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Politique - Page 16

  • L’abominable régime des mollahs doit tomber

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    L’abominable régime des mollahs doit tomb

    Il est très difficile de trouver dans les médias français des analyses pertinentes de la situation au Proche-Orient.

    Je suis en déplacement et je ferai un plus long article sur le sujet plus tard, mais dès aujourd’hui, je pense indispensable de dire ce qui suit:

    Le régime des mollahs iranien est la " tête de la pieuvre ": il finance et arme tous les groupes islamiques de la région et est le principal financier du terrorisme islamique mondial. Il est en guerre contre Israël et contre le monde occidental depuis sa naissance il y a 46 ans. Il finance en particulier le Hezbollah au Liban, le Hamas et le Djihad Islamique à Gaza, les milices houthies au Yémen. Il a une écrasante responsabilité dans l’atroce massacre du 7 octobre 2023 en Israël. C’est un régime coupable de crime contre l’humanité. S’il disparaît, ce sera un soulagement pour Israël, pour les États arabes sunnites de la région et pour le monde entier. Il serait très souhaitable qu’il disparaisse et tombe.

    Le régime des mollahs iranien ne doit absolument pas pouvoir se doter de l’arme atomique. Se doter de l’arme atomique lui permettrait de se sanctuariser, et, se considérant à l’abri d’attaques sur son sol, d’exacerber le recours au terrorisme contre Israël et contre le reste du monde. L’accord de juillet 2015 ne l’a en aucune façon empêché de continuer son avancée vers l’arme atomique, et la décision de Donald Trump de sortir de l’accord de juillet 2015 était indispensable. Elle s’est accompagnée de sanctions strictes contre le régime qui ont conduit celui-ci vers l’asphyxie. Les années Biden lui ont sauvé la vie et lui ont permis de gagner plus de cent milliards de dollars et d’accélérer sa quête de l’arme nucléaire.

    Le retour au pouvoir de Donald Trump s’est accompagné de sa volonté d’empêcher le régime des mollahs d’accéder à l’arme nucléaire. Donald Trump a choisi la voie de la négociation, sans illusions, en sachant que le régime des mollahs ne céderait pas. Donald Trump ne voulait pas qu’une guerre contre le régime des mollahs risque de dégénérer en guerre mondiale, et il s’est assuré que la Russie de Poutine et la Chine communiste resteraient en retrait: la voie de la négociation a permis que Russie de Poutine et Chine communiste restent en retrait. Les pays du monde arabe sunnite craignaient aussi qu’une action militaire des États-Unis conduise à des frappes sur leurs territoires. Le voyage de Trump au Proche-Orient était, outre toutes les autres dimensions, destiné à les rassurer.

    Il était prévu depuis des semaines que les frappes seraient israéliennes, avec appui américain, et il n’y a jamais eu l’ombre d’un désaccord entre Trump et Netanyahou. La comédie du désaccord était destinée à atténuer la vigilance du régime des mollahs, et cela a parfaitement fonctionné. Les États-Unis contribuent à la défense d’Israël contre les ripostes iraniennes et ont averti le régime des mollahs que s’il attaque des bases américaines au Proche-Orient, et ces bases seraient les principales cibles des mollahs dans le monde arabe, la riposte américaine serait impitoyable. L’attaque du régime des mollahs par Israël n’a en aucun cas été, comme cela s’est dit en France, un échec de Trump, mais l’aboutissement d’une stratégie américano-israélienne.

    L’attaque israélienne a montré tout à la fois la supériorité militaire d’Israël, le génie militaire israélien, et les capacités immenses des services de renseignement israéliens. Israël est parvenu à éliminer l’essentiel des chefs militaires de l’armée iranienne et des Gardiens de la Révolution et les principaux concepteurs du programme atomique militaire du régime, et ce fut une opération extraordinaire. Israël est aussi parvenu à infiltrer des agents jusqu’au cœur de Téhéran, qui ont neutralisé des systèmes de défense et de missiles du régime. Aucune armée et aucun autre service de renseignement au monde n’est capable de tels exploits.

