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Actualité - Page 27

  • L’université: un nid du mondialisme, du lobby LGBTIQA+ et du transgenrisme

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    Pour lutter contre les discriminations, l’administration de l’université d’Orléans propose aux étudiants transgenres de changer de prénom en 48 heures.

    L’université d’Orléans et l’association Gay et Lesbienne du Loiret (GAGL45) travaillent main dans la main contre les discriminations à l’identité de genre et à l’orientation sexuelle et signent une convention. Ce partenariat vise à consolider des actions existantes et à pérenniser des mesures inclusives au sein de l’établissement.

    Didier Chevrier, vice-président de l’université, se félicite: "Cette convention formalise des actions déjà existantes tout en renforçant nos engagements".

    Pour Mélanie Rocher, présidente du GAGL45, l’université d’Orléans est un exemple à suivre: " C’est l’un des rares établissements où les changements de prénom d’usage sont aussi rapides. Cela témoigne d’une réelle volonté de soutenir les étudiants concernés".

    Cependant, elle rappelle que ces démarches ne remplacent pas la modification légale de l’état civil, qui peut prendre jusqu’à huit mois dans le Loiret.

    L’université a déjà pris plusieurs initiatives concrètes, comme l’organisation de stands d’information et de sensibilisation. D’autres restent en réflexion. Par exemple, l’installation de toilettes non genrées est à l’étude. Didier Chavrier souligne: "Nous avançons prudemment sur ces sujets sensibles afin de garantir une acceptation collective".

    Mélanie Rocher conclut: "Ces actions montrent que l’université ne se contente pas de se conformer à la loi, mais qu’elle s’investit activement pour créer un environnement inclusif".

    À en croire ces déclarations et les moyens mis en œuvre à l’université d’Orléans, les Français passeraient une bonne partie de leur temps à discriminer, à différencier les personnes, en fonction de la race, de la religion, du sexe, et ici particulièrement de l’identité de genre et de l’identité sexuelle. D’où la nécessité de légiférer au niveau national, et de prendre des mesures au niveau des établissements scolaires et de l’université.

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  • Quand une population ne fait plus d’enfants, elle ne peut que disparaître

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    "Quand une population ne fait plus d’enfants, elle ne peut que disparaître". Et la solution, bien entendu, n’est pas que les femmes de cette population se fassent engrosser par des hommes venus d’autres civilisations.

    Cela d’ailleurs devrait être considéré comme une menace pour cette population et pour sa civilisation. C’est d’ailleurs une menace. Souvenez-vous de cet avertissement: en avril 1974, le président de la république algérienne, Houari Boumediene, prévenait l’Europe du projet de transplantation de peuple qui se préparait: "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront là-bas pour le conquérir, et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire".

    Depuis quelques années, nous assistons à la revanche de ces peuples que nous avons colonisés, de la guerre d’Algérie.

    Nous devenons la colonie de nos anciennes colonies!

    La colonisation a changé de sens, l’expression coloniale: aller du Nord au Sud, s’est retournée. Elle est devenue du Sud au Nord.

    Et comme si ce n’était pas suffisant, nous subissons également l’envahissement d’une jeune migration venue de l’Est: Afghanistan, Turquie, Syrie, Tchétchénie, et j’en passe.

    Nous sommes les témoins impuissants de cette invasion lente, qui se veut pacifique, qui ne rencontre aucune résistance et qui quelquefois nous agresse physiquement.

    Je dirai même que les attentats terroristes, les agressions sexuelles, viols, crimes, etc. qui se produisent contrecarrent momentanément cet objectif élaboré de longue date!

    Dans la vision progressiste voulue par l’Union européenne, l’immigration n’est pas seulement tolérée et acceptée, elle est voulue et programmée: l’ONU a donné instruction à l’UE d’appliquer le principe de la Replacement migration (La migration de remplacement).

    L‘Europe, selon l’ONU, a besoin de cette migration pour éviter le vieillissement inévitable de sa population, qui résulte des taux bas de fécondité et de mortalité. Pour cette organisation mondialiste, le déclin est inévitable en l’absence d’une migration de remplacement.

    Ce scénario migratoire vise au maintien du ratio: "3 actifs pour 1 retraité" et cela commande de faire rentrer au sein de l’Union européenne 153,6 millions d’immigrants entre 2015 et 2040, au rythme d’une moyenne de 6,1 millions par année.

