Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 49

  • "Notre pays connaît un point de bascule" Hubert Bonneau,

    Imprimer

    Hubert Bonneau, met en garde: " Notre pays connaît un point de bascule". La formule n’a rien de surprenant, tant la scène géopolitique internationale est bousculée et les tensions internes fortes.

    Dans son courrier adressé à l’ensemble des personnels de la gendarmerie dimanche 19 janvier 2025, véritable feuille de route, le directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN), Hubert Bonneau, n’a pas choisi ses mots au hasard. (…)

    Dans ce document, le patron des gendarmes reprend le constat déjà effectué le 14 novembre 2024 à l’occasion de sa première réunion de commandement à l’Ecole militaire, devant les plus hauts gradés de la gendarmerie: celui d’un pays confronté à des dangers inédits et protéiformes, tant à l’intérieur de ses frontières qu’à l’extérieur, "où conflits et menaces se multiplient".

    Hubert Bonneau, estime que "depuis l’invasion russe en Ukraine, la possibilité d’un conflit armé et d’une agression du sanctuaire national doit être sérieusement envisagée".

    Le général Bonneau évoque "l’hypothèse d’un engagement majeur". Il ajoute que "les évolutions politiques aux Etats-Unis, avec leurs possibles conséquences sur l’Otan, vont sans doute pousser l’Europe à s’engager plus avant pour sa propre défense".

    Le patron de la Gendarmerie prévient ses troupes de l’émergence de “dangers inédits pour la France, tant à l’intérieur de ses frontières qu’à l’extérieur”; “mais dans le contexte budgétaire actuel, il nous faudra faire des choix”

    Alors que la France est sous le coup de tentatives récurrentes de déstabilisation de la part de l’Algérie, il aurait été mieux venu de la part du directeur général de la gendarmerie d’alerter sur les risques que fait peser sur le pays une immigration afro-arabo-musulmane massive.

    Sur les millions d’Algériens et de Franco-Algériens présents sur le sol national, combien forment des cellules dormantes prêtes à passer à l’action? Rappelons que les "influenceurs" du régime FLN récemment arrêtés – qui appelaient au djihad sur le territoire national – étaient suivis sur TikTok par plusieurs centaines de milliers de personnes.

    Le général poursuit lucidement: "En tout point du territoire national, notamment outre-mer [allusion à l’Azerbaïdjan], différents acteurs et compétiteurs cherchent à déstabiliser la nation. Face à cela, je veux insister sur notre lien avec les armées et sur l’enjeu structurant de la DOT [Défense opérationnelle du territoire]. En tant que force militaire, nous avons le devoir de nous y préparer pour tenir notre place".

    Le général insiste en outre sur la nécessité de "renforcer l’efficacité de l’action" de la gendarmerie dans le domaine du renseignement "en préservant absolument les équilibres institutionnels qui prévalent en matière de renseignement".

    Le général Bonneau évoque également dans sa missive la lutte contre la criminalité organisée et les narcotrafics avec la création de l’Unité nationale de police judiciaire de la gendarmerie et la nomination du général Sylvain Noyau en tant que préfigurateur de cette nouvelle entité. Le général se garde cependant – et c'est normal- d’évoquer le fait que ces trafics sont en quasi-totalité aux mains des mafias afro-arabo-musulmanes.

    Tant que le pouvoir et ses institutions n’auront pas le courage de nommer le véritable ennemi, on peut en effet craindre une fatale "agression du sanctuaire national".

    L’enjeu est de taille: éviter l’aggravation de ces crises, tout en rétablissant la confiance et la stabilité, avant que la situation ne devienne irréversible.

    Le défi n’est pas mince, en effet, car Cour des comptes soulignait en 2023 les difficultés de recrutement de la gendarmerie, qui doit renouveler 15%de ses effectifs chaque année et fait face, comme la police ou les armées, à de sérieux problèmes de fidélisation.