    L’Iran a peu de capacités de défense résiduelles et peu de capacités offensives. Les tirs effectués contre Israël sont le maximum de ce que l’armée iranienne peut encore faire. Les systèmes de défense israéliens sont d’une efficacité remarquable et les États-Unis contribuent à annihiler les missiles et les drones tirés par l’Iran. Il y a des blessés, des morts et des destructions en Israël, et il importe qu’il y en ait le moins possible. Tout blessé, tout mort israélien est un blessé ou un mort de trop.

    Benyamin Netanyahou a dit que l’opération allait durer: le site de Natanz est très détérioré. Il faut que les autres sites et les installations nucléaires militaires de l’Iran soient aussi détruits qu’il sera possible. Les installations pétrolières iraniennes n’ont pas été touchées dans un premier temps, elles doivent l’être et le seront. Je ne doute pas que les chefs politiques du régime des mollahs sont des cibles qu’Israël aurait la possibilité d’éliminer. Il serait souhaitable qu’elles soient éliminées. Israël et Trump ont hésité à franchir le pas, pour des raisons politiques sans doute. Je l’ai dit: il serait souhaitable que le régime des mollahs tombe. Ce serait souhaitable aussi pour le peuple iranien. L’abominable régime des mollahs doit tomber.

    © Guy Millière pour Dreuz.info

  • l’assassin de Mélanie s’appelle Gallois ou Ghenouchi? À quand sa photo?

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    Il paraît qu’il y aurait des lois qui interdisent de donner le nom des mineurs délinquants et de publier leur photo. Tout comme, selon d’autres, publier les photos des djihadistes de Daech en train d’assassiner des infidèles serait de l’incitation au terrorisme. Tout comme d’autres interdisent les statistiques ethniques. Toutes ces lois sont stupides et ne servent qu’à une chose: protéger les délinquants, pour qu’on ne connaisse pas leurs origines et leur religion, afin de continuer à mentir aux Français. Et il en est de même pour les victimes, puisque dans les médias, on appelle Mélanie, la victime de Quentin, avec seulement la première lettre de son nom, un G.

    Pour revenir sur l’insupportable assassinat de Mélanie, on a constaté que les médias, cette fois, sur ordre des autorités, ont balancé le prénom de l’assassin en une demi-heure, pour leur laisser entendre que cela n’étaient pas toujours des Mohamed qui assassinent les Français. Darmanin nous avait fait le coup des Kevin et Mattéo, pour dissimuler la réalité des émeutes ethniques ayant suivi la mort de Nahel Merzouk.

    Jean Messiha a donc relayé une information qui aurait été explosive, nous apprenant que le vrai nom de l’assassin serait Ghenouchi, et qu’il serait tunisien. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, d’autres affirment qu’il s’appelle Gallois. Dans le doute, après plusieurs contacts, Jean a retiré son tweet. Mais le doute demeure. Des médias comme RTL, parlant de la famille de l’assassin Quentin, parlaient de " famille bien intégrée " dont les deux parents travaillent. Donc peut-être des " Ghenouchi".

    Sur la toile, d’autres rumeurs circulent, qui expliquent que Quentin n’aurait pas la couleur de peau d’un Gallois…

    D’autres encore ont même affirmé que ses trois premiers prénoms seraient musulmans, que le premier serait Ali, et que Quentin serait le quatrième.

    La seule solution est de mettre fin à ces lois sur les mineurs qui protègent les assassins, et de traiter ceux qui tuent comme des adultes et pour ce qu’ils sont: des criminels qu’il convient de traiter comme tels, quel que soit leur âge, et de publier leur photo et leur nom…

    Lucette Jeanpierre

  • Une immigration politique financée par George Soros

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    The Telegraph rend compte d’une étude menée par le professeur Matt Goodwin, de l’Université de Buckingham. Selon cette étude, les Britanniques blancs passeront de 73% de la population en 2025 à 33,7% en 2200. Soit une baisse de 40%.

