que "c’était mieux avant" car tout n’était pas mieux.

    Je pense par exemple au sort des paysans ou des ouvriers de l’immédiat après-guerre.

    Quand il m’arrive d’évoquer la période des "trente glorieuses", celle de mon enfance, il se trouve toujours quelqu’un pour me rétorquer que notre civilisation occidentale est la seule qui ait pu valablement améliorer le sort de millions d’individus. L’allongement considérable de la durée de vie et l’éclosion de libertés individuelles en sont une illustration.

    On m’explique aussi que le capitalisme a été davantage facteur de richesse et de liberté que le communisme. Je ne dis pas le contraire; je pense simplement qu’il existe une troisième voie qui s’appelle le nationalisme.

    Et puis, il y a ceux qui pensent qu’une civilisation ne meurt pas; elle évolue, se transforme, mute, et ce, pour le bonheur des citoyens. Je ne peux pas nier que les nouvelles technologies informatiques, la génomique et les sciences cognitives sont des avancées scientifiques et technologiques qui ont transformé la vie de l’homme moderne, mais sont-ce toujours des progrès? Les nouveaux espaces de liberté qu’offrent les moyens numériques à la puissance exponentielle sont-ils un gage de bonheur?

    Je n’en suis pas certain, j’ai même un sérieux doute! Notre civilisation se transforme à une vitesse inquiétante, grâce à la puissance des ordinateurs et de "l’intelligence artificielle" qui sont capables d’interventions inconcevables il y a seulement quelques années.

    Mais j’ai le sentiment que tout va trop vite. Nous sommes à l’époque du "tout image", de la communication à outrance, des réseaux dits "sociaux" (qui, en réalité, désocialisent les gens).

    Les citoyens, les consommateurs, partagent chaque jour une multitude d’informations comme jamais ils n’auraient pu le faire auparavant. Mais entre le global et le local, les intermédiaires sont appelés à disparaître. Que sait-on de ces robots qui vont nous aider, nous dominer, voire nous remplacer à terme, avatars de plus en plus crédibles. La science-fiction – de moins en moins fiction! – s’incarne chaque jour plus profondément dans une refondation du monde.

    Quel avenir prépare-t-on à une jeunesse abrutie par la télé, les jeux vidéos, et qui passe ses journées sur son Smartphone?

    Personne n’ose dire que cette invention géniale – qui a révolutionné la communication – est aussi une drogue dure (dont énormément de gens sont accros, jeunes et moins jeunes) et une arme de destruction massive… des cerveaux. Je suis affolé, effaré, attristé aussi, quand je vois des couples qui, au restaurant, ne s’adressent pas la parole, scotchés à leur téléphone; des gamines, en bande, qui ricanent bêtement des niaiseries qu’elles vont chercher sur "face de bouc" ; des femmes libérées qui arpentent le trottoir d’un pas alerte tout en racontant leur vie à leur Smartphone. Et ne parlons pas du nombre d’accidents imputables au téléphone au volant.

    Les drogués de la communication et des réseaux sociaux sont, pour la plupart, des égoïstes narcissiques. Grâce à leur Smartphone, ils s’isolent et gravitent un peu plus autour de leur nombril. Et ceux qui entendent les diriger ont bien compris que ce monde virtuel, superficiel, artificiel, est idéal pour que le vulgum pecus oublie les vrais problèmes des pays occidentaux.

    Plus rien ne fonctionne normalement chez nous, et on me reproche mon pessimisme.

    Moi, j’appelle ça de la lucidité, pour qui veut bien voir les choses en face.

    J’avais 18 ans en mai 68 et j’ai vu, depuis, comment notre pays a évolué. Mai 1968, c’est une colère d’enfants trop gâtés, de gosses de bourgeois, à une époque où 20 % des jeunes accédaient aux études supérieures. Cette " chienlit ", comme disait De Gaulle, n’a concerné qu’une infime partie de la population, mais ses conséquences ont été désastreuses pour le pays.

    Beaucoup d’anciens soixante-huitards sont devenus les bobos de la "gauche-caviar"; ceux-là sont des privilégiés, mais pas les autres!