     

    Rédigé par la rédactrice avec différentes infos, d'autres articles

  • Attention zones inondées

    Imprimer

    Floride: nombre record d'infections à Vibrio vulnificus en 2024

    Aux Etats-Unis, les autorités sanitaires de l'État de Floride ont signalé un nombre record de cas et de décès dus à Vibrio vulnificus en 2024, en raison des ouragans qui se sont succédé pendant deux semaines sur la côte ouest de l'État à la fin du mois de septembre et au début du mois d'octobre.

    Selon les données officielles de l'État, la Floride a signalé 83 cas d'infection à Vibrio et 18 décès en 2024, dépassant le précédent record de l'année de l'ouragan Ian, en 2022, où 74 cas et 17 décès avaient été enregistrés.

    Le 26 septembre 2024, l'ouragan Hélène a touché terre sous la forme d'une puissante tempête de catégorie 4 et deux semaines plus tard, le 9 octobre 2024, l'ouragan Milton a touché terre en Floride sous la forme d'une dangereuse tempête de catégorie 3, ravageant les communautés côtières qui avaient déjà du mal à se remettre des tempêtes précédentes.

    En 2024, les comtés de Citrus, Hernando, Hillsborough, Lee, Pasco, Pinellas et Sarasota ont connu une augmentation inhabituelle due à l'impact de l'ouragan Helene.

    La bactérie Vibrio vulnificus se trouve dans les milieux estuariens et est associée à diverses espèces marines comme le plancton, les crustacés (huîtres, palourdes et crabes) et les poissons.

    La maladie résulte le plus souvent de l'infection des plaies, soit par contamination d'une plaie ouverte avec l'eau de mer hébergeant la bactérie, soit par lacération de la peau par le corail ou par un poisson. L'infection peut également survenir après ingestion d'eau ou de coquillages contaminée par la bactérie.

    Il s'agit d'une bactérie très virulente qui peut causer trois tableaux infectieux bien distincts :

     

        Une gastro-entérite aiguë, après ingestion de fruits de mer contaminés, associant vomissements, diarrhée et douleurs abdominales ;

     

        Une infection nécrosante des plaies survenant 24 heures après une baignade avec une peau lésée ou une blessure par des poissons à épines (tilapia) ;

     

        Le sepsis sévère à Vibrio. La porte d'entrée est digestive, lors d'un repas d'huîtres ou de crustacés consommés crus. L'incubation est courte (médiane 18 heures). Le développement du sepsis est rapide voire fulminant, avec fièvre, syndrome toxique, et cellulite ou fasciite nécrosantes par dissémination hématogène des extrémités des membres. La majorité des patients est porteuse d'une maladie hépatique chronique ou d'une surcharge en fer (alcoolique, cirrhose, hémochromatose). Les facteurs de risque de moindre importance incluent le diabète, l'insuffisance rénale, la thalassémie, une corticothérapie.

    Pour se protéger contre Vibrio vulnificus, il est donc recommandé :

        d'éviter d'exposer les plaies ouvertes, les coupures ou les éraflures à l'eau de mer ou à l'eau des estuaires.

        d'éviter de consommer des crustacés non cuits.

        de nettoyer et surveiller immédiatement les plaies reçues dans le milieu marin ou provenant de coquillages non cuits; consultez immédiatement un médecin en cas de signes d'infection.

    Source : Outbreak News Today

  • Trump annonce le retrait des USA des accords de Paris sur le climat

    Imprimer

    Les ours du Grand Nord se sont métissés avec leurs cousins basanés du Sud. Les petits s’appellent des grolars. Ce n’est pas une insulte mais un mot valise associant GRizzli + pOLAR. Dès lors, ces plantigrades apprécient moins le froid. Ça tombe bien puisque les cocotiers vont bientôt pousser en Alaska si l’on en croit la future Nobel de pataphysique Sainte Greta des Enfumages.

