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MANDARINE - Page 46

  • Quand l’arroseur est arrosé, il se secoue comme un barbet

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    (…)

    Dès l’origine, l’Eurocrature s’annonçait comme la suite logique de la Grande Europe fédérale que voulaient imposer les nazis. Avec bien évidemment des Boches à la tête de la nouvelle organisation.

    Walter Hallstein, ancien officier SS, ancien président des juristes nationaux socialistes, inventeur en 1938 des "directives" supranationales pour gérer les territoires annexés, fut le premier président de l’exécutif européen, appelé "grosse commission". En langage populaire, cela signifie déféquer. Un Lacanien pourrait-il nous éclairer sur cette amusante coïncidence?

    Parmi les exploits de Walter, l’hitlérien soi-disant repenti, l’embauche chaque année entre 1958 et 1968 de milliers de Boches, probablement d’anciens nazis recasés, pour 80% des effectifs. Or les activités de la Communauté européenne d’alors ne justifiaient pas autant de bureaucrates.

    En fait, la plupart étaient des agents missionnés pour s’incruster dans les rouages des pays "amis", espionner les gouvernements et entretenir des mouvements subversifs chez ceux qui n’étaient pas assez dociles. Provoquant l’ire de Charles de Gaulle et sa politique de la "chaise vide" en 1965-66. Mais ce n’était pas de l’ingérence.

    Les espions de Hallstein étaient aussi mandatés pour phagocyter et pourrir de l’intérieur l’organisation concurrente OECE (organisation européenne de coopération économique) préfiguration de l’UE élargie.

    En novlangue, l’ingérence s’appelle étroite collaboration

    À partir de 1972 et jusqu’en 2005, les référendums se succèdent pour absorber de nouveaux vassaux de la Grosse Commission germanique, et élargir les pouvoirs supranationaux des Boches sur les peuples dominés.

    En Irlande et au Danemark, les caciques de Bruxelles interviennent dans la campagne électorale et supervisent le dépouillement. Et l’Eurocrature rafle 85% des voix. Sans ingérence. À l’époque, seul Bokassa faisait mieux.

    La Norvège ayant refusé sa mise sous tutelle, la dictature européiste inaugura une nouvelle tactique appliquée ensuite à l’Islande: "Vous avez voté "non" parce que vous n’aviez pas bien compris la question. Alors, on va vous faire revoter!".

    Inutile d’épiloguer sur le référendum de 2005, o% des merdias subventionnés par des fonds européistes ont mené une campagne hystérique pour le "oui", dénigrant et insultant ceux qui étaient contre.

    La consultation populaire fut stoppée après les premiers résultats: France "non" à 55%, Pays-Bas "non  à 61%… Deux ans plus tard, un bricolage changea l’étiquette de la fiole à poisons sans toucher au contenu. Preuve du mépris dans lequel les eurotocrates tiennent les peuples auxquels ils prétendent garantir la démocratie, assurer le plein emploi et la croissance (pour les Boches) et favoriser la paix (contre la Russie).

    L’UE est une dictature qui détourne le baratin des démocraties, et se mêle des élections nationales

    Ceux qui n’ont pas une mémoire de poisson rouge se souviennent que la Merkel venait personnellement en France pour intervenir dans les campagnes électorales. Certes, on lui avait conseillé de ne pas se montrer dans les meetings o% sa présence était contre-productive, mais elle bénéficiait d’une couverture dithyrambique de tous ses déplacements et propos par les merdias stipendiés. Mais ce n’était pas de l’ingérence!

    Difficile de nier que, pendant la supercherie de la grippe pangoline, Pustula dont le mari est un ponte de Big Pharma, a engagé sans en avoir statutairement le droit des dépenses de plusieurs milliards d’euros pour acheter des camions de traitements expérimentaux à l’ARN messager.

    Ensuite, la Grosse Commission de Pustula, a exercé des pressions et des chantages insupportables sur les dirigeants fantoches des États vassaux, dont la France, pour qu’ils obligent les gens à se faire injecter une mixture au mieux inefficace, au pire nocive… Et sinon, à leur pourrir la vie en leur interdisant toute activité, distraction, sortie. Mais ce n’était pas de l’ingérence!

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  • Si on a interdit le PCF en 1939, on doit dissoudre LFI en 2025

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    Chacun se souvient qu’en 1939, le Parti Communiste Français avait été dissous pour son approbation du pacte germano-soviétique par le gouvernement Daladier, et du dépeçage de la Pologne qui avait suivi. Le PCF était considéré comme un relais de la politique de Staline, devenue hostile à la France.