    Le chômage a explosé, en France, à partir du milieu des années 1970, lors du premier choc pétrolier qui a bouleversé le monde économique (1973). Cela s’est traduit par un ralentissement conjoint de la croissance ET de la productivité. C’était la fin des "trente glorieuses", le début des "quarante piteuses" (lesquelles sont devenues calamiteuses, et ce n’est pas fini, hélas!). C’est à partir de cette époque que le chômage structurel s’est installé durablement chez nous. Georges Pompidou craignait des émeutes si le chômage venait à dépasser les 300.000 personnes. Ma génération l’a vu monter à 2, puis 3, puis 4 millions (1). On ne sait plus!

    Le socialisme larvé de Giscard d’Estaing, le socialisme assumé de Mitterrand, et la course à toujours plus d’Europe de tous nos dirigeants, sans exception, ont eu raison de notre industrie et, par là même, de notre économie. Depuis Giscard, la France n’a plus connu un budget en équilibre.

    Nous ne produisons quasiment plus rien, en dehors du luxe, de l’aéronautique et de l’armement lourd. Nos mines ont fermé une à une, les hauts fourneaux de nos aciéries aussi. Depuis les années 80, notre industrie a détruit des millions d’emplois. La classe ouvrière n’existe quasiment plus. Pour éviter des charges ou des impôts trop élevés, ou des normes drastiques – techniques ou environnementales – imposées par Bruxelles, nos industriels ont préféré délocaliser leur production.

    Et, tandis que la classe ouvrière allait pointer à l’ANPE (2), la France, avec le "regroupement familial" de Giscard, laissait rentrer massivement sur son sol une immigration attirée par nos aides sociales aussi généreuses que variées, sans parler de l’immigration clandestine.

    Je ne cherche absolument pas à me faire plaindre mais, depuis ma prime jeunesse, j’ai "mal à la France".

    On m’a appris à souffrir en silence, comme s’il s’agissait d’une maladie vénérienne. Être amoureux de ses racines est plutôt mal vu à l’époque de la France multiraciale, de l’Europe "à 27" et de la mondialisation de l’économie.

    Je souffre aussi de voir mon pays devenir une colonie de peuplement de ses anciens colonisés qui, bien souvent, ont appris à nous détester.

    Avant la pandémie, notre "douce France, terre des arts, des armes et des lois", chère à du Bellay, était devenue une réserve indienne: chaque année, 80 millions de touristes venaient visiter – admiratifs ou effarés – notre pays peuplé de 68 millions d’habitants dont 5 millions de fonctionnaires, 7 millions d’allocataires des minima sociaux, des millions de chômeurs et des milliers d’hectares de friches industrielles, tristes témoins d’une époque où tout ce que nous consommions n’arrivait pas de Chine, d’Inde, du Vietnam, du Bangladesh, de Roumanie ou d’ailleurs.

    Durant toute ma vie, j’ai vu mon pays se déliter, perdre ses emplois, ses repères, ses valeurs. Certains quartiers sont devenus des ghettos aux mains de dealers allogènes, et les "Français de souche" en ont été chassés.

    Nous avons (re)découvert l’" ensauvagement" et la barbarie.

    Jadis, nos aïeux se battaient pour un idéal: leur fief, leur Dieu, leur Roi, leur patrie, leurs frontières. Notre pays a été immolé sur l’autel des banquiers apatrides, des européistes forcenés et de l’économie mondialisée. Une reddition sans combattre, une capitulation honteuse!

    Nous avons connus, pour beaucoup, des années de pensionnat (j’étais "enfant de troupe" à 11 ans), suivies d’un service militaire plus ou moins "viril" ; parfois des journées de travail de 10 ou 12 heures, des semaines de 60 heures (avant que la France socialiste ne devienne une feignasse qui ne veut plus bosser), avec, dans le secteur privé, la menace quasi permanente du chômage…

    Mais, je ne saurais me plaindre: ma vie professionnelle n’a pas toujours été une partie de plaisir mais elle m’a permis de voyager et elle n’était pas monotone: pour moi, la vie ne doit pas être "un long fleuve tranquille " sinon elle devient vite ennuyeuse! Je n’ai pas connu le chômage.

    Pourtant, dans mon secteur d’activité – l’assurance – en raison des rachats, fusions, absorptions, regroupements de sociétés (dus, entre autres choses, aux marges de solvabilité imposées par Bruxelles) beaucoup de mes collègues se sont retrouvés sur le sable à 50 ou 55 ans et n’ont pas pu rebondir. D’autres sont allés de plans sociaux en CDD.

