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  • Françaises, Français,

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    Sauvons la France: exigeons un référendum sur l’immigration

    Nous sommes à l’heure de l’urgence vitale. L’immigration n’est plus un problème parmi d’autres: c’est la question centrale, celle qui commande toutes les autres. Nous sommes en train de changer de peuplement. Nous sommes en train de changer d’art de vivre. Nous sommes en train de changer de civilisation. Si nous ne faisons rien, c’est la fin de la France.

    Depuis les accords de Schengen qui ont démantelé nos frontières, notre pays n’est plus qu’un hall de gare. Bruxelles a confisqué notre souveraineté, et les gouvernements successifs ont multiplié les pompes aspirantes: regroupement familial sans frein, aides sociales sans condition, régularisations massives. Ainsi s’organise la disparition d’un peuple.

    Ne comptez pas sur la classe politique pour enrayer cette mécanique infernale de l’effacement national. Elle ne fera rien. Elle est impuissante ou complice. Tant que nous resterons prisonniers de ces politiciens, rien ne changera.

    Il n’existe qu’une issue: rendre la parole au peuple. Quand les élites oublient la France, c’est au peuple de rappeler les élites à l’ordre. Il n’y a qu’un seul chemin pour affronter le problème majeur de notre temps — l’immigration, qui nous submerge et nous transforme: le référendum. L’enjeu n’est rien de moins que la survie de la France.

    Mais ce référendum, le président ne l’accordera pas de lui-même. Il faudra l’y contraindre. Par la pression populaire. Comme pour la loi Duplomb: une pétition a voulu sauver les abeilles, les oiseaux, les sols. Aujourd’hui, ce sont les Français qu’il faut sauver. Les derniers Français. Avant qu’il ne soit trop tard.

    Voilà pourquoi je lance cette pétition. Pour exiger un référendum sur l’immigration. Pour dire haut et fort:

    "RENDEZ LA PAROLE AU PEUPLE!"

    Signez, faites signer, multipliez vos voix. Que ce cri soit si puissant qu’il devienne impossible à étouffer. L’heure n’est plus aux commentaires. L’heure est venue d’agir.

    Pour nos enfants.

    Pour nos morts qui nous regardent.

    Pour la France éternelle.

    Philippe de Villiers

     

    https://referendum-immigration.com

     

     

     

  • Madame la Ministre: notre École est en péril

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    Ces derniers mois une vaste enquête intitulée La Grande Enquête sur l’École. 13 379 répondants, citoyens engagés, parents concernés, enseignants ou simples observateurs, ont livré leur jugement.

    Et ce jugement est sans appel.

        80,3% considèrent que le niveau en lecture, écriture et mathématiques est insuffisant.

        91,7% réclament un retour massif aux savoirs fondamentaux.

        92,9% estiment que les sanctions à l’égard des élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

        72,1% jugent que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

        76,5% dénoncent l’insuffisance de la prévention et du traitement du harcèlement scolaire.

        75,7% considèrent que l’école oriente idéologiquement les élèves.

        86,6% souhaitent une orientation possible en voie professionnelle dès la 4e.

        76,5% rejettent la réforme du lycée, notamment la suppression des filières.

        72,7% sont favorables aux classes de niveau au collège.

        Et 91% ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, qu’ils jugent dévalorisé.

     

    Madame la Ministre, ces résultats traduisent un désaveu populaire massif, mais aussi un appel au courage. Ce que demandent les Français, ce n’est pas un énième "ajustement" bureaucratique, mais un changement de cap total:

    ■ Le retour de l’autorité dans les classes,

    ■ La restauration de la transmission du savoir,

    ■ L’affirmation d’un cadre national exigeant,

    ■ Et la réhabilitation de notre héritage culturel et de la méritocratie républicaine.

    C'est le même constat sur l’école depuis trente ans.

    AUJOURD’HUI, 75.000 PARENTS, CONFIRMENT LEURS INQUIETUDES.

    Les résultats de l’enquête PISA 2022 l’ont démontré:

    nos élèves régressent, en mathématiques comme en compréhension écrite. La France se retrouve désormais en queue de peloton des pays de l’OCDE, alors même qu’elle consacre chaque année un budget plus important que l’écrasante majorité d’entre eux à son système éducatif.

    Les analyses nationales ne sont pas plus rassurantes. La Cour des comptes, dans son rapport de 2025, dénonce l’inefficacité de notre système et un niveau scolaire "inacceptable".

    Il est des constats que l’on ne peut plus éluder, des chiffres que l’on ne peut plus dissimuler, et des réalités que des millions de familles vivent dans la douleur.

    L’École française, autrefois fierté nationale, s’est effondrée sous nos yeux.

    Vous êtes en poste depuis désormais huit mois, et rien ne change. Vous êtes aujourd’hui responsable d’un ministère dont dépend l’avenir de notre pays.

    Il vous appartient de trancher: persister dans l’aveuglement ou choisir la refondation.

    Madame la Ministre, les Français vous appellent solennellement à entendre leurs voix, à prendre acte de l’état de délabrement de notre École, et à engager sans délai les réformes que la nation attend.

    L’heure n’est plus aux demi-mesures.

    L’avenir de la France passe par la reconquête de son École.

