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actualité - Page 23

  • Si vous aimez la numérologie…

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    2025: une année faste pour les kabbalistes

    Le mot "kabbale" signifie "réception" au sens le plus général. Le terme est parfois interprété comme "tradition". Il n’y a pas lieu de faire la distinction entre la kabbale mystique et la cabale occultiste.

    Selon Juda Le Prince, grand analyste du Talmud devant l’Éternel, la mystique juive est polythéiste, contrairement aux mystiques chrétienne et musulmane. La kabbale fait par ailleurs une place toute particulière à la fantaisie sexuelle la plus débridée. Les dix Sephiroth de l’arbre de vie correspondant aux dix étapes de purification spirituelle que l’initié parcourt spirituellement pour passer du monde matériel à l’union à Dieu, n’ont strictement rien à envier au Kamasutra.

    Les rabbins qui montaient et descendaient à l’envi cet arbre de vie étaient décidément de chauds lapins. On remarquera que le décorum des temples maçonniques s’inspire directement de la kabbale.

    La numérologie de la kabbale associe à chaque concept un nombre, fondé sur la valeur de chacune des vingt-deux lettres de l’alphabet hébreu:

    Par exemple, le nom divin YHWH vaut 10+5+6+5=26. Ce nombre 26 pointe vers le chiffre 8 (=2+6) qui signifie "l’Alliance, l’Amour".

    Selon Marc Halévy, auteur de "Kabbale numérologique – Arithmosophie et guématrie":

    "La Bible hébraïque – cette bibliothèque aux 22 livres dont les plus anciens ont été transcrits il y a près de 2 700 ans – fut écrite au moyen d’un alphabet "carré" et sacré dont chaque lettre est à la fois un son, un nom, un nombre, une graphie et un pentacle. Pythagore affirmait que "tout est nombre".

    Concernant la Bible, au moins, il avait raison. Mais que disent les nombres? Sont-ce seulement des signes représentant des quantités? Non, bien sûr, car au-delà de l’arithmétique se dessine une arithmologie que prolonge une arithmosophie. Les kabbalistes s’y sont lancés à corps perdu… Depuis son premier écrit connu, le Séphèr Yètzirah (ve s.), d’après une inspiration pythagoricienne puisée à Alexandrie, la Kabbale n’a jamais cessé de méditer les chiffres et les nombres".

    MAIS VENONS-EN A L’AN DE GRACE 2025

    Il s’agit d’une année faste pour les kabbalistes. 2025 est un carré parfait, autrement dit le carré d’un entier: 45² = 2025. Le carré parfait précédent est 1936 = 44². L’année 2025 verra-t-elle l’arrivée au pouvoir du Nouveau front populaire, comme 1936 fut celle du Front populaire?

    YHWH veuille que non. Mais le courant sabbato-frankiste du judaïsme affirme que la venue du Machiah sera précédée de grandes tribulations, y compris pour les juifs. Alors, tout est possible.

    Si le nombre 2025 renvoie à 1936, il renvoie aussi à des heures plus sombres encore: les années 1941 et 2025 ont en effet exactement le même calendrier.

    Quoi qu’il en soit, peu d’entre nous seront encore vivants pour le carré parfait suivant, puisque: 46² = 2116.

    2025 est également le carré de la somme des entiers de 1 à 9: (1+2+3+4+5+6+7+8+9)² = 2025. C’est donc aussi la somme des cubes des entiers de 1 à 9: 13+23+33+43+53+63+73+83+93 = 2025. L’égalité du carré de la somme des entiers de 1 à n et de la somme des cubes des entiers de 1 à n peut se démontrer par récurrence, en découpant astucieusement un cube de côté n+1 selon que n est pair ou impair (avis aux amateurs). C’est d’ailleurs ainsi que Nicomaque de Gérase l’a démontrée au deuxième siècle de notre ère.

