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politique - Page 35

  • Si on a interdit le PCF en 1939, on doit dissoudre LFI en 2025

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    Chacun se souvient qu’en 1939, le Parti Communiste Français avait été dissous pour son approbation du pacte germano-soviétique par le gouvernement Daladier, et du dépeçage de la Pologne qui avait suivi. Le PCF était considéré comme un relais de la politique de Staline, devenue hostile à la France.

    Cela ne l’a pas empêché par ailleurs de rentrer dans la Résistance, mais seulement après 1941, quand Hitler a attaqué Staline, et de se prétendre ensuite le Parti des Fusillés, revendiquant 75.000 morts alors qu’il n’y a eu que 4000 fusillés dans toute la France. Ce parti, qui pesait près de 30% en 1945, se "distinguera" en impulsant des mesures souvent arbitraires, au nom de l’épuration contre les collabos, pour faire oublier son attitude complice avec les nazis, de 1939 à 1941.

    Il est intéressant de se souvenir de l’Histoire, et de regarder aujourd’hui la situation de la France. Nous avons eu durant 80 ans un parti au service de l’étranger, une officine de Moscou en France. Pour être tout à fait juste, d’autres partis, syndicats et associations étaient au service des Américains, et le général de Gaulle essayait de maintenir une diplomatie indépendante en France.

    Dans son livre "Vaincre le totalitarisme islamique", qui lui coûtera sans doute le coup d’État médiatico-judiciaire qui le privera de l’Élysée, François Fillon nous rappelait ce que disait l’article 411-4 du livre 4 du Code pénal.

    "Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d’agression contre la France, est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450.000 euros d’amende. Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d’entreprendre des hostilités ou d’accomplir des actes d’agression contre la France".

    Il suffit de regarder l’actualité de ces 24 dernières heures pour mesurer à quel point LFI, mais aussi toute l’extrême gauche islamo-collabo entrent dans ces critères. L’islam nous mène une guerre impitoyable, sur notre sol, pour imposer la charia et la loi musulmane, par la terreur et la loi du nombre, sur notre sol.

    Il suffit de regarder les résultats électoraux des dernières élections de 2024 pour constater que les mosquées appellent massivement à voter pour Mélenchon et ses militants à chaque élection. Si LFI a 71 députés, ils le doivent essentiellement au vote musulman.

    Bien sûr, il y a des contre-parties, et Mélenchon et sa bande se comportent en alliés objectifs et en complices de la 5e colonne islamiste qui sévit en France.

    Ainsi, tous les députés LFI défendent le port de l’abaya dans nos écoles, et qualifient de "racistes" et d’ "islamophobes" ceux qui s’y opposent. Quand l’État veut mettre fin au financement d’écoles qui se comportent en relais de la propagande des Frères musulmans, des députés LFI, à Lille ou à Décines, s’y opposent. Ils sont donc les alliés d’une puissance étrangère qui utilise l’école pour accentuer sa pression et sa visibilité dans notre société.

    https://www.fdesouche.com/2025/01/11/toulouse

    https://www.fdesouche.com/2025/01/10/pres-de-lyon-le-lycee-musulmanprefecture/

    Dans un autre registre, Éric Coquerel a refusé de qualifié les islamistes d’ennemis intérieurs, montrant donc une complicité de plus en plus aveuglante avec les fous d’Allah.

    https://www.lejdd.fr/politique/un-islamiste-est-il-un-ennemi

    Alors que le pouvoir algérien multiplie les provocations et les actes de guerre contre la France, des élus LFI, sans être contredits par leur direction, prennent ouvertement parti pour l’Algérie et les menaces de ses influenceurs, contre la France, comme cette Karima Khatim, élue municipale au Blanc-Mesnil.

    https://www.fdesouche.com/2025/01/10/karima-khatim-lfi

    Hier porteurs de valises du FLN contre la France, les Insoumis, mais aussi toute la gauche, continuent ce combat en soutenant les Algériens contre les Français, même quand des influenceurs appellent à tuer nos compatriotes, qu’on veut les expulser, et que le pouvoir algérien refuse de les accueillir chez eux, les renvoyant dans notre pays.

    Tous les jours, les exemples s’accumulent pour montrer que LFI, mais aussi toute la gauche, sont le bras armé des islamistes et du pouvoir algérien, et surtout qu’ils sont un outil de conquête, par les urnes, localement et nationalement, de notre pays.

