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Société - Page 32

  • Vaccins: la science au service du totalitarisme

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    Aux États-Unis, Robert Kennedy Jr, critiqué et harcelé par les médias, lutte contre les lobbys puissants qui influencent la santé publique. Il a défié les normes établies lors de la crise du covid et s’est opposé au diktat du gouvernement. Il persiste dans sa bataille contre les géants de l’industrie pharmaceutique.

    En France, le professeur Raout et ses collègues de l’IHU Méditerranée, le professeur Christian Péronne, le médecin anesthésiste-réanimateur Louis Fouché, et combien d’autres, ont été aussi victimes de ce harcèlement médiatique. Ainsi, des scientifiques internationalement reconnus se retrouvent mis au ban de la société.

    Dans ce débat autour des vaccins-injections, la presse et la science font un mariage de convenance. Les médias scientifiques et les médias généralistes subventionnés mènent des campagnes contre les figures dissidentes. Didier Raout affirme: "Ils sont achetés, ils appartiennent aux plus grandes puissances financières du monde".

    Et il rappelle les liens des fonds d’investissement avec les lobbys, sociétés et revues pharmaceutiques. Cette dépendance financière des médias fausse la perception publique et influence les politiques sanitaires. La vérité scientifique est sacrifiée sur l’autel des intérêts financiers et de l’idéologie.

    En ce qui concerne la covid, le résultat des injections est catastrophique: des millions de morts, de blessés et de handicapés.

    Le train du totalitarisme a bien repris sa course effrénée, dans sa version contemporaine. Les totalitarismes ne sont pas des accidents de l’histoire. Ils réalisent la modernité politique occidentale, débarrassée de la morale et du tabou du meurtre, par la célébration fanatique de la science toute-puissante. Hannah Arendt annonçait le retour de la bio-politique nazie sous l’égide d’un mouvement international. Le totalitarisme se développe à nouveau sous nos yeux.

    Le totalitarisme substitue une pseudo-science, le scientisme, à la morale et à la spiritualité, dans le discours sur le corps.

    Une partie de la population est ainsi écartée de l’humanité, via la figure antique de l’Homo sacer, être exclu de la cité, déconsidéré et voué à mourir, condamné à une irréversible mise au ban, prélude à son élimination physique.

    L’appareil judiciaire devient un instrument de persécution et ne protège plus la dignité humaine. Cette situation juridico-politique met au ban des individus privés de leurs droits et rendus à une existence fondée sur la survie. Dans cet univers, toutes les transgressions sont possibles, le meurtre est non seulement toléré et acceptable, mais encouragé au nom d’une légitimité qui s’affranchit de la morale.

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  • Et si nous refaisions de la France ce qu’elle fut?

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    La France souffre, la France décline, et il n’est point besoin d’être grand clerc pour s’en apercevoir. Ce n’est pas là une question qui se discute parmi les esprits sincères et enracinés. Depuis un demi-siècle, notre patrie bien-aimée, cette vieille terre de gloire et de lumière, s’enfonce inexorablement dans une crise dont les racines plongent dans l’abandon de soi. Ces dernières années ont vu s’accélérer cette descente funeste, et la France, jadis quatrième puissance du monde, admirée et écoutée, n’est plus qu’un pâle reflet de ce qu’elle fut.

    Autrefois respectée, souvent imitée, souveraine en ses décisions et maîtresse de son destin, la voici réduite à quémander une place parmi les nations, talonnée par des pays naguère relégués à l’arrière-garde du progrès. L’Inde, l’Allemagne, le Japon ont pris rang devant nous, et bientôt nous verrons l’Italie et le Brésil nous dépasser si rien n’est fait pour endiguer cette chute vertigineuse. La voix de la France, naguère majestueuse et écoutée dans les conseils des nations, s’est éteinte dans un silence humiliant. Ceux qui, jadis, lui demandaient conseil ne daignent même plus l’interroger.

    Il est vrai que notre pays conserve encore une bribe de sa grandeur passée, notamment par son siège au Conseil de sécurité de l’ONU et par la force nucléaire qui assure encore sa souveraineté militaire.

