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MANDARINE - Page 42

  • Zones à Faibles Émissions: une arnaque écologiste

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    … au service du mondialisme

    LES ZFE, Zones à Faibles Émissions, visent à restreindre progressivement la circulation des véhicules les plus polluants selon leur vignette Crit’Air, à diminuer les émissions de polluants atmosphériques liées au trafic routier: oxydes d’azote, particules fines, CO2, à inciter à l’usage des mobilités douces.

    Les véhicules sont classés selon six catégories, en fonction du type d’énergie utilisée (électrique, hybride, essence, diesel, GPL…) et de la date de mise en circulation:

    Vignette Crit’Air Zéro ou E: tous les véhicules électriques et hydrogène.

    627 614 véhicules au 1er Janvier 2024

    Vignette Crit’Air 1: voitures essence à partir du 1er Janvier 2011; véhicules gaz et hybrides.

    11 298 487 véhicules

    Vignette Crit’Air 2: voitures essence entre le 1er Janvier 2006 et le 31 Décembre 2010

    voitures diesel à partir du 1er Janvier 2011.

    12 831 394 véhicules

    Vignette Crit’Air 3: voitures essence entre le 1er Janvier 1997 et le 31 Décembre 2005

    voitures diesel entre le 1er Janvier 2006 et le 31 Décembre 2010.

    7 470 541 véhicules

    Vignette Crit’Air 4: voitures diesel entre le 1er Janvier 2001 et le 31 Décembre 2005.

    2 254 004 véhicules

    Vignette Crit’Air 5: voitures diesel du 1er Octobre 1997 jusqu’au 31 Décembre 2000.

    479 757 véhicules

    Non classés: véhicules antérieurs au 31 Décembre 1996.

    972 796 véhicules

    Les mesures relatives aux ZFE, Zones à Faibles Émissions, imposent des critères stricts sur les véhicules autorisés à circuler dans certaines zones urbaines, qui vont s’étendre au fil du temps.

    Quiconque dont la voiture ne respecte pas ces critères se retrouve hors-la-loi dans de nombreuses situations: ainsi les vignettes Crit’Air 3, 4 et 5, et les non classés. Cette inégalité sociale, exacerbée par des amendes coûteuses, soulève des questions sur la justice et l’équité des mesures environnementales actuelles.

    Amende de 68 euros pour le conducteur d’une voiture inadaptée, majorée à 180 euros en cas de non-paiement dans les 45 jours suivants.

    Amende de 135 euros pour les poids lourds, majorable à 375 euros.

    Une jeune mère de famille compare cet état des choses à un nouveau confinement, où les pauvres sont confinés dans leurs villages, tandis que les riches restent libres de circuler.

    Paris, Lyon, Grenoble, Montpellier interdisent les véhicules Crit’Air 3 et plus depuis le 1er Janvier 2025.

    Reims, Strasbourg, Rouen, Toulouse, Marseille poursuivent leur politique d’exclusion des véhicules Crit’Air 4 et plus.

    Résultat. Plus d’un Français sur quatre n’a plus le droit de circuler dans quatre grandes agglomérations: Paris, Lyon, Grenoble, Montpellier.

    10 millions d’automobilistes, sur 36 millions de conducteurs de véhicules particuliers, n’ont plus le droit de circuler dans les zones Crit’Air 3 et plus.

    Les départements les plus pauvres et les moins peuplés comptent le plus de véhicules prohibés, inaccessibles aux ZFE, par exemple l’Indre, la Creuse et l’Ariège.

    Les départements les plus riches comptent le plus de véhicules modernes, accessibles aux ZFE, par exemple, Paris, les Hauts-de-Seine, les Yvelines, la Haute-Savoie.

    Dans les départements pauvres, mais densément peuplés, les habitants peuvent se passer de voiture grâce aux transports en commun, par exemple les résidents de la Seine-Saint-Denis et du Pas-de-Calais, ne figurent pas parmi les exclus de l’automobile.