    Il nous semble que leur trahison est encore plus évidente que celle du PCF en 1939. C’est pourquoi quand Éric Ciotti envisage nécessaire d’envisager la dissolution de LFI, il ouvre une piste intéressante. Mais quand le sénateur LR Stéphane Le Rudulier demande, lui, de dissoudre LFI, c’est non seulement nécessaire, mais indispensable – avec beaucoup d’autres mesures – pour sauver la France.

    https://www.lefigaro.fr/

    Une commission d’enquête parlementaire pourrait très rapidement démontrer que LFI est devenue ce jour un parti de l’étranger, comme le disait Éric Naulleau, interrogé par Frontières et Erik Tegner. Et donc qu’il tombe sous le coup de l’article cité par François Fillon dans son livre. La conclusion devrait s’imposer d’elle-même: dissolution, confiscation de tous les biens, et emprisonnement de tous les dirigeants, avant un procès public qui démontrerait l’ampleur de leurs trahisons, et les condamnerait en conséquence.

    Et si la bande à Mélenchon nous fait le coup de la démocratie et de la République, on lui rappellera qu’elle a demandé et obtenu la dissolution de Génération Identitaire qui, pourtant, ne représentait aucun danger pour la France et, au contraire, était constituée de jeunes militants qui s’engageaient pour défendre notre pays et ses frontières.

    CYRANO

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Le journal Le Monde justifie la rééducation des masses contre le populisme

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    Ce 5 janvier, Philippe Bernard, éditorialiste au Monde affirme tranquillement que le populisme est une sous-culture de personnes sans éducation. Aveuglement, racisme de classe, arrogance intellectuelle, mépris, intolérance mais plus grave encore, soutien à une rééducation politique des masses interdisant la liberté de soutenir des idéaux populistes dans un article intitulé:

    "Le populisme est aussi une crise de l’éducation".

    ("Le populisme est aussi une crise de l’éducation")

    Et le sous-titre est sans ambiguïté: "Alors que la scolarisation n’a jamais été si massive, les démagogues, de Trump à Le Pen, ont le vent en poupe". Ces personnalités ne sont pas légitimes, leurs choix politiques ne sont pas respectables et leur démagogie triomphe dans un monde où l’éducation ne fait plus son travail. Quelques précisions s’imposent, car, Philippe Bernard semble être victime de ses choix idéologiques, mais lui aussi marqué par une inculture étonnante, où alors serait-il l’adepte de la fake news et de la manipulation des masses? Clarifions.

    Le populisme est une théorie politique démocratique contre l’excès de pouvoir des élites

    Au cas où Philippe Bernard ne le saurait pas, lui, l’éditorialiste dans notre plus grand journal sans beaucoup de lecteurs, mais plein de subventions publiques, le populisme est une théorie politique née aux Etats-Unis à la fin du 19e siècle:

    "Le terme "populiste" aux États-Unis fait directement référence au mouvement fermier et anti-monopole des années 1890, formé dans un contexte de chute des prix agricoles. D’abord implantés dans les États ruraux du Sud et de l’Ouest américain, les populistes rassemblaient fermiers, artisans et ouvriers autour d’un programme pour les droits des travailleurs. À cette époque, l’industrie américaine était organisée en monopoles détenus par de grands capitaines d’industrie, tels que John Rockefeller (pétrole), Cornelius Vanderbilt (chemins de fer) ou Andrew Carnegie (acier)".

     (Le populisme aux États-Unis du XIXe siècle à Donald Trump | vie-publique.fr)

    Quelques articles de politistes, historiens et sociologues confirment bien que le populisme made in USA est une révolte démocratique des populations luttant contre la concentration du pouvoir économique dans des oligarchies du début du 20e siècle, jugées menaçantes contre les institutions, du fait de leur puissance d’influence: "La particularité étatsunienne réside aussi dans le fait que le populisme y est historiquement associé à des mouvements progressistes, à l’inverse des démocraties européennes où la très grande majorité des populismes sont de droite".

    in Populismes dans les Amériques, Luc Capdevila, François Vergniolle de Chantal, Jean-Christian Vinel

    (Populismes dans les Amériques)

    Le populisme Américain est bien démocratique au plus haut point, défendant l’indépendance et l’autonomie des populations et des Etats, contre toute extension excessive des pouvoirs fédéraux:

    "Aux États-Unis, le populisme a de profondes racines qui remontent à la fondation du pays. D’un point de vue théorique, les affinités entre le premier pays dont la constitution de 1787 stipule " We The People…Do " et le populisme, qui revendique les principes de base de la démocratie (règle majoritaire et souveraineté populaire), confirment à quel point le populisme suit en effet la démocratie comme son ombre (Arditti, 2004)".

