Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 3

  • Pourquoi seuls les lieux de culte chrétiens brûlent-ils en France?

    Imprimer

    Photo: basilique St Sernin, de nuit, Toulouse

    Je me pose la question.

    Depuis 15 ou 20 ans, un nombre d’environ 50 églises et cathédrales ont été la proie des flammes d’incendies plus ou moins graves. Le pire incendie fut celui de Notre-Dame de Paris. 10 minutes après le départ du feu, alors que personne n’avait pu procéder à une analyse quelconque, l’Élysée a fait savoir et donné hystériquement l’ordre aux médias d’affirmer sans le moindre doute qu’il s’agissait d’un incendie accidentel, sinon des têtes de présidents de chaînes de radio et de télévision et des patrons de journaux allaient tomber…

    Ce fut un abus et un mensonge d’État destiné à endormir le public français et à le détourner de ceux qui commettent tous les crimes, viols, attaques au couteau, égorgements, décapitations et actes de terrorisme dans tout le pays afin de le soumettre, de le piller et d’en prendre la tête. Macron est leur ami.

    Sur cette photo (J’accuse!) Macron et Édouard Philippe semblent rigoler et bien s’amuser devant l’incendie de Notre-Dame de Paris.

    Les autres, autour d’eux, sont sérieux, soucieux et semblent très choqués…

    Cette attitude est indigne d’hommes d’État responsables et fait d’eux des voyous.

    Et les voyous, on sait de quoi ils sont capables, surtout avec les pouvoirs mirobolants d’un chef d’État…

    Des hommes d’État doivent avoir de la dignité (surtout face à un événement dramatique d’importance planétaire qui a ému toute la France, des millions d’étrangers et l’ensemble du monde judéo-chrétien), de la réserve, une attitude sérieuse et responsable et ne doivent pas glousser ni se gausser dans ce genre de situation.

    Mais ce genre d’attitude de la part d’hommes dont on sait qu’ils sont des menteurs, des corrompus et des habitués de la manipulation des masses peut inciter à penser qu’ils ne sont pas étrangers à la plupart des drames qui se produisent sous leur gouvernance.

    Je n’hésiterai donc pas à franchir le pas et à affirmer que depuis que Macron est au pouvoir, de nombreux événements tragiques se sont produits sur tout notre territoire et au minimum se sont amplifiés et multipliés.

    N’oublions pas qu’en 2016, il lui avait échappé cette déclaration selon laquelle il avait été missionné pour détruire la France…

    Et certains prétendent même que Macron avait donné l’ordre aux bandits de l’ombre qui sont à son service de mettre le feu à Notre-Dame…

    Si c’était vrai, à coup sûr de nombreux gauchistes notamment, parmi lesquels les habituels Black Blocs casseurs et destructeurs profitant de tout événement de rue pour semer la violence et le chaos auraient  sans nul doute participé au déclenchement de cet incendie.

    Les incendies de bâtiments publics d’État sont assez rares.

    Prenons les bâtiments publics accueillant des institutions publiques ou politiques, comme l’Élysée, le Palais Bourbon (Assemblée nationale), le Sénat, Matignon, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, l’ensemble des ministères et des sièges d’organisations politiques sous tutelle de l’État, et puis la Banque de France, la Bibliothèque nationale, les grands musées de Paris et l’ensemble des musées de France, les bâtiments abritant des organisations comme la Sécurité sociale, les hôpitaux, les agences de santé publique, nationaux, régionaux ou départementaux, les préfectures,  les écoles, les universités, etc. La liste est longue.

    Combien d’incendies de tous ces bâtiments depuis 20 ans?

    Pratiquement aucun ou très peu.

    C’est assez étrange car, dans le même temps, des lieux de culte chrétiens et parfois juifs ont été victimes de nombreux événements, agressions, vols, actes antichrétiens, assassinats (le Père Jacques Hamel, à Rouen), crimes et incendies divers au point où on les compte par centaines.

    Pour ne prendre que les églises et cathédrales, si je me réfère à quelques sites internet récapitulant ces événements, des listes et des cartes ont été publiés depuis 2015, mais la plupart ont été censurées et supprimées du web par l’État pour protéger les ennemis du christianisme (la gauche et ses complices d’une autre religion). Et avec encore plus d’intransigeance sous le règne du psychopathe de l’Élysée…

    Au 16 juillet 2024, on en est au chiffre de 857 actes antichrétiens de toutes natures, dont des dizaines d’incendies d’églises et de lieux de culte chrétiens.

