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Gang des Pakistanais: atroce, inhumain!

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Mercredi 8 Janvier 2025. Les députés travaillistes anglais rejettent l’enquête nationale sur les gangs pakistanais réclamée par Kemi Badenoch, du parti conservateur.

5 Août 2000, incendie criminel de la maison de Lucy Lowe 16 ans. L’incendie tue Lucy et l’enfant qu’elle portait, sa sœur, et sa mère. Le criminel Azhar Ali Mehmood, un chauffeur de taxi pakistanais, violait régulièrement Lucy depuis deux ans. Il la menaçait parce qu’elle annonçait qu’elle allait tout dévoiler à la presse locale. Elle avait été contrainte d’avorter plusieurs fois.

Les enquêteurs sont sceptiques, il s’agit d’un conflit de voisinage. Ils recoupent certaines affaires entre elles, des faits divers relevant de jeunes adolescentes blanches, voire fillettes, dans la même ville, victimes d’un viol collectif à la fin des années 1990. Les articles de presse décrivaient non des mineures, mais des femmes qui auraient été un peu forcées, un peu droguées, en échange de rapports sexuels. Le silence règne autour des agresseurs. Dans les années 2000, rien n’est très clair. On parle de jeunes prostituées volontaires, à l’image de Lucy, d’adultes qui auraient une emprise. La seule réponse des autorités, c’est la création de l’organisation Risky Business, pour faire de la sensibilisation sur l’exploitation sexuelle des jeunes Anglaises blanches.

En 2002, l’avocate Adèle Weir s’interroge sur ces faits divers qui n’ont aucun lien entre eux. Elle publie un rapport qui révèle l’existence à ROTTERHAM d’un vaste réseau d’exploitation sexuelle d’enfants et d’adolescentes. Elle détaille le nom des suspects, les numéros d’immatriculation des véhicules utilisés pour transporter les filles, le modus opérandi des viols et des pédophiles, les liens des suspects entre eux et avec des entreprises locales, et les connexions de ces pédophiles à la ville de ROTTERHAM. Le rapport met en évidence le rôle actif de la famille de Shahid Hussain, dans l’exploitation des jeunes filles. Tous les pédophiles sont des Pakistanais. C’est un scandale de classe mondiale.

A l’époque, le rapport passe inaperçu. Seule réaction: les autorités anglaises disent à Adèle Weir d’arrêter de mentionner l’ethnie des criminels. Grâce à l’organisation Risky Business, Adèle Weir a pu obtenir des centaines de témoignages qui décrivent le même mode de fonctionnement atroce, la même dynamique, les mêmes pédophiles et les mêmes victimes. Les victimes ont porté plainte, ont consulté les autorités et les services sociaux. Toutes ces structures ont renvoyé les victimes. L’ordinateur de Adèle Weir est piraté, ses fichiers sont supprimés. Les médias ignorent le rapport.

Jayne Senior, coordonnatrice de projet social, travaille pour l’organisation Risky Business. Elle continue de collecter des informations et des témoignages sur l’exploitation sexuelle dans la ville de ROTTERHAM, et aussi dans d’autres villes anglaises. Alors, Jayne Senior est bloquée par sa hiérarchie.

En 2003, la professeure Angie Hill est mandatée pour comprendre l’explosion du trafic de drogue et de la prostitution dans ROTTERHAM. Elle publie un rapport qui cible un nombre significatif de jeunes filles anglaises blanches, de familles pauvres ou en difficulté sociale, qui ont connu des viols de masse, de la pédophilie, et de l’extorsion sexuelle forcée. Elle explique que ces enfants sont enlevées par des adultes, droguées, prostituées et violées pendant des jours par des centaines d’hommes. Plusieurs victimes sont tombées enceintes, sont en dépression, forcées d’avorter.

Ce rapport explosif met en lumière toute une organisation criminelle et des viols de masse. Tout le monde est mis en cause: les autorités, les services sociaux, la police et les médias. Mais ce rapport est passé sous silence. On dissimule l’aspect communautaire des viols de masse et l’origine ethnique des pédophiles.

