Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Actualité - Page 31

  • Les vrais racistes..

    Imprimer

    … ce sont les gauchistes et les Insoumis soumis à l’islam

    La France Insoumise-soumise appelle à une manifestation le samedi 22 mars contre le racisme et l’extrême droite, dans toutes les grandes villes de France.

    " Stoppons l’extrême droite et ses idées. Partout dans le monde, l’extrême droite défend un projet raciste et violent. Dans les sommets internationaux auxquels participe le Rassemblement National, comme dans les discours d’Elon Musk, les saluts nazis sont de retour alors qu’on les croyait disparus à jamais. En France, Le Pen et Bardella surfent sur le racisme pour fracturer l’unité du peuple et assurer la domination des puissants. La violence de l’extrême droite est impunie.

    Avec 220 associations et syndicats, manifestons partout en France le samedi 22 mars. Pour l’unité du peuple contre le racisme. Pour stopper l’extrême droite et ses idées ".

    Les rassemblements sont autorisés par la Marche des solidarités et par le collectif " Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme!". Ce collectif est notamment constitué par la Ligue des droits de l’homme, Attac France, La Cimade, la CGT, la FSU, Femmes égalité, le groupe d’information et de soutien des immigrés, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, Oxfam France, SOS Racisme, le Syndicat des avocat-es de France…

    Que du beau monde. Plus de 180 rassemblements prévus en France.

    La date du 22 mars a-t-elle été choisie en souvenir du Mouvement du 22 mars 1968? Le Mouvement du 22 mars, naît sur le campus de Nanterre, animé par Daniel Cohn Bendit, un étudiant en sociologie de 23 ans. Le 22 mars, Cohn Bendit et 142 de ses camarades occupent la salle du conseil de la faculté des lettres, à la suite de l’arrestation de militants du comité Vietnam national. Ainsi débute véritablement Mai 68. Les manifestants de France Insoumise-soumise sont les héritiers de ce mouvement.

    Tous dénoncent l’extrême droite, le fascisme, le racisme, avec des arrière-pensées de diabolisation. Le terrorisme intellectuel s’apparente à la fabrication de mythes incapacitants. Il y a des gaz incapacitants: soumis à l’effet de ces armes chimiques, je ne suis plus bon à rien, je ne peux plus réagir, je n’ai plus rien dans la tête. De la même manière, il y a des mythes incapacitants: le mythe de l’antiracisme, le mythe de l’antifascisme: soumis à l’effet de ces mythes, je suis dénigré, calomnié, rabaissé de telle sorte que je ne peux réagir.

    Lire la suite

  • Vous avez dit déficit?

    Imprimer

    La France, ce pays magnifique, ce joyau de l’Histoire, traîne un fardeau d’une pesanteur inouïe, un poids qui l’empêche de se dresser fièrement sur la scène du monde: son déficit abyssal. Ce n’est plus une dette, c’est un gouffre, un abîme où s’engouffrent les rêves d’un peuple, où disparaissent les vestiges de sa grandeur passée. Chaque jour, ce boulet s’alourdit, chaque année, il enchaîne un peu plus la nation, la forçant à courber l’échine sous la férule de ceux qui, au nom d’une modernité sans âme, la réduisent à un conglomérat de dettes et de sacrifices.

    Mais le plus grotesque, le plus accablant, c’est que cette dette colossale, ce monstre que l’on nous présente comme une fatalité, n’est en réalité qu’une immense farce comptable. Qu’on cesse un instant d’alimenter le Moloch bruxellois, qu’on arrête cette saignée insensée vers l’Union Européenne qui n’a fait que dévorer notre souveraineté et siphonner nos ressources, et voilà des milliards libérés!

    Qu’on ose toucher au tabou des subventions, cet opium des clientèles associatives qui vivent aux crochets de la nation, sans compter encore que souvent elles agissent contre la volonté du peuple Français, ici encore des montagnes d’or rendues au bien commun!

    Que dire des commissions Théodule, ces engeances bureaucratiques proliférant à la manière d’une moisissure sur un vieux fromage? Qu’on tranche dans leurs budgets pharaoniques, qu’on arrête de les gaver comme des oies promises à l’abattoir, et c’est tout un pan du gaspillage d’État qui s’effondre.

    Et l’Aide au Développement, ce gouffre insondable, cette générosité pavlovienne qui nourrit les intérêts des autres pendant que nos propres citoyens peinent à boucler leurs fins de mois? Qu’on la réduise à l’essentiel, à l’utile, au strict nécessaire, et déjà l’oxygène financier reviendra.