    Cette page de l’AFP (au service de l’État) est bien sûr très édulcorée:

    https://factuel.afp.com/doc.afp.com.363X7PN

    Moi, les mensonges de l’État ne m’impressionnent pas…

    Cette page évoque 32 cas d’incendies de lieux de culte chrétiens uniquement en 2018. Pendant ce temps, aucun incendie de bâtiments institutionnels…

    https://www.laboratoire-lavoue.fr/wp-content/uploads/2023/11/Fiche-n%C2%B029-Les-incendies-de-lieux-de-culte-en-France.pdf

    Actes anti-chrétiens (dont incendies): ce chiffre a été stable en 2018 avec 1063 actes recensés contre 1038 en 2017.

    Depuis janvier 2018: sur 20 églises incendiées, 14 l’ont été à partir d’un geste volontaire et malveillant. Soit plus de la moitié.

    https://patrimoine.blog.lepelerin.com/2019/05/10/a-propos-des-eglises-incendiees-en-france/

    Tout est fait en France, sous la tutelle de l’État, pour minimiser la totalité des crimes et assassinats de masse qui sont commis par des groupes fanatiques, comme le camion fou de Nice, le Bataclan, etc.

    Ce sont toujours des déséquilibrés, des psychopathes ou des crimes de haine contre des religions, des ethnies, des races, etc.

    Nous le savons tous et ceux qui en doutent sont d’une grande naïveté.

    Ces dernières années, je le sais parce que j’ai suivi l’actualité et que j’ai pris des notes, des dizaines d’églises, de cathédrales et de lieux de culte chrétiens ont connu un incendie, le plus souvent partiel. Mais on n’a la plupart du temps pas réussi à identifier la cause du départ du feu. On en est généralement resté à des " suppositions… ".

    Dans l’incendie de Notre-Dame de Paris, le témoignage de nombreuses personnes anonymes a été que, d’un instant à l’autre, en quelques secondes, de la fumée est sortie par la toiture à différents endroits éloignés les uns des autres, peut-être une dizaine, sur la totalité de la superficie de la toiture. Mais il semble qu’aucun de ces témoignages n’ait été retenu.

    Ils ont été balayés, censurés et ont disparu.

    Or, un départ de feu unique (court-circuit) aurait été localisé avec précision et n’aurait pas embrasé en si peu de temps, quelques minutes, la totalité de l’immense charpente.

    Il y a là une interrogation légitime.

    Qu’est-ce qui aurait pu laisser filtrer un peu de fumée en plusieurs endroits de toute la toiture et embraser en quelques minutes la totalité de la charpente de plus d’un hectare, sinon un dispositif électrique sophistiqué de mise à feu simultanée de toute la charpente?

    L’incendie de Notre-Dame de Paris est un acte de terrorisme dû à des ennemis du christianisme et si personne ne veut le croire, tout le monde peut se poser la question.

    Les ennemis du christianisme sont nombreux, Macron, la gauche, les écolos, des religions étrangères connues pour leur soif de sang et de mort de ceux qui diffèrent d’eux, etc.

    Voilà pourquoi je soupçonne Macron d’avoir mis le feu à Notre-Dame de Paris par l’intermédiaire de ses amis précédemment cités dont il déclare régulièrement qu’il les aime et qu’il les aime plus que les Français, les juifs ou les chrétiens.

    Qui, mieux que l’incendiaire lui-même pour éloigner tous les soupçons peut se vanter, se féliciter et revendiquer tout le mérite d’avoir rénové Notre-Dame et de parader comme un paon devant de nombreux chefs d’État et des élites de toutes les religions…?

    De toute façon, qu’attendre d’un homme qui voue une haine féroce à la France et au peuple français et qui fait tout pour détruire le pays et son peuple.

    Moi, je soupçonne et les autres font ce qu’ils veulent…

    Laurent DROIT

  • Le vêtement bigarré de Mgr Ulrich,

    Imprimer

    symptôme de la dégradation de l’Église catholique

    Samedi 7 décembre 2024, 19 heures. Cinq ans après le tragique incendie qui a ravagé les lieux, la cathédrale Notre-Dame de Paris rouvre ses portes. Les chefs d’Etat sont assis au premier rang dans la cathédrale. Mgr Ulrich, archevêque de Paris, approche du portail principal, frappe avec sa crosse, représentation de sa mission pastorale. Trois coups, symbole de la résurrection de l’édifice. Puis il pousse les portes de l’édifice, accueilli par le chant d’un psaume des chœurs de la Maîtrise Notre-Dame. Le joyau gothique se réveille. Mgr Ulrich porte une grande cape dessinée par le créateur Jean-Charles de Castelbajac. Une cape jaune, bleu, rouge, vert… mélange audacieux de couleurs.