    Mais ces reliques du passé suffisent-elles à masquer la triste réalité?

    Non!

    Trois fléaux, parmi d’autres, minent notre nation et la conduisent à l’abîme: une économie moribonde, une diplomatie effacée et la dissolution de notre identité nationale sous l’effet d’une immigration massive et d’un reniement de notre essence. Ces maux ne sont pas le fruit du hasard, mais les conséquences des erreurs accumulées par des gouvernants sans vision ni courage.

    L’économie de la France a été trahie par des décennies de décisions aberrantes. L’Union européenne, chimère administrative sans âme, nous enserre de ses chaînes et nous prive de notre liberté d’action. Cette servitude consentie nous coûte chaque année des milliards d’euros et nous a dépouillés de notre industrie, jadis florissante. Pire encore, elle nous a privés de notre souveraineté monétaire, nous livrant pieds et poings liés à des puissances étrangères.

    Notre diplomatie, autrefois rayonnante, s’est éteinte dans une soumission sans nom. Au nom d’un internationalisme abstrait, nos gouvernants ont effacé la France du concert des nations, préférant se fondre dans un magma informe où elle n’est plus qu’une voix parmi d’autres, indistincte et sans écho.

    Mais plus grave encore est l’effacement de notre identité, cet abandon coupable de ce que nous sommes. La France, patrie des siècles, se laisse submerger par des flux migratoires incontrôlés, accueillant sans discernement ceux qui ne partagent ni ses valeurs ni son histoire, et qui souvent la méprisent. La conséquence est une perte de repères, une érosion de la confiance et une dilution de l’âme française.

    Alors, la France peut-elle se redresser? Oui, mille fois oui, si elle retrouve en elle cette volonté farouche qui a fait sa grandeur. Mais cela ne se fera pas sans conditions. Il faudra:

        Quitter cette prison bureaucratique qu’est l’Union européenne et restaurer notre pleine souveraineté ;

        Réinventer un modèle social qui récompense le travail, l’effort et la créativité, plutôt que l’assistanat aveugle ;

        Abolir ces subventions absurdes qui engloutissent des milliards sans bénéfice réel pour la nation ;

        Supprimer ces "comités Théodule", repaires de l’inutile et refuges des battus des élections, à commencer par ce CESE qui dilapide chaque année 45 millions d’euros ;

        Réviser à la baisse notre aide au développement, et cesser de financer ceux qui ne nous témoignent aucun respect ;

        Restaurer le droit du sang et ne donner la nationalité qu’à ceux qui aiment la France, la comprennent et s’y assimilent pleinement ;

        Inverser le déséquilibre migratoire qui voit nos esprits les plus brillants partir tandis que l’on offre gîte et couvert à ceux qui ne viennent que pour profiter de nos largesses ;

        Encourager enfin la natalité française, par une politique véritablement incitative qui assure la pérennité de notre peuple.

    Ainsi, par un effort national de renaissance, nous pourrons réduire notre dette, restaurer notre balance commerciale et rendre à la France sa grandeur perdue. Mais pour cela, il faut que le peuple français se réveille, prenne conscience de ce qu’il est et exige avec force et détermination la reconquête de son destin.

    Car la France n’est pas qu’un pays parmi d’autres. Elle est une idée, un héritage, une lignée ininterrompue de gloire et de courage. Et si nous voulons qu’elle vive, il nous faut, dès aujourd’hui, œuvrer à sa résurrection!

    Jean-Jacques Fifre

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • La caste politicienne a décidé le remplacement de son peuple par les importés

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    Ce que je développe ci-après est un avertissement sérieux sur la situation d’avenir pour les Français blancs du Peuple Premier du pays.

    La submersion migratoire n’est pas qu’un sentiment, c’est une réalité que des millions de Français du peuple autochtone peuvent constater partout dans leur espace public: train, métro, hôpital, écoles, marchés et rues des villes jusqu’aux plus petites, le fait est devenu incontestable, c’est un véritable tsunami.

    Vous regardez une photo de classe des années 60 que vous comparez avec la photo de la même classe de la même ville aujourd’hui, vous savez que les statistiques d’immigration sont une vaste fumisterie. Churchill a raison, vous ne devez croire que les statistiques que vous avez-vous même établies, toutes les autres sont à écarter comme suspectes de relever de l’idéologie.