    Des rumeurs courent selon lesquelles les Trump envisagent d’adopter un bébé grolar. Mélania les trouve adorables. On leur en a porté un qui a tout de suite trouvé son chemin dans les jardins de la Maison Blanche. Sans se paumer comme Robinette. Comme ça, les USA et la Russie seront à égalité. Un ours de compagnie pour chaque président.

    En attendant, Trump claque la porte au nez des diktats de Paris sur le climat, qu’il qualifie d’escroqueries. Et il n’est plus le seul dirigeant à le penser.

    Tout juste investi, Donald a annoncé, comme prévu, le retrait des États-Unis des accords de Paris sur le climat. Comme il l’avait déjà fait en 2017 quand il avait été un des premiers chefs d’État à comprendre que des démagogues véreux ne pouvaient pas changer l’irradiance du soleil, ni modifier l’ellipse, l’axe de rotation ou l’inclinaison de la terre. Prétendre le contraire pour terroriser, asservir et racketter les peuples est une arnaque planétaire.

    Avec ça, une bonne nouvelle pour les futurs "Martiens". Le nouveau patron de la NASA a décidé d’affecter au voyage interplanétaire, en association avec Space X, les budgets dilapidés dans la traque obsessionnelle du CO2. Les Français râlent. Elon n’en a rien à cirer.

    Sale temps pour les réchauffards! La COP16 sur la biodiversité à Cali (Colombie) a été suspendue avant terme pour éviter d’afficher d’énormes désaccords. Quant à la COP sur la désertification tenue à Riyad (Arabie Saoudite) elle n’a pas convaincu les chameliers et les pétroliers de rendre leurs déserts moins désertiques. Sauf là où on crée des gueltas artificielles et des séguias après avoir désalinisé l’eau de mer. De toute façon, le débat est clos avec un "mektoub inch’allah".

    La COP29 sur le climat à Bakou (Azerbaïdjan) a fini en impasse. Aucun accord même symbolique n’a été trouvé. Sauf sur le retour des talibans dans le concert des Nations. Tandis que le procureur-justicier-prédateur sexuel Karim Ahmed Khan ne trouvait rien à redire des massacres et spoliations des Arméniens par ses coreligionnaires Azéris.

    Les verdâtres sont furibards car, par un effet domino, plusieurs pays de désengagent des politiques dites climatiques

    Après le premier retrait des USA en 2017, on n’avait pas vu une " contagion " de démissions. La propagande lancinante et un lavage de cerveaux permanent avaient imprimé leurs divagations. Et puis la peur de déplaire aux merdias paralysait les politiciens professionnels.

    Aujourd’hui, la situation est différente. Quelques dirigeants ont réalisé que les vaticinations des réchauffards étaient du flan. Le léger réchauffement est fini, sans avoir amené les catastrophes annoncées: Écroulement des glaciers, submersion des deltas des fleuves et des îles basses, disparition de la neige l’hiver dans les zones tempérées.

    Le président argentin anarcho-capitaliste Javier Milei qui a déjà retiré ses délégués de la COP 29, a multiplié les déclarations climato réalistes, prenant ses distances avec les diktats réchauffards. Logiquement, il devrait cesser de raquer. Puisque sa politique est de supprimer toutes les dépenses inutiles.

    La décroissance au programme de la COP30 de Belem au Brésil en novembre, ne peut réussir qu’avec la faillite des États ruinés par le sabordage de leur économie dans la traque du CO2. Mais plusieurs pays renâclent. Enclins à gérer uniquement la pollution industrielle chez eux, en fonction de leurs intérêts. Les USA et la Chine montrent la voie.

    Déjà, les Américains ont réduit leur participation au GIEC jusqu’à la supprimer. Tout en encourageant la prospection de pétrole et de gaz de schiste, afin de renforcer leur indépendance énergétique. Tandis que la Chine développait, autrement mais pour les mêmes raisons, ses capacités de production d’énergies renouvelables parvenant à produire en 2024 27 gigawatts en solaire et 80 GW en éolien. Pas pour faire plaisir aux écolos. Mais pour améliorer sa balance des paiements.