    2025 est par ailleurs le produit de deux carrés: 9² x 5² = 2025, et la somme de trois carrés: 40² + 20 ² + 5² = 2025

    Si la réduction quadratique des entiers (écriture d’un entier comme somme d’au plus trois carrés parfaits) est achevée depuis l’Allemand Johann-Carl-Friedrich Gauss (précédé du Suisse Léonard Euler et du Français Adrien-Marie Legendre), la réduction cubique des entiers est encore non résolue.

    Là aussi, avis aux amateurs: médaille Fields garantie au premier qui "craquerait la noix" comme on dit outre-Rhin.

    On remarquera que ni Gauss, ni Euler, ni Legendre n’étaient kabbalistes ou numérologues. C’étaient de purs mathématiciens, dans la grande tradition européenne.

    Henri Dubost

    NB: Merci à notre spécialiste du conflit russo-ukrainien Francis Goumain de m’avoir signalé les richesses arithmétiques insoupçonnées du nombre 2025.

     

  • On a trouvé le coupable du réchauffement climatique, c’est le soleil !

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    Les prédicateurs de la fin du monde sont incorrigibles.

    AUCUNE DE LEURS PRÉDICTIONS NE S’EST REALISEE.

    Fort heureusement. Boston, Venise et les Tuamotu n’ont pas été engloutis. Les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu, pas plus que ceux de l’Antarctique. Il y a toujours de la neige l’hiver dans les zones tempérées, et la Sibérie n’a pas libéré des virus préhistoriques congelés.

    Cinquante ans de mensonges démentis par les faits, cela commençait à se remarquer.

    Ceux qui vivent plutôt bien de la peur qu’ils diffusent, entre conférences, livres, films, télés, labos subventionnés et chaires imméritées, ont compris qu’ils devaient changer leur fusil d’épaule.

    Se reniant implicitement, ils attribuent désormais au soleil (enfin!) le phénomène cyclique du léger réchauffement (1,2°C depuis 1860, terminé en 2005) qui n’a rien d’anthropique ni d’exceptionnel. Mais comme les professeurs Philippulus ne peuvent s’empêcher de prédire des catastrophes, il annoncent pour bientôt une super éruption solaire.

    Réservez vos places pour assister au prochain cataclysme!

    Certaines données scientifiques semblent plus inquiétantes que les élucubrations des écolo-réchauffards

    Une équipe internationale d’astrophysiciens a estimé, à partir des données récupérées sur 2.527 étoiles semblables au Soleil, qu’une future grosse éruption de notre étoile a une probabilité raisonnable de survenir dans les prochaines années. Sans donner de date.

    "Ces données nous rappellent brutalement que les événements solaires les plus extrêmes font partie du répertoire naturel de notre étoile", a rappelé Natalia Krivova, physicienne à l’institut Max-Planck de Göttingen et coordinatrice de l’étude.

    Pour parvenir à ces conclusions, elle et son équipe ont comparé les données de 5650 étoiles collectées par le télescope spatial Kepler entre 2009 et 2013. "Nous avons été surpris de constater que les étoiles semblables au soleil sont sujettes à des super éruptions fréquentes", a déclaré Valeriy Vasilyev, co-auteur de l’étude.

    Le Soleil est arrivé en 2024 à son pic décennal d’activité (un cycle complet dure en fait onze ans). Le nombre des taches solaires à sa surface est très important et les éruptions plus fréquentes. Symptôme de ce dynamisme retrouvé, au printemps et à l’automne dernier, des éjections de masse coronale particulièrement importantes ont donné lieu à des aurores boréales.

    Les super éruptions solaires auraient lieu tous les cent cinquante ou deux cents ans, mais on n’est pas passé loin en octobre 2024. Observées par la NASA, ces éruptions solaires sont de puissantes explosions de radiations.  Heureusement, notre champ magnétique les dévie en grande partie et notre atmosphère arrête le reste. Mais cette protection naturelle n’est pas infaillible, et les rayonnements et particules peuvent causer des dommages.