    Je ne pense pas être (ou avoir été) un privilégié. Disons que ma génération, dans ses jeunes années, aura eu un peu plus de liberté que la suivante: nous ne connaissons le diktat des minorités (féministes, racialistes, LGBT, islamo-gauchistes, écologistes, etc.) que depuis le début des années 80 (3).

    Mais, si j’en crois les sondages, une majorité de jeunes se satisfait pleinement d’une France multiculturelle, bigarrée, écolo, invertie et islamisée. L’Education nationale s’est chargée de lui inculquer que le métissage – racial ou sexuel – c’est l’avenir et que les seuls dangers qui attentent aux "valeurs ripoux-blicaines" sont le populisme et le nationalisme. L’ennemi, en fait, c’est le " mâle blanc ". Mais je plains, sincèrement, de tout mon cœur, la jeunesse qui partage encore mes valeurs. Elle n’a pas fini de souffrir! Cependant, il existe toujours une lueur d’espoir, plus ou moins vivace et solide selon ses croyances: la vie éternelle pour les chrétiens ou, plus prosaïquement, un retour de balancier dans cette vallée de larmes.

    "L’espoir fait vivre "dit-on. Pour le moins, il aide à survivre.

    Dans un article récent consacré à Hergé, j’avais cité Léon Degrelle, le fondateur du "Rex" belge, qui a combattu sur le front de l’Est avec la division "Wallonie". Un de mes amis, très au fait de cette période de l’histoire, m’a communiqué les propos de Léon Degrelle, recueillis en 1981 par Jean Kapel (4). Il portait un jugement assez lucide et très sévère sur la décadence de l’Occident:

    "A l’Ouest, la civilisation du seul profit matériel dégoûte de plus en plus une jeunesse qui ne peut se résoudre à accepter la réduction au niveau de tubes digestifs que lui propose la société de consommation. La délinquance ou la drogue sont la rançon de cette situation. A l’heure où nous assistons au réveil de l’Islam, alors que l’American Way of Life laisse les peuples insatisfaits, aucune espérance n’est offerte à la jeunesse d’Europe, laissée à elle-même et à sa misère spirituelle3….

    Et, à la question de Jean Kapel: "Où se trouve la solution?", Degrelle répondait: "Eh bien, je vais vous surprendre, au risque de déchaîner contre moi la colère de nouveaux ennemis: j’attends beaucoup du peuple russe. Il représente une force encore saine et il ne supportera pas éternellement son régime de bureaucrates gâteux dont l’échec est total dans tous les domaines.

    J’espère qu’un jour un jeune Bonaparte sortira de l’Armée Rouge comme aurait pu le faire Toukhatchevski en 1938, et qu’il rompra avec le fatras idéologique débile qui étouffe la plus grande nation blanche qui soit encore décidée à agir sur l’histoire. Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant"….

    Aïe, aïe, aïe! J’ai osé citer Léon Degrelle qui, en l’occurrence, disait des choses sensées. Je prie mes lecteurs de n’y voir qu’une provocation de ma part; c’est juste pour donner du grain à moudre à ceux qui me traitent régulièrement de "facho".

    Eric de Verdelhan

    1)- "Histoire de France" de Jacques Bainville; Arthème Fayard; 1924

    2)- "Napoléon" publié également chez Arthème Fayard ; 1931

    3)- EMP = École Militaire Préparatoire

    4)- Cette date ne rime à rien car l’indépendance de l’Algérie date du 5 juillet 1962.

    Note de J. JOYCE: je ne partage pas l'avis de Degrelle

  • La lutte anti-chrétienne

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    La techno-culture, les marches LGBT, le celtisme, moyens détournés de la lutte anti-chrétienne

    La techno-culture s’insère dans la guerre de religion, cause profonde et cachée du mondialisme.

    La techno-parade de Paris trahit le rôle de la mode techno dans l’incessant combat des loges contre le catholicisme. Il s’agit de substituer au catholicisme une religiosité globalisante, une gnose naturaliste apte à rassembler les cosmopolites.

    La techno-culture sert à faire de l’argent. Cette génération est grande consommatrice de produits importés, parmi lesquels, en première place, la drogue. La techno-culture embrigade la jeunesse dans le projet occulte de République mondiale.

    La techno-culture, la LGBTisation des esprits, l’idéologie du genre, l’éducation à la sexualité, l’euthanasie achèvent la civilisation occidentale chrétienne que les initiés haïssent.

