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Science - Page 16

  • On a trouvé le coupable du réchauffement climatique, c’est le soleil !

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    Les prédicateurs de la fin du monde sont incorrigibles.

    AUCUNE DE LEURS PRÉDICTIONS NE S’EST REALISEE.

    Fort heureusement. Boston, Venise et les Tuamotu n’ont pas été engloutis. Les glaciers de l’Himalaya n’ont pas fondu, pas plus que ceux de l’Antarctique. Il y a toujours de la neige l’hiver dans les zones tempérées, et la Sibérie n’a pas libéré des virus préhistoriques congelés.

    Cinquante ans de mensonges démentis par les faits, cela commençait à se remarquer.

    Ceux qui vivent plutôt bien de la peur qu’ils diffusent, entre conférences, livres, films, télés, labos subventionnés et chaires imméritées, ont compris qu’ils devaient changer leur fusil d’épaule.

    Se reniant implicitement, ils attribuent désormais au soleil (enfin!) le phénomène cyclique du léger réchauffement (1,2°C depuis 1860, terminé en 2005) qui n’a rien d’anthropique ni d’exceptionnel. Mais comme les professeurs Philippulus ne peuvent s’empêcher de prédire des catastrophes, il annoncent pour bientôt une super éruption solaire.

    Réservez vos places pour assister au prochain cataclysme!

    Certaines données scientifiques semblent plus inquiétantes que les élucubrations des écolo-réchauffards

    Une équipe internationale d’astrophysiciens a estimé, à partir des données récupérées sur 2.527 étoiles semblables au Soleil, qu’une future grosse éruption de notre étoile a une probabilité raisonnable de survenir dans les prochaines années. Sans donner de date.

    "Ces données nous rappellent brutalement que les événements solaires les plus extrêmes font partie du répertoire naturel de notre étoile", a rappelé Natalia Krivova, physicienne à l’institut Max-Planck de Göttingen et coordinatrice de l’étude.

    Pour parvenir à ces conclusions, elle et son équipe ont comparé les données de 5650 étoiles collectées par le télescope spatial Kepler entre 2009 et 2013. "Nous avons été surpris de constater que les étoiles semblables au soleil sont sujettes à des super éruptions fréquentes", a déclaré Valeriy Vasilyev, co-auteur de l’étude.

    Le Soleil est arrivé en 2024 à son pic décennal d’activité (un cycle complet dure en fait onze ans). Le nombre des taches solaires à sa surface est très important et les éruptions plus fréquentes. Symptôme de ce dynamisme retrouvé, au printemps et à l’automne dernier, des éjections de masse coronale particulièrement importantes ont donné lieu à des aurores boréales.

    Les super éruptions solaires auraient lieu tous les cent cinquante ou deux cents ans, mais on n’est pas passé loin en octobre 2024. Observées par la NASA, ces éruptions solaires sont de puissantes explosions de radiations.  Heureusement, notre champ magnétique les dévie en grande partie et notre atmosphère arrête le reste. Mais cette protection naturelle n’est pas infaillible, et les rayonnements et particules peuvent causer des dommages.

    La dernière super-éruption s’est produite en 1859, une époque où les infrastructures électriques, les satellites et les systèmes de communication n’existaient pas. Connue comme "l’événement de Carrington", cette tempête solaire de 1859 avait provoqué des surtensions dans les lignes télégraphiques et provoqué des incendies.

    De nos jours, les conséquences d’un tel phénomène pourraient être catastrophiques. Elles produiraient des pannes électriques massives, pouvant durer plusieurs semaines, perturberaient les communications, les signaux GPS, les transports, les réseaux informatiques, grosso modo toute l’infrastructure qui permet au monde moderne de fonctionner.

    Et encore, ils n’envisagent pas les méga-éruptions

    Celles-là se produisent tous les dix ou douze mille ans, liées aux cycles de Milankovitch (non Greta, ce n’est pas un Yougo qui vend des vélos). On assiste alors à des bouleversements majeurs, et des changements d’ères climatiques. Les glaciers polaires ainsi que les sédiments marins ont conservé des marqueurs isotopiques de ces méga-éruptions.

    La dernière période glaciaire s’est achevée de manière très brutale il y a environ 14.000 ans. Puis, après un nouvel épisode de refroidissement intermédiaire, le réchauffement a repris il y a 11.700 ans. Favorisant les conditions de vie des humains, amorçant la révolution néolithique.

