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MANDARINE

  • Avec nos sous

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    Image générée par I.A.

    L'État aide la presse, mais pas Valeurs Actuelles.

    L'an dernier, le ministère de la Culture a attribué 175,2 millions d'euros à près de 400 titres.

    En plus des tarifs postaux préférentiels accordés depuis 1796 s'ajoutent des aides directes créées dans les années 1970 pour les publications "concourant au pluralisme des idées", qualifiées d'" information politique et générale".

    Récemment, les titres outre-mer et la presse en ligne ont été ajoutés à la liste des publications aidées.

    Parmi les heureux bénéficiaires, d’Africa intelligence à Télérama, le journal Le Monde a reçu l’an dernier un peu moins de 8 millions d’euros, Libération, 7 millions dont près de 3 millions pour son " pluralisme ", et Le Nouvel Obs 1,6 millions.

    Rapporté au nombre d’exemplaires vendus, L’Humanité sort grand gagnant avec 5,6 millions au total, soit 60 centimes par numéro vendu subventionnés par l’État.

    Dans sa grande déférence, le gouvernement rappelle que si l'État s'attache, de longue date, à soutenir le secteur, c'est parce que " la presse permet une confrontation des analyses (...) et aboutit à la construction d'une véritable conscience culturelle et politique ".

    Une conscience décidément éloignée de nos valeurs actuelles.

  • Les crèches de Noël toujours la cible des gauchistes

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    En décembre 2023, Manuel Aeschlimann, maire d’Asnières, décidait d’installer une crèche dans le hall des pas perdus de l’Hôtel de Ville. La fédération des Hauts-de-Seine de l’association Libre pensée lança une action en justice, estimant que cette action était contraire à la loi de 1905, contraire à la laïcité. Le 4 novembre 2025, le tribunal administratif de Cergy ordonnait l’annulation de la décision du maire.

    Pour Manuel Aeschlimann, aucun culte n’est privilégié dans l’exercice du service public."Au fond, le principe de laïcité n’interdit pas un maire de rappeler l’origine religieuse d’une fête ou d’une cérémonie…

    Ce n’est pas prosélyte de rappeler une vérité historique vieille de 2000 ans. Rappeler l’origine chrétienne de Noël ne viole en rien le principe de laïcité… N’oublions jamais qu’avant tout, Noël est une fête qui vient célébrer la naissance de Jésus-Christ ".

    En décembre 2023, dans l’édito du journal municipal, Manuel Aeschlimann rappelait "les origines chrétiennes" de la fête de Noël. Une image de la Nativité montrait Marie, Joseph et les rois mages. Nino Schillaci, LFI, et Pierre Ouzoulias, PCF, déposèrent une requête devant le tribunal administratif de Cergy, estimant que ce visuel contrevenait au principe de laïcité.

    Le 5 novembre 2024, le tribunal rejetait cette requête. Le 20 novembre 2025, la cour d’appel de Versailles confirmait ce jugement. Explication: les deux hommes n’avaient pas "intérêt à agir" sur la question. Le fond de l’affaire n’a donc pas été traité.

    Les deux décisions de justice concernant le même problème vont dans deux sens différents et se contredisent.

    À Béziers, comme tous les ans, plusieurs syndicats et associations, dont la Ligue des Droits de l’Homme, se mobilisent contre la crèche, déclarée illégale par une décision de justice, que le maire Robert Ménard a décidé d’ignorer.

    La polémique autour des crèches de Noël revient chaque année. Les gauchistes anticléricaux s’attaquent à la fête de Noël, et interdisent toute représentation religieuse du christianisme, et seulement du christianisme.

    Noël vient de natalis dies, "jour de naissance". Selon l’Évangile de Matthieu, 2-1: "Jésus étant né à Bethléem de Judée au temps du roi Hérode".

    Selon l’Évangile de Luc 2, 1-7: "Or, en ce temps-là, parut un décret de César Auguste pour faire recenser le monde entier, ce premier recensement eut lieu à l’époque où Quirinius était gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire recenser, chacun dans sa propre ville… Joseph aussi monta de la ville de Nazareth en Galilée à la ville de David qui s’appelle Bethléem… pour se faire recenser avec Marie son épouse, qui était enceinte. Or, pendant qu’ils étaient là, le jour où elle devait accoucher arriva; elle accoucha de son fils premier-né, l’emmaillota et le déposa dans une mangeoire".

