Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 21

  • Vers une théocratie collectiviste

    Imprimer

    L’Histoire est autre chose que la résultante des forces aveugles des forces économiques. Quiconque se penche sur les documents et sur les faits peut découvrir au cœur des événements la présence des Fils de la Veuve.

    Au XIXe siècle, les figures de proue du mouvement socialiste étaient en majorité des maçons.

    En 1920, lors du congrès de Tours, les délégués votèrent pour la double appartenance par 1505 voix contre 3.

    Le marxisme n’est qu’un démarquage habile de la doctrine initiatique, à l’usage des profanes.

    Sa nature véritable n’échappe pas à certains responsables des années 1920, comme le prouve l’attitude donnée à la dépouille mortelle de Lénine, figée à l’ordre d’apprenti, dans son mausolée de la Place Rouge.

    Le nazisme tire son origine du même type de culte.

    Les partis socio-démocrates issus de la Révolution bourgeoise cherchent leurs mots d’ordre dans les loges.

    Les images cryptées des monuments publics nous rappellent que la République " laïque " est bel et bien un gouvernement sacral, sacro-saint, tels les trois ouroboros de la Cour carrée du Louvre (objets représentant un serpent ou un dragon qui se mord la queue).

    Une fois décodé le langage de ses symboles, la révolution apparaît pour ce qu’elle est: un mouvement millénariste inspiré par la gnose naturaliste.

    Son objectif: ramener l’âge d’or, c’est-à-dire la civilisation antérieure au Déluge, en réhabilitant le " dieu de la science ", symbolisé par le serpent.

    Selon la légende de l’âge d’or, au commencement de l’humanité, il y avait une " race d’or ". C’était au temps où Kronos vivait au ciel. Kronos, un Titan, fils d’Ouranos, le Ciel, et de Gaïa, la Terre. Les hommes vivaient alors comme des dieux, libres de souci, à l’abri des peines et de la misère. Ils ne connaissaient pas la vieillesse, mais passaient leur temps, toujours jeunes, dans les festins et les fêtes. Lorsque le moment était venu de mourir, ils s’endormaient doucement.

    Et ils n’étaient pas soumis à la loi du travail. Tous les biens leur appartenaient spontanément. Le sol produisait de lui-même une récolte abondante, et eux, au milieu des champs, vivaient en paix.

    Saturne, très ancien dieu italique, a été identifié à Kronos. Il passait pour être venu de Grèce en Italie, en des temps très anciens. Jupiter le détrôna et le précipita du haut de l’Olympe.

    Lire la suite

  • dans mon autre blog

    Imprimer

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2025/06/25/les-b2-de-trump-ne-suffiront-pas-seule-la-chute-des-mollahs-6552690.html

  • Les frappes US en Iran: un camouflet de Trump au Macron et aux Européens

    Imprimer

    On s’inquiétait de savoir si la France était au courant des frappes américaines en Iran. Le silence des autorités françaises était effrayant. On se demandait si un de ces "Marteaux de minuit " américains qui se dirigeaient vers l’Iran n’avait pas dévié de sa trajectoire pour pulvériser l’Élysée. Confondre Paris et Téhéran est si facile dans la conjoncture actuelle. Surtout pour des missiles qui traquent la pourriture islamique. Il y a autant de pourriture islamique à Téhéran qu’à Paris. Il y a autant de haine envers Israël à Téhéran qu’à Paris.

    Mais douze heures après les frappes américaines, l’autruche Barrot nous a rassurés: "La France a pris connaissance avec préoccupation des frappes menées cette nuit par les États-Unis d’Amérique".

    Ouf! Quel soulagement!

    La France est certainement le dernier pays du monde à prendre connaissance de ces frappes, mais les Français sont rassurés.

    Cousins germains

    Restait à savoir si le locataire de l’Élysée était indemne. Apparemment, il l’est. La preuve: le Macron a parlé avec les dirigeants de l’Arabie saoudite, du Qatar, d’Oman et des Émirats arabes unis. On ne sait pas de quoi, mais ce n’est pas important. L’essentiel est qu’il est capable de parler.

    On sait que le coup que la Brigitte lui a asséné à l’aéroport de Hanoï l’a fortement sonné, mais apparemment il s’en remet tout doucement.

    Le Macron n’a échangé qu’avec les dirigeants arabes. Il a ignoré ses fidèles partenaires européens du Royaume-Uni et d’Allemagne. Les frappes américaines ont semé la débandade au sein des leaders européens qui, la veille encore, négociaient avec l’Iran à Genève.

    Le Macron annonçait fièrement que la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni allaient faire aux Iraniens " une offre de négociation complète " qui incluait le nucléaire, les activités balistiques et le financement des groupes terroristes dans la région.

    C’est bien triste quand il y a rien à sniffer

    Mais ces-dits dirigeants européens ne voulaient pas écouter le président Trump qui les avertissait que l’Iran n’a que faire des Européens et qu’il veut négocier avec les États-Unis.

    Trump leur a porté une gifle qu’ils n’oublieront pas de sitôt du fait qu’il les a complètement ignorés et tenus à l’écart de son projet.

    partenaires européens dans une entreprise militaire. Et cela fait plaisir.

    Un vol de 18 heures de sept de ces monstres B-2 avec toute la flottille d’accompagnement aurait pu alerter les chancelleries, les attachés militaires, les services de renseignement. Non, toute l’Europe dormait profondément.

    Et quand nos leaders se sont réveillés, ils ont couru en ordre dispersé dans tous les sens.

    Notre autruche, dite ministre des Affaires étrangères, s’est empressée de clamer l’innocence de la France: Wallah, jure-t-il le front au sol et le cul en l’air, la France " n’a participé ni à ces frappes ni à leur planification ".

    Ladite cheffe de la diplomatie de l’UE, la Kaja Kallas, a appelé "toutes les parties à faire un pas en arrière, à revenir à la table des négociations et à éviter toute escalade supplémentaire ".

    L’Allemagne appelle l’Iran à " entamer immédiatement des négociations " avec les États-Unis.

    Le Premier ministre britannique, le Keir Starmer, l’un des premiers dirigeants du continent européen à réagir après l’attaque des États-Unis sur les sites nucléaires iraniens, appelle l’Iran à " revenir à la table des négociations " et exprime son soutien à l’action de Donald Trump.

    Mais qu’on se rassure. Le problème iranien va être vite résolu. Le Macron s’y met. On peut lui faire confiance.

    Il devait réunir hier dimanche un conseil de défense et de sécurité nationale.

    Le monde retient son souffle.

    Messin’Issa

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)