    Tous les chiffres que vous avancent les journalistes de la doxa, de la classe politique, de la police, des soi-disant démographes et sociologues tirés des ministères et agences d’endoctrinement comme l’INSEE sont faux, archi-faux, tout comme ceux de la délinquance où on est fondé à penser que 20% des policiers administratifs ont pour tâche d’élaborer une double comptabilité statistique: l’officielle où tout va bien, l’officieuse où nous sommes au bord de la guerre civile.

    De l’eau à mon moulin que l’on ne vienne pas prétendre que je distille de la fake news?

    Nous avons vu en 2024 que tous les ministres et tous les fonctionnaires des ministères ainsi que l’ensemble des économistes ont caché jusqu’aux élections de juin l’état réel du budget.

    La justice passe son temps à classer sans suites des millions de plaintes tous les ans comme ici au tribunal de Melun:

    "Le procureur de Melun, Jean-Michel Bourlès, a annoncé lundi que des plaintes seront classées sans suite, sans acte d’investigation, pour tenter d’absorber le flot de procédures qui submerge les services enquêteurs".

    https://www.fdesouche.com/2025/01/29/melun-77-face-au-nombre-plethorique-de-plaintes-la-justice-va-directement-classer-des-affaires-sans-suite-sans-mem

    Le sort des trois millions de plaintes en souffrance comme les victimes est scellé qui ont vocation désormais tous les ans à être classées sans suite:

    " …/… des plaintes non-traitées qui s’accumulent, des tribunaux engorgés, et des prisons qui débordent. Selon un rapport réalisé par une mission d’inspection conjointe des ministères de l’Intérieur et de la Justice en 2022, il y avait 2,7 millions de plaintes en attente, auxquelles s’ajoutent chaque année 3,5 millions de nouvelles procédures. Les enquêteurs sont submergés. En 2023, selon la Cour des comptes, la moyenne nationale des dossiers à traiter est de 119 par enquêteur, un chiffre qui monte à 550 pour la Seine-Saint-Denis".

    https://www.fdesouche.com/2025/01/26/plaintes-non-traitees-tribunaux-engorges-prisons-saturees-peines-estimees-trop-faibles-face-aux-defaillances-de-letat-des-victimes-se-font-just

    Tandis que les policiers ont vu leur doctrine d’emploi modifiée: ils sont désormais sommés d’éviter au maximum de prendre des plaintes et sont chargés au contraire de dissuader les victimes d’en déposer:

    “Aujourd’hui, les policiers le disent clairement aux commerçants quand ils viennent déposer plainte pour un vol: il n’y aura pas d’enquête, parce qu’ils n’ont pas le temps“, nous explique Pierre Rancé. Et quand la procédure a la “chance” d’aller jusqu’aux tribunaux, c’est bien souvent des mois, voire des années après le préjudice. Car la justice elle aussi est saturée. Sans parler de la loi, qui pour certains sujets, comme les squats, n’est pas faite pour permettre aux propriétaires floués de récupérer suffisamment rapidement leurs biens. […] "

    (Même article-lien que supra).

    Combien de millions de plaintes non déposées, non enregistrées et radiées des statistiques officielles tous les ans? Deux millions? Trois millions? Quatre millions?

    Il faudrait pouvoir accéder aux statistiques officieuses, qui au surplus sont déjà en deçà des réalités puisque par définition ne tiennent pas compte des centaines de milliers de victimes tous les ans dissuadées par la police de déposer plainte ou sorties des comptabilités dès les commissariats, qui donc ne remontent jamais jusqu’au ministère.

    Nous avons connaissance de préfets qui arrivent de manière tout à fait fortuite à laisser fuiter des éléments que les ministères cachent en mobilisant des moyens considérables avec des subventions à plusieurs milliards par an pour farder le réel du pays par une presse et un audiovisuel de propagande que Goebbels envierait.