    L’Évangile permet ainsi de dater la naissance du Christ entre -6 et -4 avant notre ère, puisque Hérode, roi de Judée, est mort en -4. Noël, fête chrétienne d’obligation, commémore le 25 décembre la naissance de l’Enfant Jésus. La Nativité fut déjà célébrée le 25 décembre 354 par le pape Libère. Fête très populaire du sol invictus, "le Soleil invaincu", reprise à l’ère chrétienne pour manifester le monde de Dieu fait homme.

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  • Perdu: 10 milliards d'euros!!!!

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    Les Pieds nickelés de Bercy annoncent une perte inexpliquée de 10 milliards de TVA

    De plus en plus grandiose. En plein débat budgétaire, Bercy perd 10 milliards de TVA sans savoir ni où, ni comment! Plus nous sommes ruinés et plus l’argent se volatilise.

    Tandis que Matignon cherche désespérément 40 milliards d’économies, à Bercy c’est la valse des milliards. Ce sont donc 5% des recettes de la TVA qui se sont envolés sans explication.

    On se croirait en Ukraine, où les milliards disparaissent ni vu ni connu.

    Cela représente un trou de 600 euros dans le budget annuel d’une famille de quatre personnes. Ce n’est pas rien alors que le pays croule sous les dettes et supporte déjà une fiscalité confiscatoire.

    La France est vraiment une république bananière qui n’a plus sa place parmi les démocraties avancées, censées être des modèles d’intégrité, de sérieux et de compétence en matière de gouvernance. Nous sommes gouvernés par des incapables et des irresponsables qui se foutent de tout, car responsables uniquement de ce qui va bien. LA GABEGIE, C’EST TOUJOURS LA FAUTE DU SAINT-ESPRIT.

    Quand ce ne sont pas l’Élysée et Bercy qui se renvoient la balle pour endosser la responsabilité des 300 milliards de dettes supplémentaires toujours inexpliquées, c’est Bercy qui nous annonce avoir perdu 10 milliards de TVA, sans la moindre idée des causes de ce trou béant. Ce sera comme d’habitude dans notre république de bons à rien: ni responsables, ni coupables. Tous ces bras cassés savent pouvoir compter sur le crétin de contribuable, éternel dindon de la farce et roue de secours incontournable du pouvoir.

    Car en attendant, en plein débat budgétaire, il va falloir trouver 10 milliards supplémentaires pour boucler le budget. Donc 10 milliards d’impôts à prévoir.

     

    https://www.epochtimes.fr/dix-milliards-de-tva-introuvables-le-gouvernement-lance-une-mission-durgence-3109486.html

     

    Affolé, Matignon lance une mission d’urgence pour éclaircir ce mystère. Nul doute que nos lumières de Bercy trouveront une explication plus ou moins alambiquée pour s’exonérer du désastre et mettre cela sur le dos de défaillances imprévisibles. En attendant, chaque citoyen, bébés compris, vient de perdre 150 euros, évaporés comme un mirage dans le désert.

    La TVA, c’est 200 milliards collectés chaque année. C’est la principale recette fiscale de l’État. Perdre 5% de cette manne financière, c’est assez ahurissant.

    Mais il se dit que les outils de contrôle de cet impôt majeur sont inadaptés, surestimant à tort son rendement de plusieurs milliards. La stabilité financière du pays est donc de plus en plus bancale.

    Un pays en faillite, dont la charge de la dette est le premier poste budgétaire, qui de plus perd 10 milliards sans savoir ni où, ni comment, avouons que cela ne manque pas de sel.

    Ce désastre illustre encore le délabrement de notre pays, dirigé par un incapable, qui s’est entouré de plus incapables que lui, sous réserve qu’ils lui fassent allégeance et lui jurent fidélité. Ce bonnet d’âne que la France détient dans tous les domaines, école, dette, fiscalité, insécurité, est parfaitement justifié.

    Il est temps que le FMI prenne les commandes de ce pays en perdition, gouverné par des Pieds nickelés depuis trop longtemps. Nous étions le phare de l’Europe en 1975, riches et admirés. Mais des légions d’incapables ont dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses. Macron, en deux quinquennats apocalyptiques, nous a mis au rang d’un pays du tiers-monde, en faillite totale tandis que les malfrats imposent leur loi. C’est simple, ce pays n’est plus gouverné et il n’y a plus d’État. Telle est la sinistre vérité.

    Jacques Guillemain