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opinions - Page 29

  • L’immigration est au cœur du projet mondialiste

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    Dans une entrevue télévisée, le Premier ministre François Bayrou, évoquait un "sentiment de submersion" du peuple français. Je me suis posé la question de savoir s’il allait ou non évoquer les causes de ces mouvements migratoires, mais il est resté sur le constat.  Pourtant, le sujet est essentiel, mais il n’est jamais abordé au fond.

    UNE ANALYSE HISTORIQUE S’IMPOSE

    L’universalisme sur la Terre est une idée très ancienne. Sans parler de Platon, l’un des premiers ouvrages décrivant cette vision uniformisée du monde est probablement le livre "Utopia" écrit par Thomas More en 1516. La chronologie des événements montre que les premiers voyages de découverte de notre planète ont commencé à la fin du XVe siècle et les récits des grands navigateurs faisaient état de nombreuses peuplades qui habitaient les nouveaux territoires.

     Une intéressante étude d’Utopia signée par Hervé Guettard et intitulée "Une utopie d’aujourd’hui: le rêve d’un droit mondial" publiée en 2003 fait entrer de plein pied l’ouvrage dans l’actualité.

    On y trouve notamment ce passage: "En ce qui concerne l’exécutif", "la création d’un pouvoir exécutif mondial" s’impose pour résister à l’emprise des "nouveaux pouvoirs": multinationales financières et économiques, bio-pouvoirs, réseaux sans frontière de l’information et de l’informatique. Elle pourra s’inspirer, à l’échelle européenne, du fonctionnement de la Commission de Bruxelles ou, à l’échelon mondial, de certains organes dits "intégrés" de l’ONU (Secrétaire général, experts indépendants, organe de contrôle). En matière législative, la démocratie mondiale doit tendre à "un modèle d’organisation dans lequel les citoyens, où qu’ils se trouvent dans le monde, ont une voix, un accès et une représentation dans les affaires internationales de façon parallèle et indépendante par rapport à leurs propres gouvernements [12]".

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  • Du mêmisme, idéologie de l’indifférenciation,

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    …au dogme de la transition de genre

    Avec le communisme, la promesse de perfection sociale réclame la suppression de toute propriété. Avec la religion humanitaire, ou religion des droits de l’homme, la promesse de perfection sociale réclame la négation de toute différence entre les humains. Au nom de l’humanité divisée, les droits de l’homme érigés en religion visent à la régénération des hommes par l’instauration sur terre du bien absolu. Le bien absolu met en oeuvre une idéologie de l’identité entre tous les humains.

    Les peuples européens se sont dotés de longue date d’un haut niveau de savoir et de développement économique et social. Leur disparition constitue pour le millénarisme humanitaire l’équivalent de ce que fut pour le millénarisme communiste l’obsession de détruire la bourgeoisie.

    Comme la religion séculière communiste, la religion séculière des droits de l’homme déteste de manière obsessionnelle les sociétés occidentales, leur ordre social, leur culture, leur savoir-vivre, leur bon sens, leur aisance matérielle, l’attachement à leur histoire, à leurs traditions, à leur passé, à leur roman national, du moins à ce qui reste de tout cela, car le patrimoine a déjà été entamé.

    Depuis 1991, des militants révolutionnaires européens sont rendus orphelins du communisme par la disparition de l’Union soviétique. Ils se sont reconvertis dans le millénarisme des droits de l’homme. Ils espèrent la disparition d’un Occident corrompu, la réconciliation de l’humanité avec elle-même et l’avènement d’un homme nouveau. Les communistes avaient le même espoir.

    Intellectuels et militants se sont rabattus sur la lutte pour les droits de l’homme. La civilisation de l’Europe occidentale était condamnée par le millénarisme communiste, parce que réputée bourgeoise et oppressive du prolétariat.

    La civilisation de l’Europe occidentale est condamnée par le millénarisme des droits de l’homme parce que sa population est blanche, et parce que son niveau de vie est perçu comme une injustice. Les zélateurs du millénarisme des droits de l’homme sont eux-mêmes de grands bourgeois intellectuels ou financiers et se conduisent comme des tyrans fascistes. Ils font payer au peuple leur train de vie fastueux: la rigueur n’est pas pour eux, le métissage n’est pas pour eux, la servitude n’est pas pour eux. L’Europe occidentale se trouve mortellement menacée par la religion des droits de l’homme car l’existence de l’Europe occidentale contrevient, déroge au dogme qui sous-tend cette religion: le mêmisme.

    Le socle de la religion humanitaire est un mêmisme d’origine gnostique. Le mêmisme est une idéologie de l’indifférenciation entre tous les humains, une idéologie de l’identité entre tous les humains. Alors, les humains doivent faire abstraction de tout ce qui les distingue les uns des autres, ne pas le dire, et même ne pas s’en apercevoir. C’est le dogme du "tous pareils", l’obligation de voir dans l’autre le même que soi. Le mêmisme exige que l’on proclame la parfaite identité de tous les hommes, et ce contre l’évidence. Le mêmisme, c’est le dogme de l’interchangeabilité des hommes.

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  • Course de chevaux: vers l’interdiction de la cravache

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    Un jockey n’ayant aucune raison d’utiliser une cravache. Quand il l’utilise, c’est que son cheval n’en peut plus, qu’il a donné son maximum et que les coups de cravache ne le feront pas aller plus vite et ne pourront que le faire souffrir inutilement.

    Le jockey doit permettre à sa monture de "donner son maximum" uniquement grâce à ses muscles, sa voix et son expérience.

    Le cheval ne court pas pour de l’argent. Que l’allocation de l’épreuve qu’il dispute soit de 20 000 ou de 200 000 euros, il s’en moque totalement. Son unique satisfaction c’est de battre ses adversaires, de se montrer le meilleur, le plus fort.

    Il semblerait que la Société organisatrice de courses de chevaux en France "France Galop" ait lu les demandes des adorateurs des animaux, car dans sa première page de ce mercredi 14 juin 2023, elle évoque la question.

    Elle oblige à limiter l’usage de la cravache à 8 coups dans la ligne d’arrivée. C’est déjà un premier pas. Peut-être que les autres Sociétés suivront cet exemple.

    L’usage de la cravache sera interdit à dater du 1er avril 2025.