    Cela ne l’a pas empêché par ailleurs de rentrer dans la Résistance, mais seulement après 1941, quand Hitler a attaqué Staline, et de se prétendre ensuite le Parti des Fusillés, revendiquant 75.000 morts alors qu’il n’y a eu que 4000 fusillés dans toute la France. Ce parti, qui pesait près de 30% en 1945, se "distinguera" en impulsant des mesures souvent arbitraires, au nom de l’épuration contre les collabos, pour faire oublier son attitude complice avec les nazis, de 1939 à 1941.

    Il est intéressant de se souvenir de l’Histoire, et de regarder aujourd’hui la situation de la France. Nous avons eu durant 80 ans un parti au service de l’étranger, une officine de Moscou en France. Pour être tout à fait juste, d’autres partis, syndicats et associations étaient au service des Américains, et le général de Gaulle essayait de maintenir une diplomatie indépendante en France.

    Dans son livre "Vaincre le totalitarisme islamique", qui lui coûtera sans doute le coup d’État médiatico-judiciaire qui le privera de l’Élysée, François Fillon nous rappelait ce que disait l’article 411-4 du livre 4 du Code pénal.

    "Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d’agression contre la France, est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450.000 euros d’amende. Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d’entreprendre des hostilités ou d’accomplir des actes d’agression contre la France".

    Il suffit de regarder l’actualité de ces 24 dernières heures pour mesurer à quel point LFI, mais aussi toute l’extrême gauche islamo-collabo entrent dans ces critères. L’islam nous mène une guerre impitoyable, sur notre sol, pour imposer la charia et la loi musulmane, par la terreur et la loi du nombre, sur notre sol.

    Il suffit de regarder les résultats électoraux des dernières élections de 2024 pour constater que les mosquées appellent massivement à voter pour Mélenchon et ses militants à chaque élection. Si LFI a 71 députés, ils le doivent essentiellement au vote musulman.

    Bien sûr, il y a des contre-parties, et Mélenchon et sa bande se comportent en alliés objectifs et en complices de la 5e colonne islamiste qui sévit en France.

    Ainsi, tous les députés LFI défendent le port de l’abaya dans nos écoles, et qualifient de "racistes" et d’ "islamophobes" ceux qui s’y opposent. Quand l’État veut mettre fin au financement d’écoles qui se comportent en relais de la propagande des Frères musulmans, des députés LFI, à Lille ou à Décines, s’y opposent. Ils sont donc les alliés d’une puissance étrangère qui utilise l’école pour accentuer sa pression et sa visibilité dans notre société.

    https://www.fdesouche.com/2025/01/11/toulouse

    https://www.fdesouche.com/2025/01/10/pres-de-lyon-le-lycee-musulmanprefecture/

    Dans un autre registre, Éric Coquerel a refusé de qualifié les islamistes d’ennemis intérieurs, montrant donc une complicité de plus en plus aveuglante avec les fous d’Allah.

    https://www.lejdd.fr/politique/un-islamiste-est-il-un-ennemi

    Alors que le pouvoir algérien multiplie les provocations et les actes de guerre contre la France, des élus LFI, sans être contredits par leur direction, prennent ouvertement parti pour l’Algérie et les menaces de ses influenceurs, contre la France, comme cette Karima Khatim, élue municipale au Blanc-Mesnil.

    https://www.fdesouche.com/2025/01/10/karima-khatim-lfi

    Hier porteurs de valises du FLN contre la France, les Insoumis, mais aussi toute la gauche, continuent ce combat en soutenant les Algériens contre les Français, même quand des influenceurs appellent à tuer nos compatriotes, qu’on veut les expulser, et que le pouvoir algérien refuse de les accueillir chez eux, les renvoyant dans notre pays.

    Tous les jours, les exemples s’accumulent pour montrer que LFI, mais aussi toute la gauche, sont le bras armé des islamistes et du pouvoir algérien, et surtout qu’ils sont un outil de conquête, par les urnes, localement et nationalement, de notre pays.

    Il nous semble que leur trahison est encore plus évidente que celle du PCF en 1939. C’est pourquoi quand Éric Ciotti envisage nécessaire d’envisager la dissolution de LFI, il ouvre une piste intéressante. Mais quand le sénateur LR Stéphane Le Rudulier demande, lui, de dissoudre LFI, c’est non seulement nécessaire, mais indispensable – avec beaucoup d’autres mesures – pour sauver la France.

    https://www.lefigaro.fr/

    Une commission d’enquête parlementaire pourrait très rapidement démontrer que LFI est devenue ce jour un parti de l’étranger, comme le disait Éric Naulleau, interrogé par Frontières et Erik Tegner. Et donc qu’il tombe sous le coup de l’article cité par François Fillon dans son livre. La conclusion devrait s’imposer d’elle-même: dissolution, confiscation de tous les biens, et emprisonnement de tous les dirigeants, avant un procès public qui démontrerait l’ampleur de leurs trahisons, et les condamnerait en conséquence.