    Ainsi du préfet de Seine-Saint-Denis et d’un rapport d’enquête qui à 400 000 habitants près sont incapables de connaitre le nombre d’habitants dans le 93, soit l’équivalant-population du Jura ou des Landes:

    https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis

    ou les déclarations du préfet du 06 qui avoue plus de 50% de la délinquance dans des villes comme Cannes ou Nice étant le fait d’extra-européens dont une grande partie de clandestins.

    Ou encore un lanceur d’alerte gendarme qui montre que Retailleau n’est qu’un guignol comme les autres, dont Darmanin:

    "Des quartiers hors de contrôle, des délinquants impunis, des forces de l’ordre découragées: le constat d’Hervé Moreau est sans appel. Il décrit une France Orange mécanique, où la violence explose sans limite. "Aujourd’hui, tout peut arriver, partout et n’importe où. La violence, le crime, le terrorisme sont des réalités incontournables. Et les choses n’iront qu’en empirant si nous n’agissons pas" indique t-‘il d’ailleurs dans une interview à Epoch Times.

    Dans les rues, la situation est hors de contrôle: agressions gratuites, attaques au couteau, règlements de comptes, embuscades contre la police et la gendarmerie. Ce que les médias qualifient de " faits divers " est en réalité un symptôme d’un effondrement bien plus profond.

    https://www.breizh-info.com/2025/02/04/243466/herve-moreau-un-capitaine-de-gendarmerie-brise-lomerta-sur-lexplosion-de-la-violence-en-france/

    On ne voit par ailleurs plus que ça, gymnases, écoles, théâtres, hôtels, des milliers de locaux par an réquisitionnés pour loger de l’extra-européen.

    Tous les tableaux de bord de la France sont ainsi falsifiés, et l’économiste ou le spécialiste des finances, le démographe ou le sociologue qui vient sur les plateaux TV pourra être le plus intègre qui soit, en réalité il développe des thèses et théories à partir de chiffres faux, il ne peut donc pas arriver à une analyse vraie, c’est pourquoi, quand le Grand Public entend ses conclusions, le prend avec raison pour un imbécile-né: tout analyste sérieux qui veut faire un état des lieux sur la situation réelle du pays doit d’abord mettre au panier tous les chiffres officiels de tous les ministères et agences de propagande d’État pour y substituer ceux de sa propre enquête après avoir compilé ses propres agrégats.

    C’est que les gens qui se promènent dans les rues ont le nez dans le réel, quand un petit blanc est noyé dans une masse de cent subsahariens et mahométans, il ne peut que dauber les crétins de démographes et sociologues du CNRS ou des universités qui lui affirment que le taux d’immigration des extra-européen atteint à peine 10%: le petit Blanc voit bien qu’on lui ment puisqu’ils ne sont pas 0,1 autour de sa personne mais 100 possiblement à renifler le gadjo à délester de son gousset.

    Or deux éléments méritent d’être reliés au précédent concernant le raz-de-marée migratoire pour achever le tableau d’alerte grave de vie ou de mort pour les Blancs de France:

    1° Les déclarations de la gauche des socialistes aux communistes liés par un pacte de colonisation de la France jusqu’à l’extrême de l’auto clamé arc républicain qui comprend tous les centristes Bayrou, Attal et ses macronistes en tête jusqu’aux traîtres au pays vrai les Républicains Wauquiez, Sarkozy, Pécresse et Bertrand en tête.

    Tous ces gens veulent faire de la France une patrie pour les importés, ce qui oblige ipso facto à inférer que dans leur plan-programme le Peuple Premier doit être soit déporté, soit mis en camp de concentration, soit exterminé.

    C’est bien ce qu’il faut entendre quand un Mélenchon avoue devant ses troupes allègres le Grand remplacement en discourant sur le projet de génocide partagé par tout l’arc républicain, ledit Jean-Luc n’étant jamais démenti ni dans le texte ni dans les actes puisque les frontières sont bien grandes ouvertes depuis 20 ans et le seront dans encore 20 ans si on laisse les mêmes politiques décider pour le Peuple Premier.