    Les Britanniques non blancs, les personnes nées à l’étranger ou de parents immigrés passeront de 20% en 2025 à 60,6% en 2100. Soit une hausse de 40%.

    Les deux courbes se croisent en 2070, c’est-à-dire que les allogènes rejoignent les autochtones en nombre en 2070. La tendance est continue, régulière, inéluctable.

    La population musulmane, estimée aujourd’hui à 7% pourrait atteindre 19,2% en 2100, voire 25% dans un scénario de forte immigration musulmane.

    Les grandes villes sont en première ligne. Selon le dernier recensement de 2022, Londres et Birmingham sont déjà à majorité non-blanche britannique.

    Les mêmes chiffres, à quelques nuances près, se reproduisent en France, en Allemagne, dans l’Europe de l’Ouest. Des grandes villes, des régions, perdent leur identité. Un basculement identitaire se produit. La baisse et la hausse de 40%, simultanées et réciproques, signifient un Grand Remplacement. Le changement de population est massif. Des turbulences politiques, sociales, des affrontements, des conflits, déjà présents, risquent de s’amplifier et de tourner à la guerre civile.

    Cette situation ne doit rien au hasard. Au-delà des faits numériques et sociaux incontestables, se cache une volonté politique délibérée, en lien avec l’idéologie mondialiste cosmopolite. L’immigration est au service de l’empire, d’où une mondialisation de la population.

    Dès le début des années 1970, la France fut infectée par le tiers-mondisme, complément de l’antiracisme, valorisation de tout ce qui est anti-occidental. Le tiers-mondisme exalte toutes les civilisations autres que l’occidentale, particulièrement l’islamique ou l’africaine. Après la décolonisation, est venue sa suite logique et prévue, l’immigration.

    Il fallait importer la révolution d’Afrique en Occident en faisant venir le tiers-monde dans les pays occidentaux. À cette fin, pendant la guerre froide, Moscou a programmé l’immigration comme un moyen privilégié d’affaiblir l’Occident. En France, l’ordre immigrationniste a été répercuté par le Parti Communiste et sa cohorte d’intellectuels.

    En exaltant le tiers-mondisme et en poussant à l’immigration, la révolution de Mai 68 a créé de nouveaux pauvres en Occident, mais elle a trouvé tout de suite la parade, l’alibi caritatif. Il fallait s’occuper des pauvres pour qu’ils votent "bien". Sinon, leur révolte les mènerait vers un parti hors système maçonnique, "coupable" de nationalisme, donc" coupable " de s’opposer au programme mondialiste. Des prêtres, des comiques, des films pleurnichards, les Enfoirés, l’imposture des organisations dites humanitaires, montrent l’exploitation du caritatif. Ces organisations sont toutes "du monde": "Médecins du monde", "Enfants du monde". Et leurs membres tous gauchistes et mondialistes… Pas tous honnêtes.

    La France de Pompidou choisit la voie de l’immigration. Puis en 1974-1975, Giscard et Chirac décidèrent le regroupement familial des Africains sur notre sol et le suicide familial des Français avec le divorce par consentement mutuel et la loi Veil dépénalisant l’avortement.

    Un rapport de l’ONU préconisait une immigration massive en Europe d’ici à 2050. Le terme de "remplacement" figure dans le titre de ce rapport et à l’intérieur.

    "La migration de remplacement désigne la migration internationale dont un pays aurait besoin pour compenser le déclin de la population et le vieillissement de sa population résultant de faibles taux de natalité et de mortalité".

    Le document présentait trois scénarios. Premier scénario: accueil de 5,5 millions d’immigrés entre 2010 et 2050 pour conserver en France le même nombre d’habitants. Donc diminution des Français de souche compensée par une augmentation des immigrés.

    Deuxième scénario. Conserver un rapport de trois actifs pour un retraité. D’où l’importation de 16 millions d’immigrés sur la période 2020-2040, et un grand remplacement rapide.