    À compter de 2025, toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants ont l’obligation d’instaurer une zone à faibles émissions mobilité. Mais les réglementations en vigueur ne sont pas les mêmes partout et varient en fonction de plusieurs critères temporels et géographiques. Et on peut supposer qu’il faudra changer les Crit’Air tous les ans. Un vrai canevas inextricable, un dédale embrouillé et touffu.

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  • Los Angeles: France Info conteste six évidences…

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    …énoncées par la ré-infosphère

    (image I.A.)

    France Info, alias Radio Bolcho (RB) a "fact-checké" six constatations qui courent sur les réseaux sociaux, pour les infirmer. Après un "débunkage" effectué par l’élite journalistique, les gueux que nous sommes sont donc tenus de considérer comme fausses les affirmations suivantes:

        Les pompiers combattent les flammes avec des sacs à main par manque de moyens

        Des camions de pompiers ont été bloqués pour des tests d’émissions polluantes

        Le gouverneur de Californie est responsable d’un problème d’approvisionnement en eau

        Des milliards pour les immigrants illégaux mais pas pour les incendies

        La maire de Los Angeles a réduit le budget dédié aux pompiers

        Des Afro-Américains ont été surpris en train de piller des maisons

    Pour RB, il s’agit de soutenir le pouvoir démocrate local, mis à mal lors des incendies qui viennent de ravager Los Angeles.

    Première affirmation: Pour Radio Bolcho, le fait qu’elle soit fausse est qu’elle a été démentie par le Département des pompiers de Los Angeles. Puisqu’on vous le dit. Les sacs utilisés par les pompiers ne sont pas des sacs à main de femmes mais, affirme le médiat central, de "vrais sacs dédiés" que "pompiers utilisent pour différents usages" (?)".

    Utiliser une lance et la connecter à une borne à incendie, explique le média, peut prendre en effet du temps, et utiliser un sac en toile permet d’agir vite, ce qui est primordial en cas de propagation rapide des flammes".

    "C’est un outil simple mais efficace qui peut aider à empêcher un petit incendie de se transformer en catastrophe majeure". Sauf qu’appeler les pompiers et attendre qu’ils viennent prend aussi du temps…

    On ne voit pas pourquoi les particuliers ne se sont pas confrontés aux flammes pendant qu’il en était encore temps, avec les moyens du bord: sacs, casseroles, seaux à eau, etc.

    Autre argument de RB:

    Alex Jones a affirmé, vidéos à l’appui, que les pompiers de Los Angeles ont combattu les incendies avec des sacs à main pour femme en guise de seaux. Or Alex Jones est un sale complotiste "qui attribue ce manque de moyens à l’aide envoyée à l’Ukraine, en guerre contre la Russie depuis bientôt trois ans. Son message, posté sur X le 9 janvier, a été vu plus de 29 millions de fois".

    Jones est un méchant garnement qui a été déjà condamné pour avoir propagé des "fake news". Je vous laisse imaginer les gorges chaudes de RB si sur une vidéo, on voyait un soldat russe tentant d’éteindre un feu avec un simple sac de toile…

    "Coutumier des fausses informations et soutien de Donald Trump, Alex Jones avait été condamné en octobre 2022 à payer 965 millions de dollars d’indemnisations (environ 915,5 millions d’euros) pour avoir nié la réalité du massacre de l’école de Sandy Hook en 2012" affirme RB.

    Cette "amende" au montant totalement loufoque ne prouve en rien qu’Alex Jones a tort. Elle prouve simplement qu’aux Etats-Unis, il vaut mieux s’entourer de bons avocats et ne pas avoir d’étiquette d’ "extrême droite" collée aux guêtres quand on est confronté à des difficultés judiciaires.

    Deuxième affirmation:

    "Une soixantaine de camions venant de l’Oregon auraient été empêchés d’intervenir contre les feux car ils ne répondaient pas aux normes imposées par la Californie en matière de pollution, selon un compte pro-Trump très suivi sur X, qui partage une courte vidéo de la prétendue scène "annonce RB qui concède quand même que" cette fausse information est devenue virale après un article du journal Santa Monica Observer".