    Jean Luc Mélenchon parle donc autant au nom du président Macron qu’au nom des sieurs Bayrou, Darmanin, Retailleau, Hollande, Sarkozy, Wauquiez et toute la bande:

    "Oui, Monsieur Zemmour, il y a un Grand remplacement", s’est exclamé le leader de La France insoumise vendredi dernier, devant un auditoire enthousiaste. Jean Luc Mélenchon validait ainsi la thèse d’un " Grand remplacement", mais à sa manière. Ce remplacement est " celui d’une génération qui vient après l’autre et qui ne ressemblera jamais à la précédente", déclarait-il, soulignant " l’importance de cette créolisation qui crée du neuf".

    https://www.europe1.fr/politique/jean-luc-melenchon-vante-la-creolisation-de-la-france-une-provocation

    Je viens de vous mettre en évidence la réelle volonté d’une majorité de politiques français d’éradiquer la population blanche de France, et il faudrait que le Blanc du Peuple Premier réfléchisse à plus d’une fois avant de voter Retailleau ou Darmanin et s’en fasse l’écho, il voterait contre ses intérêts et dans l’intérêt de ceux du tsunami à qui l’on a promis ses terres et possessions, sa femme et ses filles.

    2° L’inéluctable conséquence qui actuellement mise en œuvre en Afrique du Sud va irrémédiablement et aussi sûrement survenir en France demain, et peut-être avant 2040/2050:

    "Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a promulgué un projet de loi autorisant la saisie de terres par l’État sans compensation, une décision qui l’a mis en porte-à-faux avec certains membres de son gouvernement.

    Plus de 30 ans après la fin du système raciste de l’apartheid, les Noirs ne possèdent qu’une petite partie des terres agricoles du pays, la majorité restant aux mains de la minorité blanche".

    "Trump suspend tous les financements destinés à ce pays en raison de sa politique discriminatoire envers sa minorité blanche".

    https://www.fdesouche.com/2025/02/03/afrique-du-sud-le-president-ramaphosa-legalise-les-expropriations-sans-aucune-compensation/

    Alors je vous pose la question sérieux, avec une classe politique anti-France et antiblancs, qui va des communistes à Attal en passant par Braun-Pivet et Retailleau-Darmanin notre petit couple de danseuses qui n’arrive pas à la cheville de Joséphine Baker quand elle faisait les beaux jours des music-halls avec son régime de bananes à la taille, qui demain sera élue par une majorité d’extra-européens haineux des Blancs et de l’Occident en 2040/2050, que va-t-il se passer pour le Peuple Premier français?

    Vous vous imaginez échapper à l’expropriation par les nouveaux venus?

    Les naïfs de la Coordination Rurale, de la Confédération Paysanne et de la FNSEA croient-t-ils encore pouvoir labourer leurs terres après 2040/2050?

    Ce ne serait qu’au moment d’embarquer dans le wagon à bestiaux pour la nacht und nebel qu’ils comprendraient enfin que les politiques qui viennent régulièrement les embobiner le cul sur une botte de paille ont déjà décidé de les décimer?

    Démographiquement minoritaire probablement dès 2040/2050, on ne sait vu le nombre de clandestins dans le pays, traqués par une volonté politique d’en finir avec le Peuple Premier de France que les élus de l’ensemble de l’auto-proclamé arc républicain ne masquent même plus, et vu le précédent d’Afrique du Sud, inutile de vous dessiner un mouton à la St-Ex pour que vous voyez votre visage blanc pâlir dans le tableau coloré-basané-coranisé de la France demain.

    Vous saviez instinctivement les risques, vous avez maintenant une perspective assurée de votre sort que je viens de vous dévoiler à l’aide d’arguments imparables relevant à la fois de la nature humaine, du jeu de la démographie politique du Grand remplacement et du précédent Sud-Africain en cours.

    Mais c’est tout votre entourage qu’il faut évangéliser, au besoin par les sentiments en leur brossant l’avenir de leurs fils et filles en esclavage dans les champs de coton de leur propre pays: c’est bien cela qu’ils espèrent pour leur descendance?

    Qui est prêt à mettre sur la table une liasse de dollars en pariant sur une thèse plausible du contraire de celle-ci que j’estime incontestable compte tenu de l’Histoire de l’Humanité depuis les premières sources écrites?

    Jean d’Acre

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)