    Et si la bande à Mélenchon nous fait le coup de la démocratie et de la République, on lui rappellera qu’elle a demandé et obtenu la dissolution de Génération Identitaire qui, pourtant, ne représentait aucun danger pour la France et, au contraire, était constituée de jeunes militants qui s’engageaient pour défendre notre pays et ses frontières.

    CYRANO

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Le journal Le Monde justifie la rééducation des masses contre le populisme

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    Ce 5 janvier, Philippe Bernard, éditorialiste au Monde affirme tranquillement que le populisme est une sous-culture de personnes sans éducation. Aveuglement, racisme de classe, arrogance intellectuelle, mépris, intolérance mais plus grave encore, soutien à une rééducation politique des masses interdisant la liberté de soutenir des idéaux populistes dans un article intitulé:

    "Le populisme est aussi une crise de l’éducation".

    ("Le populisme est aussi une crise de l’éducation")

    Et le sous-titre est sans ambiguïté: "Alors que la scolarisation n’a jamais été si massive, les démagogues, de Trump à Le Pen, ont le vent en poupe". Ces personnalités ne sont pas légitimes, leurs choix politiques ne sont pas respectables et leur démagogie triomphe dans un monde où l’éducation ne fait plus son travail. Quelques précisions s’imposent, car, Philippe Bernard semble être victime de ses choix idéologiques, mais lui aussi marqué par une inculture étonnante, où alors serait-il l’adepte de la fake news et de la manipulation des masses? Clarifions.

    Le populisme est une théorie politique démocratique contre l’excès de pouvoir des élites

    Au cas où Philippe Bernard ne le saurait pas, lui, l’éditorialiste dans notre plus grand journal sans beaucoup de lecteurs, mais plein de subventions publiques, le populisme est une théorie politique née aux Etats-Unis à la fin du 19e siècle:

    "Le terme "populiste" aux États-Unis fait directement référence au mouvement fermier et anti-monopole des années 1890, formé dans un contexte de chute des prix agricoles. D’abord implantés dans les États ruraux du Sud et de l’Ouest américain, les populistes rassemblaient fermiers, artisans et ouvriers autour d’un programme pour les droits des travailleurs. À cette époque, l’industrie américaine était organisée en monopoles détenus par de grands capitaines d’industrie, tels que John Rockefeller (pétrole), Cornelius Vanderbilt (chemins de fer) ou Andrew Carnegie (acier)".

     (Le populisme aux États-Unis du XIXe siècle à Donald Trump | vie-publique.fr)

    Quelques articles de politistes, historiens et sociologues confirment bien que le populisme made in USA est une révolte démocratique des populations luttant contre la concentration du pouvoir économique dans des oligarchies du début du 20e siècle, jugées menaçantes contre les institutions, du fait de leur puissance d’influence: "La particularité étatsunienne réside aussi dans le fait que le populisme y est historiquement associé à des mouvements progressistes, à l’inverse des démocraties européennes où la très grande majorité des populismes sont de droite".

    in Populismes dans les Amériques, Luc Capdevila, François Vergniolle de Chantal, Jean-Christian Vinel

    (Populismes dans les Amériques)

    Le populisme Américain est bien démocratique au plus haut point, défendant l’indépendance et l’autonomie des populations et des Etats, contre toute extension excessive des pouvoirs fédéraux:

    "Aux États-Unis, le populisme a de profondes racines qui remontent à la fondation du pays. D’un point de vue théorique, les affinités entre le premier pays dont la constitution de 1787 stipule " We The People…Do " et le populisme, qui revendique les principes de base de la démocratie (règle majoritaire et souveraineté populaire), confirment à quel point le populisme suit en effet la démocratie comme son ombre (Arditti, 2004)".

    in Populismes dans les Amériques, Luc Capdevila, François Vergniolle de Chantal, Jean-Christian Vinel

     (Populismes dans les Amériques)

    Je peux multiplier les références en grand nombre, mais il y a accord sur l’identité du populisme américain, très loin de la démagogie et de la médiocrité intellectuelle projetée par notre brillant éditorialiste, un tantinet inculte au passage, ou de mauvaise foi:

    "Nous avions l’intuition qu’il était associé abusivement à l’extrême droite, alors que l’expérience concrète lui permet de se greffer sur toutes les idéologies. Et nous pensions que les Etats-Unis étaient un terrain idéal pour le démontrer. Si des figures variées et originales de la vie politique américaine confirment l’intérêt d’une telle approche, il serait réducteur de ne pas se demander si la structure même du pouvoir aux Etats-Unis implique une vie politique inévitablement populiste, notamment en raison de la relation entre l’Etat fédéral et les Etats fédérés, dès les origines".

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