    Pour la France, ce scénario de l’ONU préconise une rentrée d’environ 16 millions de migrants jusqu’en 2040.

    Cette directive de l’ONU est reprise en France par une note officielle de l’INED (Institut National des Etudes démographiques), en date du 6 avril 2016. Elle préconisait le recours à une immigration massive et indiquait: " La crise démographique va prendre de l’ampleur et les migrations de remplacement feront partie des réponses de l’Europe à sa situation démographique".

    Cette importation massive de population équivaut à un véritable remplacement du Continent. C’est devenu une priorité des dirigeants de l’Union européenne pour éviter un déclin démographique et limiter la régression économique et sociale, en l’absence de toute politique familiale.

    Il n’y a donc plus de secret: l’ambition reconnue est de changer progressivement le peuplement de l’Europe!

    Mais qu’il me soit permis de me poser cette question qui, j’en suis parfaitement conscient, va faire bondir nos féministes: pourquoi ne s’organisent-ils pas des filières de passeurs avec pour principal objectif de fournir à l’Europe et, en ce qui nous concerne, à la France uniquement des jeunes femmes de ces pays cités plus haut? Jeunes femmes qui n’estimeraient pas que la fécondité serait un obstacle à l’épanouissement de leur égalité avec les hommes?

    Sans doute que la démographie de nos pays occidentaux retrouverait sa progression. Qu’en pensez-vous?

    Manuel Gomez

  • La transition de genre officialisée, prise en charge et gratuite

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    La Haute Autorité de Santé fut missionnée en 2021 par le ministère des Solidarités et de la Santé pour se prononcer sur les bonnes pratiques que doivent adopter les professionnels de santé face à une personne souhaitant effectuer une transition de genre, et ce dès l’âge de 16 ans. Les conclusions ont été rédigées par un panel "d’experts", dont certains sont perçus comme des "militants transactivistes".

    Parmi eux, Clément Moreau, psychologue transgenre, Nicolas Morel-Journel, chirurgien spécialisé dans les opérations de changement de sexe. La Haute Autorité de Santé rappelle que "la transidentité n’est plus considérée comme une pathologie".

    L’institution recommande de bonnes pratiques pour les médecins et les soignants. Mettre en place un service public de la transition de genre avec l’appui du système de santé comme la médecine de ville, les médecins spécialisés, les centres hospitaliers et les psychologues. Ces recommandations portent sur la conduite à tenir devant une demande de transition, la prescription d’hormones dites "d’affirmation de genre, la chirurgie de réassignation de genre et l’accompagnement à proposer aux personnes trans.

    Parmi les chirurgies envisagées, on retrouve la rhinoplastie, le contouring du visage, la greffe de cheveux, qui visent à réaliser une " féminisation ou masculinisation faciale". Les chirurgies thoraciques, telles que la mammectomie et la pose de prothèses mammaires. Les interventions génitales. La chirurgie de la voix. La "dépilation".

    La HAS souhaite que soit mis en place le parcours de transition de genre, avec une gamme très sophistiquée de "soins" et d’accompagnements, le tout remboursé intégralement. Ce parcours commence dès la "demande de transition". Toute la prise en charge, du premier rendez-vous à l’opération, doit être accessible et gratuite.

    Le demandeur doit être reçu dans un "environnement d’accueil bienveillant et adapté aux personnes trans " et par un professionnel de santé formé et sensibilisé.

    L’objectif de cette demande est de "prendre en compte ses différents objectifs et attentes " afin "d’élaborer un parcours de transition personnalisé".

    Pour éviter que les délais ne soient trop longs, la HAS recommande en premier lieu " la mise sous hormones des personnes trans qui le demandent après une information éclairée". Des hormones qui seront remboursées. Les personnes trans qui le demandent doivent pouvoir " accéder aux chirurgies d’affirmation de genre sans délai supplémentaire".

    La HAS souhaite que les jeunes ayant achevé leur puberté soient traités au même titre que les adultes, y compris pour les interventions chirurgicales. Cela inclut les mineurs de 16 à 18 ans. Seule la chirurgie génitale est soumise à une légère réserve. Les interventions visant à modifier les parties génitales sont soumises à une concertation pluridisciplinaire, avec la présence de représentants d’associations lors de ces réunions.

    Les organes génitaux déterminent le genre "féminin" ou "masculin".

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