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Société - Page 57

  • Quand une population ne fait plus d’enfants, elle ne peut que disparaître

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    "Quand une population ne fait plus d’enfants, elle ne peut que disparaître". Et la solution, bien entendu, n’est pas que les femmes de cette population se fassent engrosser par des hommes venus d’autres civilisations.

    Cela d’ailleurs devrait être considéré comme une menace pour cette population et pour sa civilisation. C’est d’ailleurs une menace. Souvenez-vous de cet avertissement: en avril 1974, le président de la république algérienne, Houari Boumediene, prévenait l’Europe du projet de transplantation de peuple qui se préparait: "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront là-bas pour le conquérir, et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire".

    Depuis quelques années, nous assistons à la revanche de ces peuples que nous avons colonisés, de la guerre d’Algérie.

    Nous devenons la colonie de nos anciennes colonies!

    La colonisation a changé de sens, l’expression coloniale: aller du Nord au Sud, s’est retournée. Elle est devenue du Sud au Nord.

    Et comme si ce n’était pas suffisant, nous subissons également l’envahissement d’une jeune migration venue de l’Est: Afghanistan, Turquie, Syrie, Tchétchénie, et j’en passe.

    Nous sommes les témoins impuissants de cette invasion lente, qui se veut pacifique, qui ne rencontre aucune résistance et qui quelquefois nous agresse physiquement.

    Je dirai même que les attentats terroristes, les agressions sexuelles, viols, crimes, etc. qui se produisent contrecarrent momentanément cet objectif élaboré de longue date!

    Dans la vision progressiste voulue par l’Union européenne, l’immigration n’est pas seulement tolérée et acceptée, elle est voulue et programmée: l’ONU a donné instruction à l’UE d’appliquer le principe de la Replacement migration (La migration de remplacement).

    L‘Europe, selon l’ONU, a besoin de cette migration pour éviter le vieillissement inévitable de sa population, qui résulte des taux bas de fécondité et de mortalité. Pour cette organisation mondialiste, le déclin est inévitable en l’absence d’une migration de remplacement.

    Ce scénario migratoire vise au maintien du ratio: "3 actifs pour 1 retraité" et cela commande de faire rentrer au sein de l’Union européenne 153,6 millions d’immigrants entre 2015 et 2040, au rythme d’une moyenne de 6,1 millions par année.

    Pour la France, ce scénario de l’ONU préconise une rentrée d’environ 16 millions de migrants jusqu’en 2040.

    Cette directive de l’ONU est reprise en France par une note officielle de l’INED (Institut National des Etudes démographiques), en date du 6 avril 2016. Elle préconisait le recours à une immigration massive et indiquait: " La crise démographique va prendre de l’ampleur et les migrations de remplacement feront partie des réponses de l’Europe à sa situation démographique".

    Cette importation massive de population équivaut à un véritable remplacement du Continent. C’est devenu une priorité des dirigeants de l’Union européenne pour éviter un déclin démographique et limiter la régression économique et sociale, en l’absence de toute politique familiale.

    Il n’y a donc plus de secret: l’ambition reconnue est de changer progressivement le peuplement de l’Europe!

    Mais qu’il me soit permis de me poser cette question qui, j’en suis parfaitement conscient, va faire bondir nos féministes: pourquoi ne s’organisent-ils pas des filières de passeurs avec pour principal objectif de fournir à l’Europe et, en ce qui nous concerne, à la France uniquement des jeunes femmes de ces pays cités plus haut? Jeunes femmes qui n’estimeraient pas que la fécondité serait un obstacle à l’épanouissement de leur égalité avec les hommes?

    Sans doute que la démographie de nos pays occidentaux retrouverait sa progression. Qu’en pensez-vous?

    Manuel Gomez

  • La transition de genre officialisée, prise en charge et gratuite

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    La Haute Autorité de Santé fut missionnée en 2021 par le ministère des Solidarités et de la Santé pour se prononcer sur les bonnes pratiques que doivent adopter les professionnels de santé face à une personne souhaitant effectuer une transition de genre, et ce dès l’âge de 16 ans. Les conclusions ont été rédigées par un panel "d’experts", dont certains sont perçus comme des "militants transactivistes".