    Enfin, que l’on ose s’attaquer aux sanctuaires des Autorités Administratives Indépendantes et des Autorités Publiques Indépendantes, ces bastions technocratiques où le pouvoir se disperse, se dilue, se complaît dans une déresponsabilisation générale, et nous verrons renaître une France qui ne mendie plus son avenir, mais le forge à nouveau de ses propres mains.

    Le déficit, nous dit-on, est insurmontable? Quelle farce! Quelle duperie! Il ne tient qu’à nous de nous libérer des chaînes que nous nous sommes imposées. Il ne tient qu’à un sursaut, un acte de volonté, un retour au bon sens, pour que la France redevienne la nation qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être: fière, souveraine, maîtresse de son destin.

    Mais il ne suffit pas de couper dans les dépenses inutiles. Il faut aussi redonner à l’économie les moyens de produire en France. La relocalisation industrielle, le soutien à l’innovation et à l’entrepreneuriat national, la mise en valeur de nos savoir-faire doivent être les piliers d’une nouvelle prospérité. En favorisant la production locale, en encourageant les entreprises à investir sur notre sol plutôt qu’ailleurs, nous renforcerons notre autonomie économique et garantirons des emplois durables.

    Il faut redonner un élan sérieux à la natalité Française et pour cela il faudra inciter, motiver les jeunes couples Français à donner vie à nos chères têtes blondes en plus grand nombre.

    Le déficit, nous dit-on, est insurmontable? Quelle farce! Quelle duperie! Il ne tient qu’à nous de nous libérer des chaînes que nous nous sommes imposées. Il ne tient qu’à un sursaut, un acte de volonté, un retour au bon sens, pour que la France redevienne la nation qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être: fière, souveraine, maîtresse de son destin.

     Jean-Jacques FIFRE

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • Pour réaliser le plan maçonnique, il faut former les esprits et agir sur les mentalités

    Imprimer

    L’Encyclopédie, entreprise maçonnique prépare les esprits à la Révolution. Les loges de l’époque forment l’opinion. Car les philosophes du XVIIIe siècle sont violemment hostiles à l’instruction populaire dont l’idée même leur fait horreur. Voltaire l’avoue crument:

    "Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants … La raison triomphera chez les honnêtes gens, mais la canaille n’est pas faite pour elle. A l’égard de la canaille, je ne m’en mêle pas, elle restera toujours canaille. Je cultive mon jardin, mais il faut bien qu’il y ait des crapauds. Le peuple sera toujours sot et barbare. Ce sont des bœufs auxquels il faut un aiguillon, un joug et du foin".

    Dans son Essai d’éducation nationale, La Chalotais, procureur général, fait grief aux religieux de leur zèle à répandre le Savoir: "Les Frères de la Doctrine chrétienne apprennent à lire et à écrire à des gens qui n’eussent dû apprendre qu’à dessiner et à manier le rabot. Le bien de la société demande que les connaissances du peuple ne s’étendent pas plus loin que ses occupations".

    Voltaire lui écrit en 1763 pour le féliciter chaleureusement: "Je vous remercie de proscrire l’étude chez les laboureurs".

    Trois ans plus tard, en 1766, Voltaire écrit: "J’entends par peuple la populace qui n’a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyen n’ait jamais eu le temps ni la capacité de s’instruire et il mourrait de faim avant de devenir philosophe".

    "Si vous aviez comme moi une terre et si vous aviez des charrues, vous seriez de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois et l’habitant des villes. On doit prêcher la vertu au plus bas peuple. Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu".

    En clair, le monde se divise en deux, le peuple et les philosophes. Le peuple n’a pas besoin de s’instruire. Mais la gauche continue à encenser Voltaire et les philosophes des Lumières.

    L’hostilité des Lumières à l’instruction de la "canaille" est fondée sur leur hostilité à l’Église. Ils veulent la suppression de l’Église, ou à défaut la suppression de l’enseignement qu’elle dispense.

    Il faudra attendre la fin du Second Empire pour que les "fils des Lumières" commencent à entrevoir l’utilité de tenir l’école. Dans un discours prononcé en loge le 11 mai 1869, Jules Simon déclarait:

    "On répète avec raison que la révolution n’est pas finie. Nous voulons qu’elle le soit. Quel est le moyen? Fonder partout des écoles".

    Lire la suite