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Actualité - Page 47

  • Les otages israéliens libérés font penser aux rescapés des Camps de la mort

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                                                             AVANT et  APRÈS   

    Or Lévy, Ohad Ben Ami et Eli Sharabi, (de gauche à droite) sont les 3 otages israéliens capturés le 7 octobre, et libérés par le Hamas le samedi 8 février 25, soit après 16 mois de détention dans des tunnels sordides froids et sombres, ajoutons, réhaussée d’une sous-alimentation ou détresse nutritionnelle. Pourtant ces 3 hommes étaient détenus à Gaza où l’aide humanitaire arrivait régulièrement et massivement par milliers de camions entiers.

    Mais il est vrai, cette aide humanitaire internationale, selon l’intime volonté du sénile Joe Biden, était soumise à un chantage.

    Tout le monde s’en souvient: des camions humanitaires contre des armes et des bombes US pour continuer une guerre sur 7 fronts qui a été imposée à Israël. Le chantage de Joe Biden était destiné à nourrir les terroristes du Hamas, soutenus implicitement par toute la gauche mondialiste, dans une hypocrisie sans nom. Les démo-crasses américains avaient implicitement décidé, pour ne pas décevoir les électeurs de kamala à risques, que le Hamas devait continuer sa guerre génocidaire contre l’État sioniste, comme ils disent. Et Céline Pina, d’ajouter que des nations imbéciles ont fait pression sur Israël et uniquement sur Israël, les forçant à procurer de l’aide à ceux qui les massacrent. Bien dit, n’est-ce pas?

    Regardez, c’est exactement ce qui s’est passé, je n’invente rien! Cherchez bien qui a financé cette barbarie des années durant. Quels sont les Etats complices du génocide du 7 octobre? Qui a décidé à dessein de parquer en quatre décennies une population rejetée par l’ensemble des pays arabes du monde pour leur dangerosité, leur inhumanité, leur barbarie? Aujourd’hui l’heure des comptes arrive, cette population a atteint moins de 2 millions d’aliens, dans un lopin de terre jouxtant la terre d’Israël, car les conseillers islamo-gauchistes de cette ignoble et perfide expérimentation n’avaient dans les années 70 que deux options  à dessein:

    1-d’entretenir en permanence la haine des Juifs et d’Israël sur toutes les générations à venir, les manuels scolaires, financés par vous, sont là pour le prouver ; 

    2– de détruire l’état sioniste qui les a nourris et s’approprier de tous les biens et richesses de l’Etat Juif accumulé depuis 1948. C’est ce que les enseignants ont mis dans la tête de tous les enfants palestiniens, comment doit fonctionner une barbarie dissimulée derrière le mot terrorisme islamique.

    Cette situation révèle en l’état le constat d’une équation sans solution.

    Marc Sangnier, homme de gauche, fondateur des Auberges de jeunesse en 1930, disait (sic): " L’Amour est plus fort que la haine". Pour ces enfants élevés dans la haine depuis leur plus tendre enfance, l’Amour n’existe pas, ou n’a jamais existé. Leur avenir sera ailleurs après une longue étape de restructuration des cerveaux. On retrouve ce manque affectif d’empathie, cette volonté de destruction de l’autre, cette machination de culpabilisation permanente chez les pervers narcissique – ou PN. Si vous regardez bien autour de vous, et même au sommet des États: ils sont légion.

    Visiblement les otages ont subi des mauvais traitements et de nombreux sévices corporels et psychologiques sans aucun respect des lois internationales de la guerre et des accords de Genève sur la protection et le traitement des prisonniers. L’ONG Croix-Rouge s’est montrée d’une inutilité et d’une incompétence historiquement inqualifiable. Le silence assourdissant de cette ONG internationale est insupportable, alors qu’elle empoche chaque année des millions de subventions, prélevés dans la poche des contribuables. Cette ONG a eu la même attitude lorsque des millions de Juifs étaient atteints du typhus dans les camps de la mort nazis. Avez-vous entendu parler de la Croix Rouge?…

    Pensez à refuser vos dons lors de leur prochaine campagne de mendicité pour les remercier de leur efficacité dans des situations humanitaires indiscutables. Les médecins israéliens à l’issue de l’observation de ces 3 otages pensent qu’ils ont été affamés volontairement par les nazislamistes du Hamas. Ces 3 innocents ont vécu l’enfer et un martyr irréversible, la barbarie à l’état pur, qu’on ne peut plus taire depuis la révélation de la Shoah. Se taire c’est devenir complice du silence, et des mensonges du terrorisme et de la barbarie islamique devenus mondialisés.

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  • La grippe aviaire s'agrave dans les zoos du monde entier

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    Des dizaines d'animaux rares, y compris des tigres, des lions et des guépards, meurent alors que la grippe des oiseaux s'infiltre dans les zoos, avec des "implications graves" pour les espèces menacées, ont averti les chercheurs.