    LE SOLEIL SOURCE DE VIE ET CAUSE DE MORT

    Le Soleil est une étoile très active. Selon les différents cycles solaires, des particules magnétiques parviennent en quantité variable sur la Terre. La densité de la matière au centre du Soleil est tellement massive qu’elle produit des réactions de fusion nucléaire. C’est-à-dire que l’hydrogène va se combiner pour former de l’hélium. Et selon la formule E = MC², la masse se transforme en énergie qui se traduit sous forme de lumière.

     

    Le Soleil est une étoile qui tourne sur elle-même et cette auto rotation produit un champ magnétique selon un cycle alternatif de 22 ans. Tous les 11 ans, notre étoile inverse ses pôles magnétiques. Ce cycle s’accompagne d’un certain nombre de phénomènes comme des concentrations de champs magnétique qui apparaissent à la surface. Ce sont les taches noires.

    Depuis 400 ans, on suit l’évolution de ces taches et on s’aperçoit qu’elles suivent les cycles de 11 ans. Il y a des périodes où il n’y a pratiquement aucune tache, comme entre 2018 et 2019. Puis à partir de 2019, ces taches réapparaissent à une fréquence accélérée… On observe alors une augmentation des taches jusqu’à un maximum d’apparition comme en 2024. Avec des éruptions localisées, relativement limitées, mais qui peuvent s’amplifier brutalement.

    Si on extrapole, on peut prévoir pour 2025, de nouvelles taches, un risque accru de fortes éruptions, qui diminueront à nouveau dans les années 2030. La température sur notre planète est liée à des phénomènes cosmiques et il faut vraiment être un cancre comme un écolo, pour lier une légère augmentation de température aux gaz à effet de serre, CO2, O3 (ozone) et CH4 (méthane) en oubliant H2O.

    La vapeur d’eau représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%) et possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1. C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable aux autres gaz. Tandis que l’albédo des nuages renvoie dans l’espace l’excès de chaleur.

    LES IMPOSTEURS DU GANG INTERNATIONAL D’ESCROLOS CLIMATIQUES

    À côté des simples d’esprit téléphages auxquels on fait gober n’importe quoi, il y a des gens qui sont allés à l’école auxquels on doit tenir un discours plus structuré. Les "modèles" en sont le passe-partout. En théorie, ils s’articulent sur des systèmes d’équations différentielles qui cherchent à établir des corrélations entre des fonctions inconnues et leurs dérives aléatoires. C’est précis…

    Certes on évoque les lois de la physique, de la chimie et de la mécanique des fluides, mais on ne sait pas en mesurer les interactions et on en ignore l’impact éventuel sur le climat global. On a programmé des écarts thermiques probables en fonction des vents possibles, et du rayonnement solaire envisageable, avec l’hydrologie et l’humidité plausibles d’après la latitude et la saison. Comme si les phénomènes atmosphériques correspondaient toujours à des schémas théoriques à la validité aléatoire.

    Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer des lois, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…

    Les gens du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

    Sans contestation possible puisque le GIEC est devenu un club privé où l’on se coopte entre réchauffistes. Et que, dans certaines dictatures comme la France, les abrutis de la politique et les crétins des médias prétendent imposer une "vérité scientifique" qu’il est interdit de discuter.

     

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.c

  • L’université: un nid du mondialisme, du lobby LGBTIQA+ et du transgenrisme

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    Pour lutter contre les discriminations, l’administration de l’université d’Orléans propose aux étudiants transgenres de changer de prénom en 48 heures.

    L’université d’Orléans et l’association Gay et Lesbienne du Loiret (GAGL45) travaillent main dans la main contre les discriminations à l’identité de genre et à l’orientation sexuelle et signent une convention. Ce partenariat vise à consolider des actions existantes et à pérenniser des mesures inclusives au sein de l’établissement.

    Didier Chevrier, vice-président de l’université, se félicite: "Cette convention formalise des actions déjà existantes tout en renforçant nos engagements".

    Pour Mélanie Rocher, présidente du GAGL45, l’université d’Orléans est un exemple à suivre: " C’est l’un des rares établissements où les changements de prénom d’usage sont aussi rapides. Cela témoigne d’une réelle volonté de soutenir les étudiants concernés".

    Cependant, elle rappelle que ces démarches ne remplacent pas la modification légale de l’état civil, qui peut prendre jusqu’à huit mois dans le Loiret.

    L’université a déjà pris plusieurs initiatives concrètes, comme l’organisation de stands d’information et de sensibilisation. D’autres restent en réflexion. Par exemple, l’installation de toilettes non genrées est à l’étude. Didier Chavrier souligne: "Nous avançons prudemment sur ces sujets sensibles afin de garantir une acceptation collective".

