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Politique - Page 6

  • la guerre civile arrive!

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    Avant l’introduction du Pape, il paraît que l’on vérifie par palpation qu’il les a bien pendantes. Cette tradition remonterait à après la papauté de Léon IV. Une Anglaise se faisant appeler Jean aurait été pape 2 ans et 5 mois au IXe siècle. La supercherie fut découverte lorsqu’elle fut enceinte.

    Cette tradition devrait être aussi appliquée à nos introduits Présidents et Premiers ministres, pour vérifier s’ils les ont bien pendantes et sont aptes à diriger la France. Mais les avoir bien pendantes n’est pas suffisant, faut-il encore qu’elles soient d’un volume appréciable, où égales. Imaginez notre nouvel  introduit, qui en aurait une grosse et une petite, de gauche ou de droite, ou tordue ou de genre indéterminé? Imaginez le pire, qu’un  introduit apprécie de se les faire palper et en redemande par souci d’égalité, par Mamadou et Mohamed. Pourquoi pas? La fraternité étant une de nos valeurs, le nouveau peuple aurait bien le droit de soupeser les roubignoles du chef, d’autant que traditionnellement, dans leur civilisation, l’homme qui porte la culotte ne peut être commandé par la fatma.

    Notre introduit actuel, déjà deux fois, aimerait bien se faire introduire une troisième fois et si possible, ce qui lui ferait un grand plaisir, être introduit grand chef, par toute l’Europe. La séance de palpation  durerait beaucoup plus longtemps, avec le risque qu’il  soumette l’utile à l’agréable.

    Revenons-en à nos politiques qui, paraissant mal équipés et auraient bien besoin d’une greffe de roustons, la plupart étant des grands diseux et des petits faiseux, un proverbe très apprécié de notre regretté chef, qui lui les avait bien grosses.

     

    De mois en mois, d’années en années ils commentent l’actualité violente. À chaque agression, meurtre, émeute, ils constatent leur impuissance à ébranler le nouveau peuple de racailles.

    Une fois de plus, une fois de trop un fonctionnaire est entre la vie et la mort.  Encore une fois un pompier a subi une agression " abjecte " selon le ministre Retailleau. Pas une semaine ne se passe sans une violence sur un policier, un prof, un pompier, un maire et même un facteur ou un éboueur. C’est donc l’État qui est visé dans ces agressions contre ses représentants.

    Il y a un an, 56% des Français déclaraient avoir été victimes d’une agression, d’un vol, d’une agression verbale où d’un harcèlement.

    Il y a 3 jours dans un sondage C News, 70% des Français estimaient qu’il n’y a plus d’endroit en France où on puisse être en sécurité. 80% ont peur pour leurs enfants. 92% considèrent que l’insécurité augmente.

    Pourtant, le 25 octobre 2024, Retailleau faisait une grande déclaration, voulant frapper la délinquance au cœur et en profondeur avec des opérations "places nettes"

    "Plus qu’une simple lutte, c’est une guerre sans pitié (…) que nous voulons livrer aux délinquants", a-t-il dit. Qu’en est-il 7 mois après? La peur a gagné davantage de Français et de fonctionnaires, pendant que la racaille insoumise, immigrée, islamiste a de moins en moins peur, au point de multiplier les émeutes, pas seulement à Paris mais dans toute la France, y compris rurale. Tous les jours les armes de guerre sont utilisées, même devant un commissariat; il n’y a plus une semaine sans qu’un jeune meurt d’une lame de couteau. Autre civilisation autre mœurs, cachées par une promesse de vivre ensemble.

    C’est la guerre civile et elle a commencé il y a déjà plusieurs années, mais chut, il ne fallait pas le dire, car déjà à l’époque on n’avait pas les couilles pour s’y attaquer, et encore moins aujourd’hui, par lâcheté et la soumission à la LDH européenne.

    On croit rêver! Pour combattre cette guerre civile, nos émasculés n’ont à nous proposer que des mesures qui auraient été efficaces il y a 20 ans, mais aujourd’hui c’est trop tard. Oui Monsieur Retailleau, vous avez bien raison, c’est bien une guerre sans pitié qu’il faut mener,  mais si cette guerre sans pitié consiste à enfermer pendant une semaine ou deux une racaille et souvent un émeutier,  dès le premier délit grave, ce n’est pas une guerre, c’est toute juste une reddition. Et quel effet cela aura-t-il sur les centaines de milliers de délinquants endurcis dans les rues?