    Cette mode de la techno-culture, cette normalisation homosexuelle, ne sont pas des modes innocentes, des pratiques anodines, des convenances angéliques. Cet engouement, cette vogue visent à entraîner la jeunesse vers ces croyances naturalistes, c’est-à-dire des croyances que la Nature est le seul principe, la négation de la Surnature, la négation de Dieu, et à adhérer à l’idéologie mondialiste.

    Les médias aux ordres invitent les jeunes de tous les pays à participer à ces "cérémonies"; Jack Lang fut longtemps le grand manitou européen de ces défilés. Dans les années Mitterrand, Lang était le petit architecte d’une "galaxie" culturelle, écheveau d’associations et d’idoles, le destructeur de la culture, culture au sens noble du terme. Lang veut créer une nouvelle génération formatée, à la fois anti-chrétienne et antinationale, une génération métissée, déracinée et déculturée. Un réservoir électoral pour les mondialistes. Et depuis 2000, cette politique se perpétue, au gré des gouvernements de gauche et de droite.

    La Renaissance ouvrait symboliquement les Temps modernes. La Révolution dite française entamait la période contemporaine. Ces cinq siècles détruisent méthodiquement et progressivement l’Occident chrétien.

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  • Un phénomène surnaturel à Notre-Dame de Salette?

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    RAPPEL DES FAITS

    En ce dimanche 8 décembre 2024 qui est le jour de la fête de l’Immaculée Conception, un groupe de femmes chrétiennes traditionalistes prient le chapelet devant la statue de la Vierge Marie. Cette statue est sur la place pavée en forme de rotonde devant l’entrée de la cathédrale de Notre-Dame de la Salette.

    Ce sanctuaire de la chrétienté au-dessus de la commune de Corps en Isère est à une altitude de 1769 mètres. La température était de -2° Celsius et il neigeait abondamment quand un phénomène étrange se produisit à 10h39. Une larme coula au coin de l’œil droit et gagna la joue de la statue. Dès l’apparition de ce phénomène étrange, une personne présente filma la scène entre 10h39 et 11h06. Confer vidéo sur YouTube.

    RAPPORT CLINIQUE DE LA VIDÉO

    A 10h44, la larme de couleur sombre descend à la commissure de la lèvre. A 10h49, quand elle atteint le menton, elle prend une coloration blanche sous l’effet du gel. Il n’y a rien d’anormal car la température est de -2° Celsius, dois-je le rappeler aux sceptiques.

    Autre phénomène étrange, deux coulées blanches sous les narines de la statue semblent indiquer un écoulement nasal comme si la statue était victime d’une rhinorrhée.

    La rhinorrhée est un écoulement nasal de secrétions claires sans signes inflammatoires. C’est une réaction physiologique par temps froid. En temps normal, le nez fabrique un fluide épais et gluant, le mucus, chargé de filtrer et d’humidifier l’air extérieur. Quand la température baisse au dessous de zéro, les cellules du système immunitaire, les mastocytes, envoient un message au cerveau pour lui signaler de fabriquer davantage de mucus, afin de protéger la muqueuse nasale d’un assèchement et d’éviter que l’air sec n’irrite les poumons.

    A 10h50, deux larmes formant un y au coin de l’œil droit se joignent au niveau de l’orbite. A 10h56, la larme se divise en deux filets distincts et se recompose en un seul sous la commissure de la lèvre.

    A 10h58, un zoom montre la formation d’une larme sur le bord extérieur de l’œil droit. Elle coule sur le maxillaire supérieur. Une petite larme se forme aussi dans le coin de l’œil gauche de la statue. La sécrétion de muqueuse se poursuit sous les deux narines de la statue.

    Un arrêt de la vidéo à 4 minutes et 12 secondes offre une image saisissante du visage de la statue. Confer photo en tête de l’article. Sur le front au dessus de l’oeil droit, deux marques noires forment les lettres J et M. Si la neige abondante couvre la couronne de la statue, aucune coulée d’eau depuis celle-ci ne peut expliquer la présence de ces deux tâches sombres formant ces lettres.

    L’INTERPRÉTATION DE CE PHENOMENE par le journal Actu Grenoble

    Un lien avec la réouverture de la cathédrale de Notre-Dame de Paris ? Un signe pour Marie et la Fête des lumières à Lyon ?