    Or, selon RB, "Les camions ont bel et bien été arrêtés à Sacramento et ont subi un contrôle de sécurité de routine pour vérifier l’état des moteurs, mais ils ont poursuivi leur route".

    Une situation ubuesque qui ne fait pas broncher RB… Alors que des feux gigantesques ravagent Los Angeles et que l’Etat de l’Oregon dépêche ses propres pompiers sur place, les autorités du coin préfèrent "vérifier l’état des moteurs" plutôt que de les envoyer sur site en urgence. Curieux…

    Troisième affirmation:

    "Il y a bien eu des problèmes d’approvisionnement en eau lors des incendies" reconnaît RB.

    Néanmoins, "les arguments utilisés par Donald Trump ne sont pas fondés".

    Evidemment, puisque c’est the Donald qui les avance. "D’après le site américain de fact-checking Snopes, argumente RB, le président élu fait référence à un projet proposé en 2019, qui visait à acheminer de l’eau depuis la Californie du Nord vers des fermes et des zones urbaines de la Californie du Sud.

    Or, ce projet risquait de mettre en danger une espèce de poisson en voie de disparition". Nous y revoilà.

    Alors que cette histoire ubuesque de sauvegarde d’un espèce a été "débunkée" par tous les médias "sérieux" –  qui l’ont déclarée inexacte – , RB la remet au goût du jour. Il ajoute: "Le Gouverneur Gavin Newsom s’y est donc opposé, contre l’avis de l’administration Trump de l’époque. Mais il n’a jamais refusé de signer un tel accord, car aucun contrat n’a vu le jour.

    Le service de presse du gouverneur a démenti les propos du milliardaire sur X: "Il n’existe pas de document tel que la déclaration de restauration de l’eau – c’est de la pure fiction".

    RB pédale en plus dans la semoule: "Par ailleurs, rien n’indique que ce plan aurait eu une incidence sur l’approvisionnement en eau". Comprenne qui pourra.

    Par ailleurs, si l’approvisionnement en eau des réservoirs et des bouches d’incendie était tout à fait normale, pourquoi Gavin Newsom vient-il de diligenter une enquête à ce sujet?

    Quatrième affirmation:

    "Des milliards pour les immigrants illégaux mais pas pour les incendies": faux, clame RB! Preuve: "Ce genre d’argument n’est pas nouveau: il a été invoqué par Donald Trump pour critiquer sa rivale Kamala Harris, lors de la campagne présidentielle, après le passage des ouragans Hélène et Milton dans le Sud-Est américain. "Il suffit que Trump affirme que Noël tombe le 25 décembre pour que ça devienne faux. C’est la reductio ad Trumpeum".

    En réalité, l’agence fédérale dispose toujours de ressources financières. Fin décembre, le gouvernement a encore accordé à la Fema près de 29 milliards de dollars, à travers un projet de loi adopté par le Congrès et signé par le président démocrate sortant Joe Biden, notamment pour répondre à Hélène et Milton.

    L’agence dispose désormais d’un solde de 27 milliards de dollars pour répondre aux mégafeux de Californie, selon un porte-parole de l’agence interrogé par le média de fact-checking Politifact" argumente RB.

    Oui mais alors comment expliquer que cette somme n’ait pas été utilisée pour sécuriser les réservoirs d’eau et les bouches d’incendie. Avoir un budget, c’est bien, savoir judicieusement l’utiliser, c’est mieux.

    Il existe bien un programme d’aide à l’hébergement des migrants, administré par la Fema, en partenariat avec le Service des douanes et de la protection des frontières des Etats-Unis. Financé par le Congrès américain à hauteur de 650 millions de dollars, selon le site de l’agence Nouvelle fenêtre, il diffère du fonds de secours en cas de catastrophe, utilisé dans le cadre des incendies de Los Angeles.