    Quel effet l’enfermement d’une semaine aura-t-il sur des djihadistes potentiels? Travaillés au corps par les Frères musulmans ou envoyés en mission par l’Algérie… La fondation Jaurès a récemment publié une enquête qui était particulièrement inquiétante mais réelle: " 46 % des étrangers qui sont musulmans considèrent que la charia est supérieure aux lois de la République. "  57% des jeunes musulmans considèrent que la charia est plus importante que la loi de la République (+10 pts depuis 2016).

    Monsieur Retailleau, le coup de la rééducation, on nous le fait depuis 40 ans, quelques jours de prison ça ne réglera rien, on ne fait pas une guerre civile avec de bons sentiments.

    Le plomb que vous avez au pied, avec vos ministres, vos députés, c’est dans les cervelles des séditieux qu’il faut le mettre.

    Il faut, pour pacifier la France, un autre général Massu et instaurer la loi martiale. Oui, ça fera quelques morts, pendant quelques mois, mais à attendre quelques années de plus, les morts se compteront par centaines de milliers.

    Au début des années 1990, une guerre civile entre frères, en Algérie a fait 200 000 morts et des milliers de disparus.

    Notre guerre civile se fera entre de souche et musulmans, ce sera pire, il n’y aura pas de quartier.

    Daniel Faguet

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • La dialectique utilisée depuis des siècles par les forces occultes

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    (…)

    Trois éléments démontrent que l’origine maçonnique de la philosophie de Hegel est évidente:

    LA METHODE DIALECTIQUE.

    Le principe de l’identité du rationnel et du réel, qui dérive de l’idée du Dieu civilisateur.

    L’idée que l’Histoire est progressive et doit s’achever par la divinisation de l’Humanité.

    Quelques exemples historiques prouvent que la stratégie dialectique hégélienne est utilisée depuis des siècles par les forces occultes.

    PREMIER EXEMPLE.

    La Révolution américaine de 1776. Thèse: À la suite de la guerre de Sept Ans (1756-1763), les colons prennent conscience de leurs intérêts communs et préparent la Révolution américaine pour l’indépendance, en opposition à l’Angleterre monarchique.

     

    Antithèse:

    En 1781, et avec l’aide de la France, la victoire de Yorktown décide de l’indépendance des Etats-Unis. Une nouvelle République est fondée sur des principes maçonniques, Déclaration des Droits de l’Homme, constitution influencée par les Lumières, figures comme Benjamin Franklin (1706-1790), et George Washington (1732-1799).

    Synthèse:

    La fédération des Etats-Unis s’instaure progressivement et devient la première république maçonnique moderne, servant de modèle pour les futures révolutions, en France et en Amérique latine.

    DEUXIEME EXEMPLE.

    Le Révolution dite française de 1789. Thèse: La France est une monarchie catholique traditionnelle. Le roi est le seul souverain par la grâce de Dieu.

    ANTITHESE:

    La Révolution jacobine, financée par des réseaux bancaires occultes, substitue à la notion de monarchie de droit divin, la notion de souveraineté populaire.

    SYNTHESE:

    Une République laïque anti-christique s’installe. L’ordre social chrétien est détruit progressivement. Des sociétés secrètes s’infiltrent dans les institutions.

    TROISIEME EXEMPLE.

    La guerre de Sécession américaine (1861-1865). Thèse: Le Sud est esclavagiste, conservateur et agraire.

    ANTITHESE:

    Le Nord industrialisé, progressiste et abolitionniste, est soutenu par les banques Rotschild.

    Synthèse:

    Les Etats-Unis sont unifiés sous l’emprise des banques maçonniques, première étape vers la centralisation du pouvoir américain.

    QUATRIEME EXEMPLE.

    La Révolution bolchevique établie en 1917, par opposition au nazisme établi en 1933. THESE: La Russie orthodoxe traditionnelle est gouvernée par un Tsar.