    in Populismes dans les Amériques, Luc Capdevila, François Vergniolle de Chantal, Jean-Christian Vinel

     (Populismes dans les Amériques)

    Je peux multiplier les références en grand nombre, mais il y a accord sur l’identité du populisme américain, très loin de la démagogie et de la médiocrité intellectuelle projetée par notre brillant éditorialiste, un tantinet inculte au passage, ou de mauvaise foi:

    "Nous avions l’intuition qu’il était associé abusivement à l’extrême droite, alors que l’expérience concrète lui permet de se greffer sur toutes les idéologies. Et nous pensions que les Etats-Unis étaient un terrain idéal pour le démontrer. Si des figures variées et originales de la vie politique américaine confirment l’intérêt d’une telle approche, il serait réducteur de ne pas se demander si la structure même du pouvoir aux Etats-Unis implique une vie politique inévitablement populiste, notamment en raison de la relation entre l’Etat fédéral et les Etats fédérés, dès les origines".

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  • Le "fromage" de l’immigration semble excellent

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    Lors de l’affaire de Callac (tentative d’installer 550 africains dans une bourgade de 2.220 habitants en Bretagne), j’ai écrit un livre "Callac la mère des batailles". Outre la relation de la bataille que nous avons menée localement et gagnée, j’avais consacré un chapitre entier au business de l’immigration.

    J’y dénonçais deux choses. D’une part le rôle indigne et hors-la-loi des associations qui font venir illégalement des migrants en France et d’autre part le business que cela occasionnait pour de nombreuses associations qui s’en mettent plein les poches en camouflant leurs petites affaires sous l’apparence d’actions humanitaires.

    La plus connue de ces associations faisant venir les migrants c’est SOS-Méditerranée. Le petit manège est simple. Cette association est complice de la mafia des passeurs qui eux aussi s’en mettent plein les poches en rackettant les migrants pour qu’ils embarquent sur de frêles esquifs depuis les côtes de l’Afrique. Dès qu’ils arrivent dans les eaux internationales, ils déclenchent leur balise de détresse et… oh surprise, le bateau de SOS-Méditerranée est déjà là qui attend et récupère immédiatement les " naufragés".

    Deuxième astuce, l’Europe a décrété qu’il fallait " un port sûr " pour débarquer les naufragés. Mais bien sûr l’Europe a annoncé qu’il n’y en avait qu’en Europe. Donc le bateau débarque sa cargaison de migrants en Europe. C’est ce qu’il s’est passé avec l’Océan Viking le 11 novembre 2022 à Toulon où 250 migrants ont été débarqués. Et dès le lendemain 90% d’entre eux s’étaient échappés.

    Pour cette sale besogne, SOS-Méditerranée touche des subventions par millions, en provenance de toute le France notamment de toutes les structures pilotées par la gauche (ville, régions, départements, etc.) en plus de l’État . Et il n’y a pas que SOS-Méditerranée.

    Ces associations complices avec les mafias africaines de traite d’êtres humains devraient être arrêtées, traduites en justice, condamnées et jetées en prison. Mais en France et en Europe, ce sont ceux qui dénoncent leurs ignobles activités qui sont montrés du doigt et insultés, qualifiés notamment de racistes ou même des fascistes.

    Maintenant, un deuxième aspect, non moins ignoble, fait de plus en plus les gros titres des journaux. Mais pas celle de gauche, ni des bien-pensants (Le Monde, Libération, Mediapart, Télérama, etc.). Non ces journaux cachent les informations que je vais mentionner.

    En France, lorsque les migrants arrivent, il faut s’occuper d’eux: la plupart se déclarent réfugiés politiques et demandant le droit d’asile. Stratégie trouvée et généralisée par les avocats des ONG, qui a l’avantage d’interdire à la France de les expulser. Donc la quasi-totalité des migrants sont des réfugiés. Comme l’État ne peut pas s’occuper de tout, il délègue à des associations des missions notamment de logement, etc.

    Ces associations, il y en a des tonnes. Et bien sûr pour remplir leurs missions, elles reçoivent des subventions. Et pas qu’un peu. En 2022 il y a eu 750 millions d’€ de subventions. En 2023, le chiffre est monté à 975 millions d’€… presque 1 milliard d’€. On ne connaît pas encore le chiffre pour 2024, mais il n’aura certainement pas baissé. Un océan d’€ pour s’occuper de gens qui n’ont rien à faire en France et qui sont en situation illégale pour l’immense majorité d’entre eux. Pendant que de très nombreux agriculteurs travaillent tous les jours, sans prendre de vacances et vivent en dessous du seuil de pauvreté. C’est une honte absolue.