    Cinquième affirmation:

    "La maire de Los Angeles a réduit le budget dédié aux pompiers: trompeur" affirme RB, qui argumente: "Karen Bass, maire démocrate de Los Angeles, est, elle aussi, sous le feu des critiques. "La ville de Los Angeles sous Karen Bass a réduit le budget de lutte contre les incendies d’environ 18 millions de dollars", a fustigé Ian Miles Cheong, blogueur malaisien conservateur, le 9 janvier sur X, dans un message vu un million de fois.

    Le même jour, la cheffe des pompiers de Los Angeles, Kristin Crowley, a déclaré à Fox News 11 que le service d’incendie de Los Angeles était "insuffisamment financé".

    "Le budget a été réduit et cela a eu un impact sur la qualité de notre service", a-t-elle déploré. "Des accusations lourdes, mais pour RB, insuffisantes. "Selon un document du LAFD de juillet 2024, le budget des pompiers a bien baissé, passant de 837,2 millions de dollars pour l’exercice 2023-2024 à 819,6 millions pour 2024-2025, soit une réduction d’environ 17,6 millions de dollars.

    Une diminution moins importante que celle proposée par Karen Bass en avril (23 millions de dollars). Cependant, cette baisse est à nuancer car ces chiffres ne fournissent pas un aperçu complet de la situation, a expliqué Jake Flynn, directeur de la communication du conseiller municipal de Los Angeles Bob Blumenfield, au média américain Snopes". Ce que ne dit pas RB, c’est que une part non négligeable de ce budget sert à financer des actions d’ " inclusion " des minorités dans le corps des sapeurs-pompiers – si j’ose dire. Le médiat gaucho avoue quand même que " la situation n’est pas toute rose: dans un mémo de décembre 2024, la cheffe des pompiers de Los Angeles, Kristin Crowley, a déploré l’impact négatif d’une réduction de certaines dépenses sur la capacité opérationnelle de son service".

    Sixième et dernière affirmation: "Des Afro-Américains ont été surpris en train de piller des maisons ": faux! clame RB qui précise: "des personnes présentées à tort comme des pillards étaient en réalité en train de venir en aide [aux habitants]".

    Qui concède néanmoins que "des pillages ont toutefois bien eu lieu pendant les incendies de Californie, certains malfaiteurs se déguisant même en pompiers, selon un shérif interrogé par la chaîne KTLA. Près de 60 suspects ont été arrêtés, dont neuf ont été inculpés, a annoncé le 13 janvier le département du shérif du comté de Los Angeles sur Facebook".

    En tout cas, des blacks coupables de pillage? Jamais de la vie! "Fake!... évidemment…

    Ce qu’il y a de bien avec une boussole qui indique le sud, c’est que sa fiabilité est identique à celle des "vraies" boussoles. À ceci près qu’il faut naturellement tourner son cadran de 180°.

    Henri Dubost

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

    Par ailleurs, je déteste tous les mots "angliches" voire "amerloques" utilisés!

  • Gang des Pakistanais: atroce, inhumain!

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    Mercredi 8 Janvier 2025. Les députés travaillistes anglais rejettent l’enquête nationale sur les gangs pakistanais réclamée par Kemi Badenoch, du parti conservateur.

    5 Août 2000, incendie criminel de la maison de Lucy Lowe 16 ans. L’incendie tue Lucy et l’enfant qu’elle portait, sa sœur, et sa mère. Le criminel Azhar Ali Mehmood, un chauffeur de taxi pakistanais, violait régulièrement Lucy depuis deux ans. Il la menaçait parce qu’elle annonçait qu’elle allait tout dévoiler à la presse locale. Elle avait été contrainte d’avorter plusieurs fois.