    Nous sommes le dimanche 8 décembre sur la commune de La Salette-Fallavaux, petit village des Alpes qui abrite le célèbre sanctuaire de Notre-Dame-de-la-Salette. Niché à 1800 mètres d’altitude, le site est un lieu de pèlerinage pour les catholiques du monde entier.

    En ce dimanche de décembre, un visiteur va filmer la statue de Notre-Dame avec des "larmes" coulant le long de ses joues. Une vidéo qui va être publiée sur les réseaux sociaux. Il n’en fallait pas plus pour que la toile s’enflamme.

    UNE GOUTTE DUE A LA NEIGE

    Une larme a-t-elle vraiment coulé sur le visage de la statue de Notre-Dame ? Pour en avoir le cœur net, la rédaction d’actu Grenoble a joint l’accueil du sanctuaire.

    Un appel qui n’a pas surpris le personnel de Notre-Dame-de-la-Salette. "Depuis la publication sur les réseaux sociaux le lundi 9 décembre, nous recevons des appels d’Allemagne, du Brésil, du monde entier. Heureusement, je parle allemand", sourit la personne en charge de l’accueil.

    Les gouttes sont dues à un aléa naturel. Maintenant, chaque personne est libre d’interpréter comme elle le souhaite. "On ne valide pas ces informations. L’eau qui coule sur la statue est due à de la neige qui fond," répond le sanctuaire. Effectivement, il neigeait à La Salette-Fallavaux ce dimanche. Une réponse qui décevra peut-être les fidèles, mais qui ne gâche en rien la beauté de la vidéo.

    Source : https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/la-salette

    L’interprétation de la nouvelle Jérusalem, un forum catholique sous la protection de l’archange Saint Michel

    Pourquoi un tel signe en ce jour si particulier? [la fête de l’Immaculée Conception]. Ce n’est pas la première fois que la vierge cherche à nous alerter: à la Salette en 1846, à Fatima en 1917 ou encore à Akita en 1973. Son message est clair, revenir à Dieu, prier, se convertir. A travers ces apparitions multiples, elle n’a cessé de nous alerter des conséquences tragiques du péché et de l’oubli des valeurs spirituelles. Ces larmes résonnent comme un écho puissant des prophéties qu’elle a confié à Fatima, un avertissement urgent face à un monde en perdition.

    Commentaire: seuls les francs-maçons se réjouissent de ce monde en perdition. Ils recherchent le chaos pour instaurer la dictature à travers leur ordre mondial messianique. Nous en avons eu un aperçu avec leur exploitation de l’épidémie du coronavirus en 2020. Si je crains la grande réinitialisation du forum de Davos, je crois que Dieu déjouera in fine leur entreprise satanique. Dieu est plus fort que ces créatures perverses qui se prennent pour les maîtres des horloges.

    Source : https://nouvellejerusalem.forumactif.com

    Mon interprétation des faits

    Malgré une neige qui tombe dru au moment de l’apparition des larmes, aucun flocon de neige ne fond sur le visage de la statue. Avec une température négative de -2°C, la neige glisse et ce d’autant plus facilement que la statue est en bronze. En revanche, la neige s’accumule sur les parties plates : les épaules et la base du cou de la statue. La neige couvre aussi la couronne de la statue.

    Si la température avait été positive, le visage de la statue aurait été criblé de petites gouttelettes formées par les flocons fondant au contact de la statue. "Élémentaire, mon cher Watson! ". Conan Doyle.

    Je connais cette statue que j’ai photographiée, le samedi 22 juin 2019, lors d’un pèlerinage organisé par le diocèse de Digne. Confer photo

    Comment expliquer l’apparition de ces larmes et de ces secrétions muqueuses sous les narines de la statue qui miment à la perfection la réaction de notre système immunitaire? Il n’y a pas d’explication pour le commun des mortels.

    Concernant les traces noires formant les lettres J et M sur le front de la statue à l’arrêt de la vidéo à 4 mn 12s, je les interprète comme les initiales de Jésus et de Marie.

    Concernant la date de ce phénomène surnaturel, il intervient le lendemain de la messe carnavalesque dite à Notre-Dame de Paris. Les clercs ont porté des chasubles multicolores qui bafouent le violet, la couleur du temps de l’Avent, préparatoire à la grande fête liturgique de la naissance du Christ.