    La dernière super-éruption s’est produite en 1859, une époque où les infrastructures électriques, les satellites et les systèmes de communication n’existaient pas. Connue comme "l’événement de Carrington", cette tempête solaire de 1859 avait provoqué des surtensions dans les lignes télégraphiques et provoqué des incendies.

    De nos jours, les conséquences d’un tel phénomène pourraient être catastrophiques. Elles produiraient des pannes électriques massives, pouvant durer plusieurs semaines, perturberaient les communications, les signaux GPS, les transports, les réseaux informatiques, grosso modo toute l’infrastructure qui permet au monde moderne de fonctionner.

    Et encore, ils n’envisagent pas les méga-éruptions

    Celles-là se produisent tous les dix ou douze mille ans, liées aux cycles de Milankovitch (non Greta, ce n’est pas un Yougo qui vend des vélos). On assiste alors à des bouleversements majeurs, et des changements d’ères climatiques. Les glaciers polaires ainsi que les sédiments marins ont conservé des marqueurs isotopiques de ces méga-éruptions.

    La dernière période glaciaire s’est achevée de manière très brutale il y a environ 14.000 ans. Puis, après un nouvel épisode de refroidissement intermédiaire, le réchauffement a repris il y a 11.700 ans. Favorisant les conditions de vie des humains, amorçant la révolution néolithique.

    LE SOLEIL SOURCE DE VIE ET CAUSE DE MORT

    Le Soleil est une étoile très active. Selon les différents cycles solaires, des particules magnétiques parviennent en quantité variable sur la Terre. La densité de la matière au centre du Soleil est tellement massive qu’elle produit des réactions de fusion nucléaire. C’est-à-dire que l’hydrogène va se combiner pour former de l’hélium. Et selon la formule E = MC², la masse se transforme en énergie qui se traduit sous forme de lumière.

     

    Le Soleil est une étoile qui tourne sur elle-même et cette auto rotation produit un champ magnétique selon un cycle alternatif de 22 ans. Tous les 11 ans, notre étoile inverse ses pôles magnétiques. Ce cycle s’accompagne d’un certain nombre de phénomènes comme des concentrations de champs magnétique qui apparaissent à la surface. Ce sont les taches noires.

    Depuis 400 ans, on suit l’évolution de ces taches et on s’aperçoit qu’elles suivent les cycles de 11 ans. Il y a des périodes où il n’y a pratiquement aucune tache, comme entre 2018 et 2019. Puis à partir de 2019, ces taches réapparaissent à une fréquence accélérée… On observe alors une augmentation des taches jusqu’à un maximum d’apparition comme en 2024. Avec des éruptions localisées, relativement limitées, mais qui peuvent s’amplifier brutalement.

    Si on extrapole, on peut prévoir pour 2025, de nouvelles taches, un risque accru de fortes éruptions, qui diminueront à nouveau dans les années 2030. La température sur notre planète est liée à des phénomènes cosmiques et il faut vraiment être un cancre comme un écolo, pour lier une légère augmentation de température aux gaz à effet de serre, CO2, O3 (ozone) et CH4 (méthane) en oubliant H2O.

    La vapeur d’eau représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%) et possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1. C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable aux autres gaz. Tandis que l’albédo des nuages renvoie dans l’espace l’excès de chaleur.

    LES IMPOSTEURS DU GANG INTERNATIONAL D’ESCROLOS CLIMATIQUES

    À côté des simples d’esprit téléphages auxquels on fait gober n’importe quoi, il y a des gens qui sont allés à l’école auxquels on doit tenir un discours plus structuré. Les "modèles" en sont le passe-partout. En théorie, ils s’articulent sur des systèmes d’équations différentielles qui cherchent à établir des corrélations entre des fonctions inconnues et leurs dérives aléatoires. C’est précis…

    Certes on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on ne sait pas en mesurer les interactions et on en ignore l’impact éventuel sur le climat global. On a programmé des écarts thermiques probables en fonction des vents possibles, et du rayonnement solaire envisageable, avec l’hydrologie et l’humidité plausibles d’après la latitude et la saison. Comme si les phénomènes atmosphériques correspondaient toujours à des schémas théoriques à la validité aléatoire.

    Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer des lois, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…

    Les gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

    Sans contestation possible puisque le GIEC est devenu un club privé où l’on se coopte entre réchauffistes. Et que, dans certaines dictatures comme la France, les abrutis de la politique et les crétins des médias prétendent imposer une "vérité scientifique" qu’il est interdit de discuter.

     

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.c

  • Les priorités d’Aurore Bergé: l’éducation à la vie affective et à la sexualité

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    Mardi 24 Décembre 2024. Aurore Bergé, nouvelle ministre chargée de l’Égalité femmes-hommes, est revenue sur l’importance de l’éducation à la sexualité durant la scolarité des élèves.

    "J’ai toujours dit… qu’on avait une nécessité absolue d’avoir une éducation à la vie affective et à la sexualité dès le plus jeune âge.

    En fonction de la maturité des enfants, on n’aborde pas les mêmes choses à la maternelle et au lycée, pour des raisons évidentes, mais dès la maternelle, on peut expliquer à nos tout petits-enfants que personne n’a le droit de toucher leur corps, que personne n’a le droit de leur faire du mal.

    Ce que veut dire "dire oui", ce que veut dire "dire non", ça c’est une nécessité absolue quand on parle du consentement, ça veut dire apprendre le respect, ça veut dire apprendre l’égalité, l’égalité entre les filles et les garçons, le respect vis-à-vis de toutes les familles qui existent dans notre pays tout simplement, qu’elles soient hétérosexuelles, qu’elles soient homoparentales, et ça c’est une nécessité encore une fois.

    Il est temps que de soit le cas (que le programme d’éducation sexuelle soit effectif) ". Et elle assure que ce sujet serait "évidemment une priorité".

    En quelques mots, pour Aurore Bergé, l’éducation à la sexualité dès le plus jeune âge est une exigence impérative pour des raisons d’égalité, et en vue d’une formation au consentement.

    Elle oublie seulement de mentionner le contenu de cette nouvelle "matière pédagogique", d’invoquer l’entrisme de l’idéologie transgenre à l’école, d’aborder les nuisances du concept d’égalité.

    Depuis 2012, des textes, des déclarations traduisent une réalité: la "théorie" du genre est une idéologie mondialiste devenue idéologie d’Etat. Ces documents soulignent combien, dans nos écoles, l’apprentissage du sexe prend une importance capitale, en horaires, en moyens, en état d’esprit, et devient une matière primordiale. Aurore Bergé le confirme.

    L’idéologie du genre -et donc l’éducation à la sexualité- se réalisent grâce à des méthodes totalitaires. Les militants sont à la fois juges et parties, des intellectuels de haut niveau, du moins par la place qu’ils occupent, sinon par leur intelligence et leur culture réelles.

    Des universitaires, des hommes et des femmes politiques, rompus aux méthodes d’endoctrinement des foules. Dans les facultés et les grandes écoles, ils formatent les étudiants, futurs journalistes et enseignants qui, à leur tour embrigadent et catéchisent lycéens, collégiens, élèves, et adultes consommateurs de médias. Aurore Bergé est passée par cette formation.

    Et si ça ne suffit pas, ils emploient la manière forte: la diabolisation, la menace, la sanction, l’exclusion sociale.

    Les militants du genre et de la sexualité exercent une emprise idéologique sous couverts de mots, des subventions, d’une école politisée. Des mots consensuels, des mots admis par tous truffent leurs discours de façon récurrente: République et Républicains, Démocratie, Liberté, Égalité, Fraternité. L’Égalité, facteur d’équilibre de la société, devient source de divisions et d’inégalités. Le mot ne désigne plus l’égalité juridique des personnes, ni l’égalité des revenus, mais l’égalité des comportements sociaux et des ethnies réduites à une question de parité statistique.

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