    Des internautes réagissent: "Il ne lui manque pas grand-chose pour être un véritable arc-en-ciel". "L’évêque a l’air d’un clown de cirque". "Quid des vêtements liturgiques?". D’autres déplorent "un wokisme satanique" à travers cette "robe fashion".

    CNews rappelle que les quatre coloris ont une signification religieuse: le vert pour l’espérance, le rouge, symbole du sang du Christ et du feu de l’Esprit Saint, le bleu, référence à la Vierge Marie, le jaune, couleur festive utilisée pour Noël ou encore Pâques.

    Jean-Charles de Castelbajac explique avoir voulu rappeler "la lumière colorée des vitraux", les couleurs formant par ailleurs "un fleuve de foi et d’espérance".

    Christian Lechevalier se moque: "Afin de prévenir tout nouvel incendie, Mgr Ulrich a intégré le gyrophare des pompiers à sa crosse d’évêque".

    Certains voient un rapprochement avec les LGBT. D’autres un double soutien à l’Ukraine et à la Palestine. Au-delà de toutes ces interprétations, dont seul Mgr Ulrich possède la clé, une réalité transparaît. L’archevêque a délaissé et dédaigné les vêtements liturgiques traditionnels. Cet accoutrement marque une volonté de dépasser la Tradition pour entrer dans une ère nouvelle.

    Au cours des siècles, les gnostiques, les " ésotéristes chrétiens ", les " cabalistes chrétiens ", les théosophes, les philosophes modernes, les protestants et les francs-maçons ont trahi le Christ. Cependant la Tradition a réduit à néant leurs erreurs, leurs mensonges. La Tradition a perpétué la Raison et le Cœur.

    Il y a eu des crises et des périodes de confusion, mais la Vérité a toujours été sauvée. Sous l’Empire romain, à la Renaissance, lors de la Réforme, l’Eglise n’est pas devenue une secte judéo-païenne. Des clercs se sont égarés, ont été séduits par des hérésies. Mais l’Eglise n’a pas cédé sous les coups de boutoir du monde.

    Lire la suite

  • Le Parlement européen: une institution problématique

    Imprimer

    Le Parlement européen a voté en faveur de la nouvelle Commission européenne d’Ursula von der Leyen, après de nombreux marchandages. Pamis ceux-ci, la colère des factions de gauche face au fait que la faction la plus importante, le Parti populaire européen (PPE), avait collaboré avec des partis de droite.

    Bien entendu, il n’a jamais été question pour Mme von der Leyen d’échouer. Les chefs politiques des députés européens dans les capitales ont obtenu un accord, de sorte qu’une grande partie des discussions sur le torpillage de la "VDL" par les députés européens relevait du théâtre politique. Cette affaire prouve une fois de plus que le Parlement européen est une institution profondément imparfaite, et c’est un euphémisme.

    PAS UN CHIEN DE GARDE

    Conçu à l’origine comme une institution chargée de contrôler la machine de la Commission européenne, force est de constater que le Parlement européen, bien qu’élu au suffrage universel direct, n’a pas réussi à devenir une assemblée efficace au cours des quatre dernières décennies. Le principal pouvoir des députés européens est de refuser la décharge pour les dépenses de l’UE.

    Chaque année, l’organe d’audit de l’UE, la "Cour des comptes européenne" (CCE), publie un rapport très critique sur les dépenses de l’UE. En octobre, la Cour a dénoncé des erreurs "significatives et généralisées" dans le budget de 240 milliards d’euros de l’UE pour 2023. Malgré cela, le Parlement européen n’a pas refusé une seule fois d’approuver le budget de l’UE. La moindre des choses serait que les députés refusent d’approuver les dépenses de l’UE jusqu’à ce que le propre auditeur de l’UE déclare qu’elles sont "exemptes d’erreurs matérielles". Au lieu de cela, les députés européens exigent toujours plus de dépenses de la part de l’UE.

    Le Parlement européen s’oppose même à des propositions très modestes visant à améliorer le contrôle budgétaire de la manière dont les ressources de l’UE sont dépensées. Par exemple, au cours de la précédente législature, une majorité de députés a rejeté la proposition d’examiner les dépenses de l’UE l’année suivant l’utilisation des fonds de l’UE et non deux ans après, afin de renforcer le contrôle.