    Parmi eux, Clément Moreau, psychologue transgenre, Nicolas Morel-Journel, chirurgien spécialisé dans les opérations de changement de sexe. La Haute Autorité de Santé rappelle que "la transidentité n’est plus considérée comme une pathologie".

    L’institution recommande de bonnes pratiques pour les médecins et les soignants. Mettre en place un service public de la transition de genre avec l’appui du système de santé comme la médecine de ville, les médecins spécialisés, les centres hospitaliers et les psychologues. Ces recommandations portent sur la conduite à tenir devant une demande de transition, la prescription d’hormones dites "d’affirmation de genre, la chirurgie de réassignation de genre et l’accompagnement à proposer aux personnes trans.

    Parmi les chirurgies envisagées, on retrouve la rhinoplastie, le contouring du visage, la greffe de cheveux, qui visent à réaliser une " féminisation ou masculinisation faciale". Les chirurgies thoraciques, telles que la mammectomie et la pose de prothèses mammaires. Les interventions génitales. La chirurgie de la voix. La "dépilation".

    La HAS souhaite que soit mis en place le parcours de transition de genre, avec une gamme très sophistiquée de "soins" et d’accompagnements, le tout remboursé intégralement. Ce parcours commence dès la "demande de transition". Toute la prise en charge, du premier rendez-vous à l’opération, doit être accessible et gratuite.

    Le demandeur doit être reçu dans un "environnement d’accueil bienveillant et adapté aux personnes trans " et par un professionnel de santé formé et sensibilisé.

    L’objectif de cette demande est de "prendre en compte ses différents objectifs et attentes " afin "d’élaborer un parcours de transition personnalisé".

    Pour éviter que les délais ne soient trop longs, la HAS recommande en premier lieu " la mise sous hormones des personnes trans qui le demandent après une information éclairée". Des hormones qui seront remboursées. Les personnes trans qui le demandent doivent pouvoir " accéder aux chirurgies d’affirmation de genre sans délai supplémentaire".

    La HAS souhaite que les jeunes ayant achevé leur puberté soient traités au même titre que les adultes, y compris pour les interventions chirurgicales. Cela inclut les mineurs de 16 à 18 ans. Seule la chirurgie génitale est soumise à une légère réserve. Les interventions visant à modifier les parties génitales sont soumises à une concertation pluridisciplinaire, avec la présence de représentants d’associations lors de ces réunions.

    Les organes génitaux déterminent le genre "féminin" ou "masculin".

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  • Scandale monstrueux!

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    L’invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée!

    Le général Gomart, patron du renseignement militaire, qui a quitté l’armée en mai 2017, explique: "Cette invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée".

    Et "rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles"

    Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) était chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire.

    Il a expliqué, en ouverture du colloque GEOINT (Géospatial Intelligence), qui s’est tenu à la Société de Géographie à Paris, les 11 et 12 septembre 2018, comment le trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français.

    La Direction du Renseignement Militaire, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de Renseignement Géospatial Interarmées).

    Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).

    C’est ainsi que la DRM peut présenter au gouvernement français une situation précise de la présence des migrants subSahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des "passeurs" de migrants.

    Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée (Eunavfor Med) lancée en mai dernier.

    Le général Gomart a déclaré, lors du colloque, que les militaires français avaient repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte).

    Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent.

    Il les voit préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable.

    Avant tout départ en mer, les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses migratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

    Le GEOINT est devenu "l’outil idéal pour valoriser des données massives géo localisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques".

    L’INVASION N’AVANCE PAS AU HASARD

    Il n’y a donc aucun mystère, tout se sait.

    On sait où les "passeurs" vont s’approvisionner en bateaux.

    On sait que la Turquie délivre de faux passeports et que les autorités de réception ferment les yeux.

    Le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, et il pourrait le voir également en Europe.

    source: dreuz.info.fr