    ARTICLE ÉCRIT APRÈS LECTURE DE:

     

    ANNEXE – RÉSULTATS DE" LA GRANDE ENQUÊTE SUR L’ÉCOLE"

    Enquête menée par Reconquête! et le réseau des Parents Vigilants

    13 379 répondants – 2025

    Dans le cadre de ses travaux sur l’avenir de l’école, le mouvement Reconquête a lancé une consultation nationale inédite entre septembre 2024 et mai 2025. L’objectif était clair: redonner la parole aux Français sur l’état de l’Éducation nationale et recueillir leurs attentes concrètes. Les résultats de cette enquête révèlent une inquiétude massive et une volonté partagée de changement radical.

    ⊲ DES SAVOIRS FONDAMENTAUX EN RECUL

    ■ 80,3% des personnes interrogées jugent que le niveau enseigné en mathématiques, lecture et écriture est insuffisant.

    ■ 91,7% souhaitent que davantage de temps soit consacré aux savoirs fondamentaux à l’école primaire.

    ⊲ UN CLIMAT SCOLAIRE PREOCCUPANT

    ■ 72,1% estiment que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

    ■ 76,5% considèrent que la prévention et le traitement du harcèlement scolaire sont insuffisants.

    ■ 92,9% jugent que les sanctions contre les élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

    ⊲ UNE ECOLE ACCUSEE DE DERIVES IDEOLOGIQUES

    ■ 75,7% estiment que l’école oriente idéologiquement les élèves, au détriment de la neutralité et de l’objectivité.

    ⊲ UN SYSTEME D’ORIENTATION CRITIQUE

    ■ 86,6% des répondants souhaitent que l’orientation vers les filières professionnelles soit possible dès la classe de 4e.

    ■ 76,5% ne sont pas satisfaits de la réforme du lycée (disparition des filières, système de spécialités).

    ■ 72,7% se déclarent favorables aux classes de niveau au collège.

    ⊲ LE BACCALAUREAT, SYMBOLE D’UN DECLASSEMENT

    ■ 91% des répondants ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, jugé dévalorisé et déconnecté des exigences réelles.

    CONCLUSION

    Cette enquête révèle un diagnostic sans appel:

    Les Français sont lucides sur l’effondrement de l’école et réclament un retour à l’exigence, à l’autorité et à la transmission.

  • Peut-on battre le hasard? Ce que dit la science des probabilités

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    On l’a tous pensé au moins une fois. "Si je joue intelligemment je peux battre le système". Et pourtant, le hasard, lui, n’en a rien à faire de vos intuitions. Mais alors, est-ce vraiment impossible de le battre? Et pourquoi continue-t-on à essayer? Spoiler: ce n’est pas que pour l’argent.

    LE HASARD, CE PATRON QU’ON NE LICENCIE JAMAIS

    Commençons par une vérité froide: dans les jeux de hasard, l’avantage est toujours du côté de la maison. Et la maison, elle ne dort jamais.

    Parlons de la roulette. La probabilité de tomber sur le rouge, c’est 18 chances sur 37. Donc à chaque tour, vous perdez un petit peu. Pas assez pour le sentir tout de suite, mais assez pour que le casino fasse de l’argent. .

    Même avec des stratégies comme la fameuse martingale (vous doublez votre mise à chaque perte), les maths finissent toujours par vous rattraper. Parce que vos poches, elles, ne sont pas infinies. Et parce que les plafonds de mise existent précisément pour éviter qu’un joueur malin ne retourne la table.

    MAIS LE CERVEAU N’AIME PAS PERDRE.

    En sachant tout ça, on continue à y croire. Pourquoi? Parce que notre cerveau est câblé pour chercher du sens, même là où il n’y en a pas.

    C’est ce qu’on appelle le biais du parieur. Si une roulette tombe cinq fois sur noir, on se dit que "le rouge va bien finir par sortir". Sauf que non. La bille ne garde aucun souvenir de ses tours précédents. Chaque lancer est un nouveau départ.

    C’est comme parier sur le fait qu’il va pleuvoir parce qu’il a fait beau toute la semaine. Ça peut arriver ou pas.

    ALORS POURQUOI JOUE-T-ON ENCORE?

    Parce qu’on ne joue pas seulement contre le hasard. On joue entre nous. Avec des amis, des collègues, en ligne ou autour d’une table.

    Pour beaucoup de joueurs, le plaisir du jeu vient surtout de l’ambiance, du lien social, de la tradition. Le bingo du dimanche avec Mamie. Le ticket de Loto partagé au boulot. Le tournoi de poker du vendredi soir avec chips et bière.

    Et aujourd’hui, les casinos en ligne reproduisent ça à leur façon: chats en direct, classements entre amis, tournois live… tout est fait pour recréer cette énergie collective, ce petit frisson d’être "ensemble contre la chance".

    PEUT-ON BATTRE LE HASARD COLLECTIVEMENT?

    Techniquement non. Mais collectivement, on le rend moins menaçant.

    À défaut de tricher, certains joueurs misent sur la coopération : le syndicat de loterie. Une étude (bien qu’un peu ancienne) montre qu’un groupe bien sauf pourrait espérer des retours de 10% à 25% dans une loterie équitable via achat collectif de tous les numéros possibles.

    Mais cela nécessite des ressources colossales et n’est pas applicable aux jeux de casino standard.Il devient un jeu, une excuse pour se retrouver, raconter des anecdotes, ritualiser le suspense.

    On ne bat pas le hasard. Mais on peut jouer avec.

    Vous ne battrez pas le hasard. Mais vous pouvez apprendre à jouer avec lui, à en rire, à le défier, à le transformer en moment social. Et ça, c’est déjà une belle victoire.

    Au fond, le jeu, c’est moins une bataille contre les probabilités qu’un rituel moderne, où on partage, on espère, et on se crée des souvenirs. Le vrai gain est là.

    Derya Keles