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  • De l’État de droit à l’État captif: la subversion d’une nation

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    Il fut un temps où la France tremblait devant le crime et le châtiait sans faiblesse. En 1972, le meurtre du jeune Philippe Bertrand par Patrick Henry soulevait une indignation unanime. Aujourd’hui, bien pire se produit sans que l’État ne s’émeuve, sinon pour sermonner ceux qui voudraient encore défendre l’ordre. C’est que, depuis des décennies, les institutions, passées sous l’emprise d’une idéologie délétère, ont renversé la hiérarchie naturelle du droit, substituant la mansuétude pour les criminels à la répression des honnêtes gens.

    https://www.youtube.com/watch?v=9_Nfpayw3vk

    L’OCCUPATION DES INSTITUTIONS PAR LA GAUCHE

    Depuis Mitterrand, la gauche a tissé sa toile sur les grands organes de la République: Conseil d’État, Conseil constitutionnel, magistrature, administration, tous soumis à un même esprit, celui du relativisme juridique et de la faveur systématique accordée aux " minorités". Par le biais du Syndicat de la Magistrature et de l’École Nationale de la Magistrature, on a formé des générations de juges imbus de dogmes égalitaristes, méprisant les principes fondamentaux de la justice et préférant au droit romain les caprices de l’idéologie. Ainsi se justifie une répression implacable des personnalités de droite, tandis que les figures de gauche, prises dans des scandales patents, échappent à toute condamnation.

    UN DROIT ASYMETRIQUE ET UN ÉTAT PARTIAL

    Les exemples abondent. Richard Ferrand voit son dossier effacé par la prescription; Fabius et Dufoix, impliqués dans l’affaire du sang contaminé, ne sont pas inquiétés; en revanche, Nicolas Sarkozy et François Balkany subissent l’implacable rigueur de juges qui prétendent servir la justice mais ne font qu’exécuter une sentence politique. Ne parlons même pas du cas de Marine Le Pen qui risque les pires avanies là où d’autres ont connu la relaxe pure et simple. Ce " deux poids, deux mesures " s’étend aux rues: aux racailles, l’indulgence et les excuses; aux Français ordinaires, la culpabilité et l’opprobre.

    https://www.youtube.com/watch?v=MmlO_MA9I4Y

    DE L’IMPUNITÉ ORGANISÉE A LA RÉVOLTE QUI VIENT

    Deux affaires récentes achèvent de démontrer cette iniquité. Nahel, adolescent multirécidiviste, meurt après un refus d’obtempérer: aussitôt, l’État s’agenouille, les ministres se précipitent, le policier est jeté en prison et les émeutes sont excusées par la classe dirigeante. À Crépol, Thomas, un jeune Français, est massacré par une bande de criminels: silence officiel, affaires classées, manifestations patriotes dénoncées comme " extrémistes". Le pouvoir préfère protéger ceux qui détruisent la France plutôt que ceux qui l’aiment.

    VERS L’EFFONDREMENT OU LA RESTAURATION

    Cette subversion du droit, organisée et orchestrée depuis des décennies, ne peut qu’aboutir à la dissolution de la nation si elle n’est pas combattue. Une caste médiatique et judiciaire impose son idéologie, traque ses adversaires, et refuse tout débat. La rupture devient inévitable. La France, mutilée dans ses fondements, doit retrouver son ordre et sa hiérarchie naturelle. Il ne s’agit plus de réformer, mais de restaurer.

    Sinon, ce n’est plus seulement la justice qui s’effondrera, mais la civilisation elle-même car l’adversité ne vient plus seulement de l’étranger mais du sein même de la Nation, conduisant à la tombe.

    Jean-Jacques Fifre

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • La pensée critique et la désobéissance, clés de notre émancipation et de notre liberté

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    Avez-vous déjà rencontré des personnes qui suivent aveuglément une idéologie, qui accordent une confiance inébranlable à un leader et qui refusent toute opinion critique ou tout point de vue différent? Ce phénomène est omniprésent aujourd’hui dans les mouvements politiques, les groupes religieux, les médias sociaux et même dans les débats scientifiques. Mais qu’est-ce qui se cache réellement derrière cela? Pour mieux comprendre ce phénomène, il est essentiel d’examiner la théorie de la stupidité développée par le théologien allemand Dietrich Bonhoeffer.