    Troisième scénario. Pour un rapport de 4,4 entre actifs et retraités, nécessité d’importer 93 millions d’immigrés entre 2000 et 2050. Soit près de deux millions par an.

    Il faut se résoudre à l’immigration pour sauver les retraites. Il s’agit d’un chantage, car une alternative existe, lancer une politique nataliste en Europe. Mais ni l’ONU, ni le gouvernement français, ni les démographes n’ont envisagé ce remède, même pas comme hypothèse. La politique nataliste en Europe n’a pas été évoquée, sur décision idéologique.

    Le malthusianisme a été imposé au Nord quand l’explosion démographique touchait le Sud. Le suicide démographique du Nord a été orchestré et planifié. Le transfert ethnique par l’immigration massive a été concerté et mis au point. L’excès du Sud s’est déversé dans le manque ainsi créé au Nord. Les migrations sont déterminées par la sociologie et par l’économie. Mais la démographie dépend aussi et surtout de la politique.

    Les élites ne peuvent plus nier la délinquance et la criminalité liée à l’invasion migratoire, alors elles nient l’ampleur de l’immigration, elles minimisent les chiffres. La vraie question est la suivante: Combien y a-t-il d’individus issus d’ethnies nord africaines et sub-sahariennes en Europe? Personne ne répond car le recueil des données statistiques a été interdit en France. Finalement, on a laissé s’installer un communautarisme de fait.

    Autre ligne de défense du négationniste démographique: les migrations massives résultent de la pression démographique dans le Sud, associée à l’insuffisance des moyens de subsistance. C’est donc inéluctable, c’est une obligation. On reprend le sens de l’histoire: les migrants cherchent un espace vital, comme Hitler pour le peuple allemand. On revient à l’explication de Malthus: la population s’accroît en progression géométrique et les subsistances en progression arithmétique.

    L’émigration du Sud vers le Nord est donc la seule solution possible.

    Mais la politique d’immigration en France a été conçue vers 1973. La première conférence internationale sur les populations a eu lieu en 1974, à Bucarest. A cette époque, l’Europe renouvelle encore à peu près ses générations. L’Europe comptait 675 millions d’habitants et l’Afrique 400. Il y avait 1,7 Européen pour 1 Africain. De nos jours, l’Europe compte 745 millions d’habitants et l’Afrique 1 milliard et 320 millions. Il y a 0,6 Européen pour 1 Africain (chiffres de Martin Pelletier).

    Il a été décidé en 1974 qu’un continent vide remplisse un continent plein. Une politique nataliste appropriée aurait pu rendre à l’Europe la vitalité nécessaire et éviter son vieillissement. Mais on ne l’a pas voulu.

    L’immigration de masse vise certains pays, les pays d’Europe de l’Ouest, le Canada, les Etats-Unis. Elle en épargne d’autres: la Chine, le Japon, l’Arabie saoudite. La Révolution oppose Blancs et non-Blancs. Le monde occidental est ciblé prioritairement.

    Cette politique d’immigration, voulue et organisée de longue date, coûte très cher. Elle est financée par des milliardaires, comme George Soros, issu de la bourgeoisie juive de Hongrie, à la tête de l’Open Society Foundations, né en 1930. Georges Soros met des milliards à la disposition de son combat révolutionnaire. La complicité avec les élites néoconservatrices et démocrates le rend efficace et dangereux. Une opération de guerre est menée ouvertement, par le fascisme, la synarchie, la révolution, l’empire.

    La "Société ouverte" est un élément clé de l’idéologie de Soros et des actions promues en faveur de l’immigration. Ce concept de "Société ouverte", repris à Karl Popper, philosophe autrichien naturalisé britannique (1902-1994), implique la mort des Etats-nations et leur dissolution dans un creuset, un melting pot, mêlant tous les peuples, toutes les civilisations, toutes les cultures et toutes les religions sous l’égide d’un Gouvernement Mondial.

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