    Alors qu'un nombre croissant de zoos signalent des morts chez les animaux, les scientifiques craignent que les oiseaux sauvages infectés ne débarquent dans des enclos puissent les épandre parmi les animaux captifs.

    Aux États-Unis, un guépard, un lion de montagne, une oie indienne et un kookaburra figuraient parmi les animaux morts dans le zoo mondial de la vie sauvage près de Phoenix, selon les médias locaux la semaine dernière. Le zoo de San Francisco a temporairement fermé ses volières après qu'un faucon sauvage à épaules rouges a été retrouvé mort sur son territoire, puis testé positif pour la grippe aviaire hautement pathogène (HPAIV).

    Une rare oie à poitrine rouge est morte au zoo de Woodland Park à Seattle, provoquant la fermeture des volières et l'alimentation des pingouins pour les visiteurs en novembre. Ces cas font suite à la mort de 47 tigres, de trois lions et d'une panthère dans les zoos du sud du Vietnam au cours de l'été.

    "Compte tenu des conséquences potentiellement fatales d'une infection par le HPAIV chez les oiseaux et chez certains mammifères, comme les grands chats, ces infections peuvent avoir de graves conséquences pour les espèces animales menacées hébergées dans les zoos", a déclaré le Dr Connor Bamford, un virologue de l'Université Queen's de Belfast.

    Les chercheurs affirment que des cas ont probablement émergé dans les zoos à cause de l'entrée et de l'entrée des oiseaux sauvages infectés, et cela a tendance à se produire plus pendant la saison de migration. Un certain nombre d'États américains, dont la Louisiane, le Missouri et le Kansas, ont signalé une augmentation des cas de grippe aviaire, en particulier dans les oies et les oiseaux d'eau. Il y a eu un «saut aigu» de cas dans l'Iowa, selon les autorités de l'État, après « presque un an » sans détection du virus.

    "Nous devons réfléchir à la manière de gérer cette situation, soit en améliorant la biosécurité des zoos, soit en vaccinant les animaux de zoo. Cet exemple nous donne un autre signal d’alarme à l’importance du HPAIV et de ses impacts sur les animaux et les humains", a déclaré M. Bamford.

    Un ibis à crête est vacciné contre la grippe aviaire au zoo de Mulhouse dans l'est de la France en 2020.

    Les chercheurs ont averti pendant des décennies que cette variante de la grippe aviaire pourrait tuer les primates, les rongeurs, les porcs et les lapins, avec des rapports de tigres du Bengale et de léopards assombriss assombriss.

    Les infections dans les zoos n'étaient pas inattendues, a déclaré le virologue Dr Ed Hutchinson de l'université de Glasgow. Les visiteurs des zoos au Royaume-Uni ont peut-être remarqué que les enclos à oiseaux étaient temporairement fermés ou neutralisés lorsque les risques d'infection par la variante de la grippe aviaire H5N1 provenant d'oiseaux sauvages étaient connus pour être élevés, a-t-il déclaré. «Lorsque les zoos s'occupent des animaux d'espèces menacées d'extinction, il est particulièrement important de prendre des mesures pour réduire le risque auquel ces animaux sont confrontés du virus H5N1, par exemple en limitant l'accès des oiseaux sauvages aux enclos.»

     

    Les zoos abritent généralement des densités élevées d'animaux et ont des approches différentes en matière de biosécurité, de santé et de bien-être, ainsi que des possibilités d'être visitées par la faune. Ces facteurs affectent leur vulnérabilité, selon le professeur Rowland Kao, un épidémiologiste de l'université d'Édimbourg. «Il n’y a pas nécessairement une chose et l’on ne peut pas pointer vers un zoo spécifique et dire « ils ont fait ce mal », mais ces facteurs variables, les nombreuses voies que ce virus semble prendre et les faibles doses de virus qui peuvent potentiellement déclencher des épidémies, signifient qu’il apparaîtra dans toutes sortes d’endroits », a-t-il déclaré.

    Les virus de la grippe aviaire peuvent être transmis chez une grande variété d'animaux. En 2020, une variante s'est répandue à travers le monde, atteignant finalement l'Antarctique à la fin de 2023, provoquant la mort de millions d'animaux sauvages à travers l'Eurasie, l'Afrique, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud sur sa route. Aux États-Unis, il est parfaitement adapté au bétail, augmentant le risque d'infections humaines.

    La propagation se poursuit dans les exploitations laitières, en particulier en Californie – l’État laitier le plus riche en produits laitiers des États-Unis – où près de la moitié des 1 300 exploitations de l’État ont été touchées, et deux travailleurs agricoles ont été testés positifs ce mois-ci. Deux chats d'intérieur sont soupçonnés d'être morts à Los Angeles après avoir bu du lait cru infecté.