    S’il n’y avait que cela, ce serait déjà inadmissible, mais il y a bien pire.

    Comme je le disais, dans mon livre sur le business de l’immigration, je dénonçais aussi les agissements de certaines associations.

    On va dire les choses clairement: nombre d’entre elles détournent l’argent public reçu sous forme de subventions et font de l’abus de biens sociaux et même de l’enrichissement personnel.

    À Callac, c’est une famille de Paris, la famille Cohen qui était derrière le projet de venue de ces centaines d’Africains. Pour ce faire, elle avait créé un fonds de dotation qu’elle avait nommé " Merci". Selon un avocat fiscaliste spécialisé dans le domaine " c’est un statut juridique qui a une redoutable capacité fiscale qui permet pas mal de choses: défiscalisation extrêmement avantageuse (jusqu’à 60% des dons pour les entreprises et 66% pour les particuliers), exonération des droits de mutation et contrôles extrêmement légers – contrairement aux fondations reconnues d’intérêt public".

    Bref tout le monde a compris que les chances pour la France dans ce cas avaient fortement le goût de la défiscalisation… légale, certes, mais vaguement tirée par les cheveux au regard de l’éthique.

    Avec l’association Viltaïs, on monte nettement d’un cran. Avec 200 salariés en 2020 elle passe à 250 en 2022. Et cela a encore augmenté depuis avec tous les contrats sous-traités par l’État à cette association. Il se trouve que cette structure s’est faite épingler par la cour régionale des compte (Auvergne-Rhône-Alpes) pour sa gestion surprenante. Nous n’en donnerons qu’un exemple: un parc automobile de 136 véhicules pour 186 salariés au moment de l’enquête de la cour soit 0,8 véhicule par salarié. Presque 1 véhicule par salarié. Pas mal… non?

    Quant aux véhicules de direction, ce ne sont que des SUV presque tous de marque BMW et pas de l’entrée de gamme.

    Ce n’est pas parce qu’on s’occupe de migrants qu’on doit rouler dans les mêmes voitures qu’eux, n’est-ce pas? Toujours est-il que l’affaire est en justice.

    On monte encore d’un cran avec l’association Equalis qui sévit dans la région parisienne.

    Là il y a 900 salariés répartis dans 70 établissements principalement en Île-de-France. Disposant d’un budget annuel de 83 millions d’€.

    Arthur Anane était le dirigeant de cette association. Décoré de la Légion d’honneur par le préfet.

    En juin 2020, le commissaire aux comptes de cette association refuse de signer et prévient la préfecture qui déclenche une enquête vu ce que lui déclare le commissaire aux comptes.

    Parmi les perles trouvées, il y a la situation du dirigeant:

        Bénéficiait d’une voiture de fonction Audi Q7. Valeur 90.000 € louée en leasing 2.100 € par mois

        Essence et entretien également payés par l’association

        Logement de fonction (pas un studio) payé par l’association

        Carte de crédit prépayée de 10.000 € par mois

        Salaire de 200.000 € bruts par an, soit environ 12.000 € nets par mois

    Mais aussi celle des directeurs (19) et directeurs adjoints (10):

        Salaire de 130.000 € bruts par an soit environ 8.000 € nets par mois

        Voiture de fonction en leasing de 750 à 900 € par mois

        Essence et entretien payé par l’association.

        Carte prépayée de 10.000 € à 2.000 € par mois selon la position hiérarchique

    Enfin, une multitude d’activités festives pour des tarifs exorbitants.

    On comprend pourquoi le commissaire aux comptes a refusé de signer. Quant à M. Anane il a été obligé de quitter prestement ses fonctions. L’histoire ne dit pas s’il a été obligé de rendre sa Légion d’honneur.

    Le 5 janvier 2024, l’association Anticor a déposé plainte auprès du procureur de la République de Meaux pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics. L’affaire est en cours.

    Et comme il faut toujours une cerise sur le gâteau, à tout seigneur tout honneur, c’est la plus grosse association du domaine, Coallia, qui nous la procure.

    Il faut savoir que Coallia, c’est la plus grosse subvention… 148,37 millions d’€ en 2022.