    Outre cette mascarade, le son des orgues a sonné terriblement faux. Toute l’assemblée était mal à l’aise. Cela a irrité Donald Trump qui a observé Macron pour connaître sa réaction. Contrairement à tout le monde, ce dernier " était aux anges, " une expression quelque peu déplacée depuis sa déclaration du 14 avril 2020 où il s’est mis carrément dans la peau de l’antéchrist.

    Le psychiatre italien Adriano Segatori nous avait avertis de la dangerosité de ce psychopathe dans l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle de 2017. Comme peu de Français s’informent en dehors des canaux officiels déversant la propagande mondialiste, ils en sont les premières victimes.

    Les veaux français sont encore léthargiques malgré l’amoncellement de nuages noirs dans le ciel. Ils ne réagiront que lorsque la douleur deviendra insupportable. Ludovic Malot a comparé cette épreuve à la passion du Christ: "La France sera la première à tomber, mais aussi la première à se relever".

    https://www.kernews.com

    Le vendredi 29 novembre, Emmanuel Macron a déclaré aux ouvriers ayant participé à la reconstruction de la cathédrale: "Le choc de la réouverture sera aussi fort que celui de l’incendie, bien que cela soit un choc d’espérance".  Cet aveu du pompier pyromane est passé inaperçu. Y-a-t-il encore des journalistes en France? J’en doute de plus en plus.

    N’existe-t-il-pas un lien entre la transformation de Notre-Dame de Paris en temple maçonnique par la volonté de Macron et les larmes versées par la statue de Notre-Dame de Salette le lendemain?

    Dans une France athée, la plupart des gens se satisferont de l’explication simpliste du journaliste Ugo Maillard d’Actu Grenoble.

    En revanche, les réactions à l’étranger ne se sont pas fait attendre. Le standard du sanctuaire a été saturé d’appels. Nul doute que les réservations d’étrangers vont affluer pour l’année 2025 dans ce sanctuaire de la chrétienté que les Français boudent.

    "On ne valide pas ces informations. L’eau qui coule sur la statue est due à de la neige qui fond" répond le sanctuaire.

    Pourtant, le journaliste d’actu Grenoble se garde de donner le nom de la source du sanctuaire qui valide son explication oiseuse. Il n’a pas pris non plus la peine de mener une enquête sur place alors que Grenoble est à une heure et demie de route de Notre-Dame de la Salette. S’il avait fait le déplacement, il aurait interrogé le groupe de prière et visionné plusieurs fois avec ces femmes la vidéo en question pour s’assurer de son authenticité.

    Hormis ce journal local, aucun média français ne s’est intéressé à ce phénomène surnaturel qui a été finement analysé par une fidèle ayant fait le pèlerinage à ce sanctuaire. Confer la vidéo ci-dessous:

    En revanche, ce phénomène surnaturel a été relayé aux États-Unis, au Canada et en Italie. Nul doute que d’autres pays chrétiens vont s’y intéresser à leur tour.

    https://www.lalucedimaria.it/la-salette-statua-madonna

    La France occupe une place essentielle dans la chrétienté avec les apparitions mariales à Lourdes, la Salette et le Laus. C’est la raison pour laquelle la franc-maçonnerie s’acharne à la détruire méthodiquement. Le christianisme est le dernier obstacle à l’avènement du gouvernement transatlantique après la disparition des États européens par le traité de Maastricht en 1992.

    Il n’y aura jamais de gouvernement mondial comme le répètent les détracteurs mais un gouvernement transatlantique à cheval sur la moitié de l’Europe. Les Russes n’accepteront jamais d’être les vassaux des Américains. En transposant la fable du loup et du chien de La Fontaine à l’actualité, les loups sont les Russes et les chiens sont les Européens.

    L’abbé Matthieu Salenave était présent lors de ce phénomène surnaturel. Voici son témoignage: "J’ai volontairement choisi de ne pas faire de commentaires. Chacun pourra voir et en tirer des conclusions. Ce qui importe le plus dans cet événement, c’est de voir la tristesse de Notre-Dame devant un monde qui crucifie son Fils et court à la damnation éternelle.

    Que ce message soit naturel ou surnaturel, la conclusion est la même : les hommes doivent cesser d’offenser Dieu et se convertir au plus vite.

    Dont acte!

    Bernard Martoia