    ANTITHESE: La révolution bolchevique est financée par Wall Street, les banques Kuhn & Loeb, Schiff, Rothschild, Warburg. Les fondations d’un Empire sont posées.

    SYNTHESE: Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la lutte entre entre communisme et nazisme, deux systèmes apparemment opposés, mais tous deux matérialistes, conduit à la victoire du social-capitalisme qui fusionne les deux idéologies sous forme d’un Etat-providence mondialiste.

    CINQUIEME EXEMPLE.

    La Guerre Froide (1947-1991). Thèse: Le bloc capitaliste occidental comprend les Etats-Unis, les pays d’Europe occidentale, l’Australie, la Nouvelle-Zélande.

    ANTITHESE: Le bloc communiste avec l’URSS et les pays d’Europe de l’Est est financé indirectement par l’Occident à travers des prêts, un transfert de technologie et des accords économiques secrets. Cette nouvelle puissance, en s’opposant au bloc capitaliste, permet d’accélérer le cours de l’Histoire.

    SYNTHESE: Une Ordre mondial bipolaire émerge, contrôlé en coulisses par les mêmes réseaux, accélérant la transition vers la mondialisation.(…)

    SEPTIEME EXEMPLE.

    L’OCCIDENT WOKISTE OPPOSE A L’EURASISME NON WOKISTE.

    THESE: L’Occident libéral décadent est soumis aux réformes sociétales, LGBTisme, éducation à la sexualité, idéologie du genre, transgenrisme, wokisme, euthanasie, eugénisme, Great Reset.

    ANTITHESE: Un bloc conservateur eurasiste se forme avec Donald Trump, Vladimir Poutine, Alexandre Douguine, Elon Musk, des réseaux " dissidents " comme Alain Soral, Pierre-Antoine Plaquevent.

     

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  • Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de l’Éducation nationale

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    Mercredi 7 Mai 2025. Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale annonce son plan "Filles et garçons": ouvrir les classes de 4e et 3e à horaires aménagés, avec un quota de 50% de filles, et ainsi dégenrer les cours de maths. Le but: 20% de femmes dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026, 30% en 2030. Les moyens: sensibiliser les professeurs aux biais de genre.

    L’idéologie du genre aux dépens de la simple nature. La quantité au détriment de la qualité. L’égalitarisme contre la perte de la différence. Nouvel exemple de discrimination positive. Madame Borne s’inscrit bien dans la continuité de ses prédécesseurs qui ont détruit l’école.

    La mort de l’école le fruit d’une subversion par une idéologie, le pédagogiquement correct, qui s’attaque au contenu et aux méthodes. Mai 68, événement récréatif, peu dramatique dans les faits, provoqua un véritable séisme mental, moral, culturel, d’une ampleur inégalée, mettant à bas quinze siècles de tension historique vers le savoir et la réflexion.

    Le pédagogiquement correct, c’est la lobotomie mentale des nouvelles générations, c’est le discours dominant de la post-modernité et du post-modernisme dans l’éducation, habit neuf de l’esprit révolutionnaire et du marxisme. Le pédagogiquement correct, c’est la mise en œuvre du prolétaire de l’esprit, au service de la révolution mondialiste. Le zombie mondialiste, gentiment ludique, reste confiné aux exigences de la vie en société multiculturelle.

    Le pédagogiquement correct est l’enfant adultérin d’un marxisme gauchiste post-soviétique et de l’idéologie marchande et consumériste. Cette révolution culturelle prend parfois des aspects ridicules: Trissotin, poète grotesque, pédant et vaniteux des Femmes savantes, et Diafoirus, médecin prétentieux du Malade imaginaire, sont réunis en pédagogie pour fabriquer des pédagomanes. Cette révolution culturelle a une finalité nombriliste: enseigner la jeunesse aux jeunes, dernière mission de l’école républicaine… tout en détruisant la jeunesse. Degré zéro de la pensée, cette révolution culturelle produit une jeunesse qui ne pense plus.

     

     

    La pédagogie, c’est l’art de bien enseigner. Le bon pédagogue aime ce qu’il enseigne et sait faire aimer ce qu’il enseigne. Ainsi, la pédagogie désigne un caractère, une aptitude, voire un talent.