    Coallia est une très grosse boutique avec 5.000 salariés, 760 établissements et services répartis dans 44 départements. Elle loge vingt mille personnes chaque jour dans ses structures d’urgence et vingt mille autres dans ses résidences sociales.

    Mais voyez-vous, elle aussi a de gros ennuis avec la justice. Suite à un rapport de la cour des comptes, au minimum deux chefs d’entreprise viennent d’être mis en garde à vue. Et des poursuites sont engagées.

    Pour des histoires de fausses facturations, de rétrocessions d’argent et autres abus de biens sociaux, réalisés à la demande d’un certain Gaye Camara, un directeur territorial de la fameuse association Coallia, nous apprend le site Boulevard Voltaire.

    Mais là on joue dans la cour des grands. Le préjudice serait de… 12 millions d’€ de fonds publics détournés ! Boulevard Voltaire indique que les fonds transitaient par des plateformes comme Treezor ou Qonto où les virements sont rapides et difficiles à tracer.

    L’article de Boulevard Voltaire se termine ainsi:

    "Outre une gestion financière peu rigoureuse, la Cour des comptes note aussi des problème de gouvernance. Selon la juridiction financière, elle "manque de transparence". Depuis 2017, Jean-François Carenco est le président de l’association tandis qu’Arnaud Richard a pris le poste de directeur général en 2018. Les deux hommes se connaissent, ils sont d’anciens proches de Jean-Louis Borloo. Le premier a été son directeur de cabinet au ministère de l’Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement, le second son conseiller parlementaire de 2002 à 2009. Un délicieux fromage affiné sur l’immigration de masse et financé par l’argent public".

    C’est indiscutable, le "fromage" de l’immigration semble effectivement excellent pour certains. C’est sans doute pour cela que les bénéficiaires trouvent que l’immigration est une chance pour la France. En fait plutôt pour eux, mais pas pour la France.

    QUAND JE PENSE QUE CEUX QUI DENONCENT TOUT CELA SONT ACCUSES D’ETRE DES "SANS CŒUR" OU "DES GENS QUI LAISSERAIENT LES MIGRANTS SE NOYER".

    On ne peut qu’avoir la nausée.

    Cette gauche et ces bien-pensants sont immondes, en plus d’être ceux qui veulent détruire notre pays, son identité et sa culture par la submersion migratoire.

    Au lieu de pérorer sur les plateaux télé et dans les médias et de faire la morale à quiconque ne partage pas leurs positions, ces Tartuffe devraient être devant les tribunaux à répondre de leurs actes, avant d’aller moisir dans un cul-de-basse-fosse.

    Bernard GERMAIN

     

    COMMENTAIRES SOUS L'ARTICLE

    1)

    Une info sur un autre pan de ce trafic mafieux: https://www.meretmarine.com/fr/divers/libye-d-ou-viennent-les-bateaux-qui-transportent-les-migrants

    Deux infos nous manquent encore:

    1_Quels organismes ou mouvements ont pu et peuvent encore initier localement les départs individuels ou en petits groupes de milliers de gens répartis sur des territoires immenses, en les incitants à réunir de fortes sommes où une famille ou un clan payent pour un ou quelques candidats au départ. Qui? Je pense aux imams dans les zones musulmanes et aux pasteurs évangéliques dans les zones chrétiennes. L’Eglise évangélique allemande dit fièrement financer les ONGs allemandes majoritaires en Méditerranée.

    2_ Quelles mafias les regroupent ensuite pour leur faire traverser le Sahara depuis l’Afrique noire? je pense à la plus puissante, la Mafia nigériane.

    2)

    Entre octobre et décembre 2023, Nora*, employée de Coallia, un opérateur associatif spécialisé dans l’hébergement d’urgence, a subi le harcèlement moral et les propos sexistes de son supérieur, Nordine D., auquel la direction n’a infligé qu’une sanction mineure malgré ses signalements et les multiples témoignages d’anciens collègues. Ce climat toxique persiste au sein de l’entreprise, suscitant l’indignation des syndicats et des salariés.

    (…) D’après plusieurs salariés ayant souhaité rester anonymes, Alice Brassens, directrice adjointe de Coallia, se serait opposée au licenciement de Nordine D., malgré l’avis favorable du directeur général Arnaud Richard pour son départ. Brassens aurait même orchestré secrètement un comité de soutien en faveur de Nordine D. Sur tous ces points, ni Nordine D., ni Alice Brassens, ni Arnaud Richard n’ont accepté de répondre

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)