    L’ingérence des escrolos donneurs de leçons, avides du pognon des autres, commence à fatiguer.

    Agir contre la pollution, qui n’a rien à voir avec le prétendu réchauffement, revient moins cher à condition de le faire chez soi en fonction de son économie, de ses priorités et de ses ressources.

    La Chine, ex-pays le plus pollué du monde, perd sa mauvaise réputation. La politique centralisée de Xi Jinping nuit aux libertés individuelles, mais elle permet de mener des actions collectives cohérentes avec des investissements massifs dans des " villes intelligentes " ( smart cities en chinois) s’appuyant sur un écosystème interactif utilisant des transports propres et de la technologie verte.

    Pour Xi: " Le but est de devenir la référence mondiale et le modèle de dépollution à suivre". La Chine ne copie plus, elle innove. En parallèle, elle a entrepris un grand nettoyage en délocalisant chez plus pauvre qu’elle, les activités polluantes et salissantes qui ne rapportaient pas grand chose. Avec un temps de retard, l’Inde suit le même chemin. Mais alors où iront les poubelles du monde? Réponse: chez ceux pour qui ce sera une aubaine, comme en Afrique.

    L’INGERENCE CLIMATIQUE EST UN NOUVEAU COLONIALISME

    Et si c’était ça, le but ultime de l’alarmisme climatique? Forcer les gouvernements à s’adapter à la globalisation. Intimider les chefs d’États et se donner le droit d’aller chez ceux qui n’obéissent pas assez vite aux injonctions de la mondocrature pour les contraindre à faire ce qu’on exige d’eux. Dans leur intérêt. Bien évidemment.

    Le club Bilderberg, la commission Trilatérale, l’open society de Soros, les forums de Davos et la fondation des Young Leaders sont prêts à faire profiter de leurs lumières tous les égarés.

    Pour "sauver la planète".

    La prétendue urgence climatique impose des déplacements de populations. Quand les Maîtres de la Finance ont besoin de renouveler leur cheptel d’esclaves, on a recours aux bonne vieilles méthodes des communistes et des nazis: Déplacer des populations entières, sans leur demander leur avis, là où on pourrait avoir besoin d’elles.

    Dans les démocratures, où tout le monde ne peut pas se prétendre persécuté politique, les faiseurs d’opinion consolident un nouveau concept: celui de réfugié climatique. Qu’on ne peut pas refuser d’accueillir. À moins d’être des monstres conspués par la vertueuse communauté internationale. Et d’en subir les représailles diplomatiques et économiques.

    On est en train de nous faire le coup avec le Sahel et le Proche Orient. Comme on a réussi à déporter en Nouvelle Zélande des habitants des Kiribati qui n’avaient rien demandé à personne, en prévision de l’engloutissement de leurs îles avant 2020. Parole de GIEC.

    Vivant heureux chez eux dans une société océanienne traditionnelle, ces gens sont aujourd’hui parqués dans des suburbs où règnent la violence, la drogue, le suicide et le racisme. Pas vraiment ce qu’on leur avait promis en les faisant déménager pour échapper à la fin du monde!

    La menace d’ingérence climatique est un argument de choc dans les négociations internationales pour faire basculer les rapports de force par le chantage, l’intimidation ou la corruption. Et obtenir des avantages substantiels par le biais d’un discours moralisateur sur le climat, élevé au rang de justification ultime, comme l’était le "devoir moral de civiliser les sauvages" il y a 200 et quelques années.

    Il est intéressant de noter que des juristes gauchistes préconisent d’appliquer aux diktats de Paris les mêmes règles que pour l’adhésion à l’Eurocrature ou la conversion à l’islam. Une fois que tu es dedans, on ne te laisse pas partir comme ça!

    Je voudrais voir comment ils comptent s’y prendre pour tordre le bras de Donald, ou de Vlad qui est lui aussi en train de prendre ses distances avec les crapules verdâtres.

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com