    Dans un monde où le mal est souvent mis en avant comme la plus grande menace, Bonhoeffer a affirmé qu’il existait un danger encore plus grand pour le bien: la stupidité. Selon lui, la stupidité est plus dangereuse que la méchanceté. Pourquoi? Parce qu’elle n’est pas seulement destructrice, mais aussi difficile à reconnaître comme une menace.

    Dietrich Bonhoeffer était un théologien et résistant allemand, arrêté par les nazis en 1943 en raison de son implication présumée dans un complot contre Hitler. Pendant son emprisonnement, il eut le temps de réfléchir à la décadence morale et sociale de son pays. Il se demandait comment tant de gens avaient pu tolérer ou même participer activement aux crimes et injustices du régime. Il en est arrivé à une conclusion troublante: ce n’était pas seulement la méchanceté qui avait conduit à ces atrocités. C’était une forme d’ignorance bien plus insidieuse, une paresse intellectuelle et morale qu’il appelait la stupidité. Une stupidité qui dépasse l’intelligence.

    Bonhoeffer a rapidement compris que la stupidité ne pouvait pas être simplement assimilée à un manque d’intelligence. Ce n’était pas un simple problème intellectuel, mais un phénomène profondément enraciné dans la société et la morale. Ce n’était pas seulement un manque de connaissances, mais un refus délibéré de la pensée critique. Et c’est précisément cela qui rendait la stupidité si dangereuse.

    Bonhoeffer a observé que la stupidité se propageait comme une épidémie dans certaines circonstances et pouvait infecter une grande partie de la société. Mais que signifiait-il exactement par là? Il a découvert que la stupidité n’était pas simplement un manque d’intelligence, mais une absence de réflexion critique, de responsabilité individuelle et de discernement. Les individus qui pensent et agissent de manière indépendante font souvent preuve de plus de clarté et de rationalité. Mais lorsqu’ils sont intégrés à des groupes, en particulier à des mouvements de masse, beaucoup abandonnent leur capacité de jugement personnel et suivent aveuglément la majorité. Cette forme d’inertie intellectuelle est particulièrement courante dans les régimes autoritaires, où la pensée indépendante est réprimée et où le conformisme est récompensé. Bonhoeffer a compris que le pouvoir, qu’il soit politique, religieux ou idéologique, a la capacité d’ancrer la stupidité dans l’esprit des gens.

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  • Le discours de Vance, qui a humilié les dictateurs à migrants de l’UE

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    L’une des choses dont je voulais parler aujourd’hui, c’est bien sûr nos valeurs communes. Et, vous savez, c’est formidable d’être de retour en Allemagne. Comme vous l’avez entendu tout à l’heure, j’étais ici l’année dernière en tant que sénateur des États-Unis. J’ai vu le ministre des Affaires étrangères David Lammy, et j’ai plaisanté en disant que nous avions tous les deux des emplois différents l’année dernière de ceux que nous avons maintenant. Mais il est maintenant temps pour tous nos pays, pour nous tous qui avons eu la chance de se voir confier un pouvoir politique par nos peuples respectifs, de l’utiliser à bon escient pour améliorer leur vie.

    Et je tiens à dire que j’ai eu la chance, au cours de mon séjour ici, de passer un peu de temps en dehors des murs de cette conférence au cours des dernières 24 heures, et j’ai été très impressionné par l’hospitalité des gens, même, bien sûr, alors qu’ils sont encore sous le choc de l’horrible attentat d’hier. Et la première fois que je suis venu à Munich, c’était avec ma femme, en fait, qui est ici avec moi aujourd’hui, pour un voyage personnel. J’ai toujours aimé la ville de Munich et j’ai toujours aimé ses habitants.

    Je tiens simplement à dire que nous sommes très émus et que nos pensées et nos prières vont à Munich et à toutes les personnes touchées par le mal infligé à cette belle communauté. Nous pensons à vous, nous prions pour vous et nous vous soutiendrons certainement dans les jours et les semaines à venir.

    Nous sommes réunis ici, bien sûr, pour discuter de sécurité. Et nous entendons généralement par là les menaces qui pèsent sur notre sécurité extérieure. Je vois de nombreux grands chefs militaires rassemblés ici aujourd’hui. Mais si l’administration Trump est très préoccupée par la sécurité européenne et croit que nous pouvons parvenir à un règlement raisonnable entre la Russie et l’Ukraine, et si nous pensons également qu’il est important que l’Europe prenne des mesures importantes dans les années à venir pour assurer sa propre défense, la menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre acteur extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales: des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique.

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