    Mélanie Rocher conclut: "Ces actions montrent que l’université ne se contente pas de se conformer à la loi, mais qu’elle s’investit activement pour créer un environnement inclusif".

    À en croire ces déclarations et les moyens mis en œuvre à l’université d’Orléans, les Français passeraient une bonne partie de leur temps à discriminer, à différencier les personnes, en fonction de la race, de la religion, du sexe, et ici particulièrement de l’identité de genre et de l’identité sexuelle. D’où la nécessité de légiférer au niveau national, et de prendre des mesures au niveau des établissements scolaires et de l’université.

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  • L'écologie, nouvelle religion

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    Les églises se vident, les croyants sont de moins en moins nombreux et, pourtant, l’être humain a besoin d’une religion pour lui donner force et espoir tout en le tenant sous contrôle. Grâce au dernier livre de Thierry Godefridi, Ces vaniteux nous enfumant et leurs drôles d’idées, il apparaît que l’écologie est devenue notre nouvelle religion.

    Thierry Godefridi a des qualités que beaucoup de scientifiques ne peuvent plus se permettre en ces temps de totalitarisme (adhésion active de l’individu au conditionnement par l’État) "vert"; il est exceptionnellement cultivé, s’instruit à toutes les sources et son esprit critique lui a donné matière à écrire ce dense petit livre  sans préjugés, sans peur de "perdre sa place" ou d’avoir des ennuis avec les grands prêtres de la nouvelle religion.

    Sans que cela soit avoué, il apparaît que nos responsables, presque tous, ne s’instruisent pas, se laissent manipuler et il est plus que temps que les citoyens se renseignent et réagissent ! Nous devons savoir que l’amour de la vérité est de plus en plus remplacé par l’idéologie et les énergies "vertes" en sont un exemple bien clair.

    Ainsi, nous investissons des centaines de milliards dans des éoliennes, des centrales solaires qui ne donnent que très peu d’énergie… et doivent être complétées quasi 100 % du temps par  des centrales "à énergie primaire". Et Samuel Furfari dit bien que pour réduire un peu les émissions de CO2, il n’y a que deux moyens: l’énergie nucléaire ou la décroissance.

    Mais il ne faudrait pas oublier – et on oublie trop souvent – que, si les humains consomment les bienfaits de la nature, ils en sont aussi les cultivateurs ! Et avec suffisamment d’énergie on peut tout espérer.

    On ne fera pas n’importe quoi car la peur règne et notre peur est indispensable à ceux qui nous gouvernent à leur avantage. Machiavel disait déjà: "Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes". Et celui qui a peur n’est pas intéressé par la connaissance… mais nous devons savoir que "les lois de la physique s’imposent à nous, toutes les lois, écrit Husson, et pas seulement celle que l’on sélectionne indûment pour étayer un discours à sens unique". (p.143)

    Ce discours à sens unique, le discours qui doit nous faire peur, nous rendre obéissants à ceux qui prétendent vouloir nous éviter un réchauffement climatique anthropique, une montée du CO2 dans l’air susceptible de détruire notre monde, ce discours doit être soumis à de vrais scientifiques – non les journalistes, juristes et autres du GIEC – et nous devons agir pour que la vérité triomphe, pour que cesse cette PEUR destructrice de notre civilisation, pour que cesse la "domination totalitaire" qui s’impose chaque jour plus. Le GIEC élimine d’office les découvertes dérangeantes.

    NON, l’Occident ne doit pas régresser, il doit inciter les pays défavorisés à se prendre en charge. Arrêtons de vouloir l’effondrement  de l’Occident "grâce" au péril climatique. Ce déclin ne peut que détruire le reste de la planète – et surtout les pays actuellement défavorisés – ce n’est vraiment pas un but à atteindre par des citoyens réfléchis et instruits et l’auteur présente de nombreuses escroqueries promues dans notre société.

    Arrêtons de croire à la destruction, à l’effondrement, la ruine, instruisons-nous et commençons par le livre de Thierry Godefridi, pensons au programme politique de Platon: "Revenons au gouvernement  "naturel" de la foule des ignorants par la minorité des sages".

    Et j’oserai dire: actuellement nous pouvons tous nous instruire – ce n’était pas le cas à l’époque de Platon – instruisons-nous, quittons "la pensée unique" de faux scientifiques diplômés qui veulent s’imposer par la peur, qui n’hésitent pas à trahir la science.

    Mia Vossen