    Les enquêteurs sont sceptiques, il s’agit d’un conflit de voisinage. Ils recoupent certaines affaires entre elles, des faits divers relevant de jeunes adolescentes blanches, voire fillettes, dans la même ville, victimes d’un viol collectif à la fin des années 1990. Les articles de presse décrivaient non des mineures, mais des femmes qui auraient été un peu forcées, un peu droguées, en échange de rapports sexuels. Le silence règne autour des agresseurs. Dans les années 2000, rien n’est très clair. On parle de jeunes prostituées volontaires, à l’image de Lucy, d’adultes qui auraient une emprise. La seule réponse des autorités, c’est la création de l’organisation Risky Business, pour faire de la sensibilisation sur l’exploitation sexuelle des jeunes Anglaises blanches.

    En 2002, l’avocate Adèle Weir s’interroge sur ces faits divers qui n’ont aucun lien entre eux. Elle publie un rapport qui révèle l’existence à ROTTERHAM d’un vaste réseau d’exploitation sexuelle d’enfants et d’adolescentes. Elle détaille le nom des suspects, les numéros d’immatriculation des véhicules utilisés pour transporter les filles, le modus opérandi des viols et des pédophiles, les liens des suspects entre eux et avec des entreprises locales, et les connexions de ces pédophiles à la ville de ROTTERHAM. Le rapport met en évidence le rôle actif de la famille de Shahid Hussain, dans l’exploitation des jeunes filles. Tous les pédophiles sont des Pakistanais. C’est un scandale de classe mondiale.

    A l’époque, le rapport passe inaperçu. Seule réaction: les autorités anglaises disent à Adèle Weir d’arrêter de mentionner l’ethnie des criminels. Grâce à l’organisation Risky Business, Adèle Weir a pu obtenir des centaines de témoignages qui décrivent le même mode de fonctionnement atroce, la même dynamique, les mêmes pédophiles et les mêmes victimes. Les victimes ont porté plainte, ont consulté les autorités et les services sociaux. Toutes ces structures ont renvoyé les victimes. L’ordinateur de Adèle Weir est piraté, ses fichiers sont supprimés. Les médias ignorent le rapport.

    Jayne Senior, coordonnatrice de projet social, travaille pour l’organisation Risky Business. Elle continue de collecter des informations et des témoignages sur l’exploitation sexuelle dans la ville de ROTTERHAM, et aussi dans d’autres villes anglaises. Alors, Jayne Senior est bloquée par sa hiérarchie.

    En 2003, la professeure Angie Hill est mandatée pour comprendre l’explosion du trafic de drogue et de la prostitution dans ROTTERHAM. Elle publie un rapport qui cible un nombre significatif de jeunes filles anglaises blanches, de familles pauvres ou en difficulté sociale, qui ont connu des viols de masse, de la pédophilie, et de l’extorsion sexuelle forcée. Elle explique que ces enfants sont enlevées par des adultes, droguées, prostituées et violées pendant des jours par des centaines d’hommes. Plusieurs victimes sont tombées enceintes, sont en dépression, forcées d’avorter.

    Ce rapport explosif met en lumière toute une organisation criminelle et des viols de masse. Tout le monde est mis en cause: les autorités, les services sociaux, la police et les médias. Mais ce rapport est passé sous silence. On dissimule l’aspect communautaire des viols de masse et l’origine ethnique des pédophiles.

    En 2004, la députée Anne Cryer soulève le problème, mais est traitée de raciste et reçoit des menaces de mort. Un documentaire aborde la question de la pédophilie raciste, les viols de jeunes blanches par des Pakistanais; ce documentaire est retiré des programmes après des pressions de groupe antiracistes.

    Mars 2006. Angie Hill revient à la charge avec un nouveau rapport. Elle explique que la situation s’est dégradée depuis 2003, avec une explosion du nombre de victimes de viols collectifs et d’avortements forcés. Ces victimes sont menacées par des armes à feu pendant les viols, parfois déplacées vers d’autres villes, pour y être exploitées sexuellement, ce qui donne lieu à un trafic régional, sinon national. Les pédophiles organisent des veilles pour repérer des fillettes.

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