    Le professeur Ian Brown, un virologue du Pirbright Institute dans le Surrey, a déclaré: «Il y a toujours un risque, mais les zoos devraient prendre des précautions d’hygiène supplémentaires pour ces espèces – je sais que certains zoos ont confiné des flamants tons à leur maison pendant les périodes de risque de propagation du virus.

    Dans certaines régions, comme le Royaume-Uni et l'UE, les vaccins contre la grippe aviaire autorisés peuvent être utilisés sur des animaux de zoo en captivité. Aux États-Unis, cela n'est pas permis.

  • IMPENSABLE! PROTÉGEZ VOS JEUNES FILLES PRE ET ADOLESCENTES

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    … et les jeunes garçons aussi

     

    Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France,

    des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent.

    Elle a fini par être retrouvée au bout de six jours, à 500 kilomètres de chez elle, dans un état second. Lilou, 16 ans, a disparu le 23 octobre 2024 de Metz, alors qu’elle devait aller faire une course au pressing dans le cadre d’un stage. Après une énorme mobilisation de sa mère sur les réseaux sociaux, l’adolescente a réapparu le 29 octobre dans un train en gare de Voiron (Isère).

    “Saine et sauve” comme le veut la formule. Mais la mise en examen pour proxénétisme aggravé d’un homme, quelques jours plus tard, laisse imaginer ce qu’il s’est passé.

    Ce mardi après-midi-là, Lilou, 16 ans, marche une demi-heure, hagarde, avant de comprendre où elle se trouve. “Gare de Grenoble”. Elle monte dans le premier train, sans billet et sans connaître sa destination. Elle espère se faire arrêter par des contrôleurs qui la conduiront à la police. Le train entame son voyage, Lilou est dans un état second, encore en partie sous l’effet de la drogue.

    Une dame, intriguée, vient la voir. Et la reconnaît. Car le visage de Lilou est partout sur les réseaux sociaux depuis six jours, depuis que sa mère a lancé un appel à témoins après la disparition de sa fille. La passagère appelle la mère de l’adolescente, reste avec elle, puis descend en gare de Voiron pour aller chercher des policiers.

    LES MAINS ATTACHEES, SOUS L’EMPRISE DE LA DROGUE

    Et aux enquêteurs, Lilou a beaucoup de choses à dire, mélange d’images précises, de souvenirs flous et de trous noirs. L’adolescente explique s’être fait enlever par deux automobilistes à qui elle a demandé son chemin alors qu’elle s’était perdue en périphérie de Metz après s’être trompée de bus. Un homme l’attrape, ferme la porte.

    “’étais tétanisée, je ne savais pas quoi faire“. Puis la jeune fille est droguée, “des bonbonnes de protoxyde d’azote” détaille-t-elle. Le voyage dure cinq heures, l’équipage arrive dans un appartement de location de courte durée.

    Lilou reste enfermée pendant que les deux hommes vont acheter “de la lingerie, du maquillage, des habits“. Ils lui coupent les cheveux, les teignent en noir, puis font des photos pour mettre une annonce en ligne. “Ensuite, il y avait des appels, ils répondaient par message, donnaient les tarifs, et ensuite les gens venaient.“

    Les gens, ce sont des clients de tous âges. Difficile d’imaginer qu’ils ne comprennent pas que Lilou n’est pas consentante : “Non seulement j’étais paralysée à cause de la consommation de protoxyde d’azote, d’alcool. Mais j’avais aussi les mains attachées et je ne pouvais rien faire, pas les repousser“.

    Et pas un client ne semble gêné: “Personne ne me demande si ça va, n’essaye de me détacher, ne me demande mon âge. Ils faisaient ce qu’ils avaient à faire, dit-elle pudiquement, et ils partaient“.

    Mais au bout de quelques jours, les proxénètes voient sur les réseaux sociaux le visage de Lilou, et leur description. Car la mère de la jeune fille est en train de remuer ciel et terre. Ils la jettent dehors en sous-vêtements avec un sac, la menacent de représailles si elle parle et lui disent de partir. Quelques heures plus tard, Lilou retrouvera sa mère.

    L’ENQUETE PARALLELE

    Quand Pauline arrive au commissariat de Metz pour signaler la disparition de sa fille le 23 octobre, elle sait que quelque chose de grave est en cours: “Je le sentais dans mon ventre“. Mais les policiers lui conseillent de signer une déclaration de fugue. En rentrant chez elle, la mère de famille décide de mener elle-même son enquête.