    De même, en matière de réglementation, les députés européens ne sont pas vraiment un facteur permettant de freiner l’excès de réglementation. Au cours de la précédente législature, une majorité d’entre eux a voté avec enthousiasme en faveur de la " loi sur les services numériques " qui étouffe la liberté d’expression, rend le logement encore plus cher en imposant la rénovation des bâtiments, étend la taxe climatique du système européen d’échange de quotas d’émission et impose davantage de bureaucratie aux entreprises en matière de "diligence raisonnable".

    En outre, ils ont également voté en faveur de la lourde "loi sur la restauration de la nature" et de l’interdiction de facto du moteur à combustion à partir de 2035. Cette mesure est l’une des raisons de la crise actuelle de l’industrie automobile européenne.

    Pour les députés européens, les réglementations ne sont jamais assez sévères et le niveau politique de l’UE n’acquiert jamais assez de pouvoir. Les députés européens ont parfaitement le droit d’avoir de telles opinions, mais cela signifie clairement qu’on ne peut pas leur faire confiance pour agir en tant que chien de garde afin de garder la très puissante Commission européenne sous contrôle.

    LE QATARGATE

    Le Parlement européen est régulièrement frappé par des scandales, qu’il s’agisse de détournements relativement insignifiants de l’argent des contribuables ou de scandales de corruption à grande échelle. Dans le premier cas, les députés européens refusent jusqu’à ce jour de rendre obligatoire la divulgation de l’usage qu’ils font de leur "allocation de dépenses" mensuelle de près de 5 000 euros qu’ils perçoivent en plus de leur salaire. Mais le fait qu’il n’y ait pas divulgation de l’usage ne veut pas dire qu’il y ait détournement.

    L’un des récents scandales de corruption qui ont ébranlé l’institution est bien sûr le "Qatargate", qui a éclaté en 2022. Des fonctionnaires du Parlement européen, des lobbyistes et leurs familles auraient été influencés par les gouvernements du Qatar et d’autres pays non européens, impliqués dans la corruption, le blanchiment d’argent et le crime organisé.

    L’eurodéputée socialiste grecque Eva Kaili a fait l’objet de la plus grande attention, mais les médias belges ont affirmé que l’eurodéputée socialiste belge Marie Arena était en réalité l’acteur principal de ce scandale. L’enquête est toujours en cours.

    Par ailleurs, un autre scandale impliquant le Qatar fait actuellement l’objet d’une enquête du Parquet européen. Selon les allégations, Henrik Hololei, un haut fonctionnaire estonien de la Commission européenne, se serait laissé aller à des voyages aériens longue distance payés par le Qatar au moment même où la direction de l’Union européenne qu’il dirigeait négociait avec l’État du Golfe riche en pétrole.

    Le Qatar a d’importants intérêts financiers dans l’UE. Récemment encore, il est apparu que le groupe énergétique public russe Lukoil envisageait de vendre sa raffinerie en Bulgarie à un consortium qatari-britannique, Oryx Global. L’un des propriétaires de ce consortium est l’homme d’affaires qatari Ghanim Bin Saad Al Saad, qui a été cité dans l’enquête sur la décision d’attribuer la Coupe du monde 2022 au Qatar.

    Le journal français Le Monde a noté à ce sujet que "les procureurs brésilien et américain ont décortiqué les relevés bancaires de l’ancien patron de la Fédération brésilienne de football (CBF), Ricardo Teixeira" par lequel "ils ont remarqué qu’un versement de 22 millions de dollars [a été effectué par] le groupe qatari Ghanim Bin Saad Al-Saad & Sons Group (CSSG)".

    Jean Quatremer, correspondant de longue date pour l’Union européenne du quotidien français de gauche Libération, a joué un rôle clé dans la mise en lumière du dernier scandale impliquant le Qatar.

    Il a déclaré à ce sujet "Ni la Commission européenne ni le Parlement européen ne veulent discuter publiquement de ces questions. (…) De ce point de vue, Bruxelles ressemble beaucoup au Kremlin: tout est fermé, l’information n’est pas divulguée. Lorsque j’ai lu le rapport, j’ai été complétement abasourdi".

    Tout cela n’inspire pas vraiment confiance dans les institutions de l’UE, ni dans le Parlement européen, censé contrôler la machine politique de l’UE.

    Pieter Cleppe