    La pédagogie pourrait n’être que l’art de faire un homme accompli, cultivé, l’art de conduire l’enfant hors de la barbarie. Dans nos sociétés, nous assistons à un retour en force de la barbarie, parce que l’éducation a oublié cette mission.

    À partir de 1950, et de façon plus accentuée dans les années 1960, le discours éducatif promeut la pédagogie au premier rang. La pédagogie cesse d’être un art. Elle prétend devenir une science. Le libellé universitaire " Science de l’éducation " date des années 1960. L’Institut national de la Recherche pédagogique occupe les locaux de l’ancienne manufacture de Sèvres. Au sein de cette institution, on discute de cette science pédagogique en pure perte.

    La science pédagogique se revendique savante et se veut normative. Elle n’échappe pas au scientisme lourd, sous-produit du marxisme qui a dominé une bonne partie de l’université.

    Historiquement, l’éducation est le domaine privilégié de la gauche. C’est bien pourquoi, le 3 juin 1932, lors de la formation du troisième cabinet de Edouard Herriot, le ministère de l’Instruction publique prend le nom de ministère de l’Education nationale. Benito Mussolini avait entrepris une réforme similaire trois ans auparavant. Dans les deux cas, c’est le triomphe de l’école spartiate, visant à former l’enfant dans une école totalitaire.

    La gauche s’est appropriée le discours pédagogique et en a fait sa chose. Par l’introduction et l’imposition autoritaire de la méthode globale d’apprentissage de la lecture, on a procédé au massacre des enfants innocents. Depuis des années, l’illettrisme des jeunes Français est avéré: bon nombre d’entre eux arrivent en 6e sans savoir lire. Ils déchiffrent plus ou moins péniblement, mais ne comprennent pas ce qu’ils lisent.

    La racine de ce mal est à chercher dans la pédagogie. Rôle néfaste de la télévision et des appareils numériques, démission des familles, immigration qui provoque de l’hétérogénéité dans les classes et une baisse de niveau. Mais le cœur du problème demeure dans les choix qui ont été faits par le système scolaire dans l’enseignement élémentaire. Et dans la perte de temps dans des activités inutiles, comme l’éducation à la sexualité. Il faut du temps pour apprendre à lire.

    Ces choix s’appuient sur des mécanismes idéologiques irresponsables et organisés autour d’un discours obscur et incompréhensible. Ces choix signent le dérèglement de l’esprit contemporain et la décadence du jugement. Dans son livre La destruction de l’enseignement élémentaire et ses penseurs, Liliane Lurçat, psychologue française (1928-2019), souligne " l’échec dû à l’esprit de système qui envahit la pratique pédagogique". Elle ajoute: " L’échec se généralise au point que dans les centres médico-psycho-pédagogiques, on se plaint de devoir rééduquer des enfants intelligents, que l’école casse par des méthodes aberrantes". Il s’agit donc bien d’un crime. Les criminels tiennent le haut du pavé, imposent un véritable terrorisme qui interdit toute critique

    Des méthodes pédagogiques hasardeuses se substituent à la transmission du savoir. Ainsi, Philippe Meirieu, longtemps le patron de l’Institut national de la Recherche pédagogique, déclare:

    "Apprendre à lire, c’est prendre le pouvoir sur les autres". Cette phrase porte une lourde charge marxiste. L’apprentissage de la lecture a toujours été réservé aux bourgeois. Non. Au contraire, lire et écrire permet de s’insérer dans un ordre symbolique commun qui constitue un héritage. Meirieu-Diafoirus oublie ou plutôt refuse la nature sacrée de l’acte d’enseigner, la transmission de l’héritage par les héritiers que nous sommes.

    Le désastre touche à toutes les disciplines par la dissolution de l’acte d’enseigner.

    Liliane Lurçat insiste sur ce point: "Une des idées martelées à notre époque au sein de l’institution scolaire… est qu’il n’y a pas de lien entre l’acquisition des connaissances et leur transmission, ou plus radicalement, qu’il n’y a pas de transmission, mais seulement une construction des savoirs".

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