    Elle prend l’ordinateur de Lilou, et fouille ses comptes Snpachat, Tiktok: “On a tout piraté!“. Elle envoie des messages aux contacts des comptes de sa fille, puis aux contacts de ses contacts. Elle tente de localiser le téléphone et repère où sont les caméras de vidéo-surveillance sur une ébauche de trajet que Lilou aurait emprunté.

    “Chez moi, c’était rempli de papiers avec des itinéraires et des chronométrages“. Pauline obtient vite un premier témoignage qui lui donne la description d’un homme et d’une voiture. Elle publie les résultats de ses recherches sur Facebook. “Ce qui est exceptionnel dans ce dossier, c’est la mobilisation de la mère de Lilou par les réseaux sociaux et l’emballement médiatique qui a suivi“, souligne une source judiciaire.

    Car selon le témoignage de l’adolescente, c’est bien la très forte présence des messages de recherche sur les réseaux sociaux qui a déterminé sa libération.

    Parmi les anonymes qui ont contacté Pauline, il y a Patricia. Chez elle, l’histoire de Lilou résonne particulièrement fort. Parce que sa fille de 15 ans, originaire de la même région, est elle aussi tombée dans un réseau de prostitution quelques semaines plus tôt. Parce que Patricia a elle aussi mené sa propre enquête pour l’en sortir. Audrey (le prénom a été changé) pensait partir quelques jours avec une vague connaissance pour aller prendre du bon temps à Paris.

    Mais une fois sur place, c’est la douche froide. Son “amie” est en fait une rabatteuse. Et Audrey se retrouve elle aussi droguée, prise en photo pour des annonces, et prostituée par un petit réseau.

    UN PROXENETE QUI GERE SON RESEAU DEPUIS SA CELLULE DE PRISON

    Ce réseau est dirigé, selon le récit d’Audrey, par un homme qui est actuellement en prison, condamné à six ans pour proxénétisme. Il donne ses consignes depuis sa cellule par téléphone, en visio; et menace la jeune fille de représailles, et de violences contre sa famille, si elle ne s’exécute pas. L’adolescente est surveillée par un jeune homme et par la rabatteuse. Durant les deux à trois semaines de prostitution, elle est trimballée d’un Airbnb à un autre en région parisienne.

    Le nom de la rabatteuse apparaît d’un coup dans certains commentaires sous les messages liés à la disparition de Lilou. “Ça a fait tilt, je me suis dit qu’elle avait recommencé, et que la fille de cette dame allait passer là où était passée ma fille“. Patricia contacte Pauline, et la soutient dans les jours qui suivent, même si la piste de cette rabatteuse semble s’être éteinte dans le dossier de Lilou.

    Car la mère d’Audrey s’est elle aussi sentie bien seule durant la disparition de sa fille, incomprise par les policiers.

    DES PHOTOS ENVOYEES AUX HOTELS, ET UNE RABATTEUSE PISTEE SUR SNAPCHAT

    Alors pendant des jours et des nuits, elle a arpenté les réseaux sociaux, à la recherche de toutes les pistes possibles. Elle demande à son opérateur de téléphonie de lui fournir la liste des appels de la ligne de portable de sa fille, passe des coups de fil, et comprend qu’elle est à Paris. Elle appelle tous les hôtels qu’elle peut, leur envoie la photo d’Audrey pour savoir si elle est passée par là.

    Patricia finit par retrouver la trace de la rabatteuse, et, aidée de ses enfants, la contacte, tente de la piéger. Puis la menace. Audrey est finalement “déposée” dans un poste de police. L’adolescente explique qu’elle a été prostituée de force par le jeune homme qui l’a amenée. “Les policiers se sont mis à rire” soupire-t-elle. Sa mère saute dans une voiture et vient la chercher.

    Aujourd’hui, comme Lilou, Audrey a beaucoup de mal à dormir, hantée par ses souvenirs. Elle non plus n’est toujours pas retournée à l’école. Elle a déposé plainte mais son dossier est pour l’instant au point mort.

    Dans l’affaire de Lilou, un homme de 24 ans – condamné en 2020 pour des faits de vol et recel de vol – est en détention provisoire, mis en examen pour proxénétisme aggravé. Des clients pourraient être prochainement poursuivis pénalement selon le parquet de Grenoble (où l’enquête est dirigée).

    Depuis 2015, le nombre d’enquêtes menées par l’OCRTEH (Office central de lutte contre la traite des êtres humains) pour prostitution de mineurs a été multiplié par dix.

    Mais le nouveau visage de cette prostitution, qui s’organise en ligne, de façon plus invisible, avec des victimes déplacées très fréquemment d’une location courte durée à une autre, rend les investigations difficiles.

    Le Zoom de France Inter

    Plus de 10000 mineures sont exploitées dans des réseaux de prostitution en France, des chiffres 10 fois supérieurs à ceux de 2015. Une victime et des mères témoignent.

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