En 2004, la députée Anne Cryer soulève le problème, mais est traitée de raciste et reçoit des menaces de mort. Un documentaire aborde la question de la pédophilie raciste, les viols de jeunes blanches par des Pakistanais; ce documentaire est retiré des programmes après des pressions de groupe antiracistes.

Mars 2006. Angie Hill revient à la charge avec un nouveau rapport. Elle explique que la situation s’est dégradée depuis 2003, avec une explosion du nombre de victimes de viols collectifs et d’avortements forcés. Ces victimes sont menacées par des armes à feu pendant les viols, parfois déplacées vers d’autres villes, pour y être exploitées sexuellement, ce qui donne lieu à un trafic régional, sinon national. Les pédophiles organisent des veilles pour repérer des fillettes.

Le rapport émet des hypothèses sur l’inaction des pouvoirs publics. Corruption de certaines élites? Participation de certaines élites à ces viols collectifs? Crainte d’un soulèvement? Peur d’être accusé de racisme?

Silence absolu sur ces affaires, malgré des preuves parfois évidentes et des viols collectifs quotidiennement signalés.

En 2010, les choses bougent. Cinq hommes d’origine pakistanaise sont condamnés pour des faits de viol et de pédophilie sur des filles âgées de 12 à 16 ans. Les enquêtes révèlent que ces hommes n’agissent pas seuls et qu’ils sont membres d’un réseau très large, très bien organisé, impliqué dans l’exploitation sexuelle de nombreuses jeunes filles à ROTTERHAM. Les victimes sont repérées, choisies, et droguées pour ces raisons: la couleur de leur peau, leur vulnérabilité et leur appartenance à la culture chrétienne. Les peines pour ces cinq hommes vont jusqu’à plusieurs dizaines d’années d’emprisonnement. C’est un tournant parce que les verdicts sont publics.

Andrew Norfolk, journaliste,s se renseigne sur les condamnations de 2010, et les met en parallèle avec les deux rapports du docteur Angie Hill. Un trafic d’exploitation et de viol collectif de gamines dans sa région: on lui a volontairement dissimulé ces affaires. Norfolk commence ses investigations.

En 2011, il publie une série d’articles qui décrivent l’ampleur et l’horreur des viols de ROTTERHAM. Il révèle la complicité des autorités locales, de la police et des services sociaux. Il explique que tous étaient parfaitement au courant et n’ont rien dit, pendant plus de dix ans, par peur d’être accusés de racisme.

On parle d’enlèvement, de viols collectifs, d’avortements forcés, sur des gamines de 15 ans. Tous les pédophiles sont des Pakistanais. Les autorités sont mises en cause dans ces affaires, preuves à l’appui. On commence à comprendre qu’une autre ville a été victime de viols de masse sur des enfants et des adolescentes par des gangs de Pakistanais: c’est la ville de TELFORD d’où était originaire la petite Lucy Lowe.

En 2012, on juge publiquement d’autres affaires similaires. Neuf hommes pakistanais et un Afghan sont condamnés dans le cadre de l’affaire de ROCHDALE. Les victimes sont des filles blanches, issues de milieux défavorisés. Les agresseurs sont reconnus coupables de séquestration, de harcèlement et de viols collectifs, plus complot et traite d’êtres humains. Là encore, des plaintes avaient été déposées à la police et aux services sociaux en 2008.

Quand ils reçoivent ces plaintes, les services sociaux et la police les ignorent, ou pire encore, changent certaines dépositions. Quand les parents venaient dénoncer un viol collectif, on réécrivait la déposition en expliquant que cet enfant de 12 ou 13 ans consentait à son propre viol et que son histoire n’était pas crédible, ou qu’il s’agissait du témoignage d’une toxico.

L’affaire se passe dans le Nord-Ouest de l’Angleterre. Bientôt, toute l’Angleterre en parle, parce qu’une policière de l’unité de la protection des mineurs, Margaret Oliver, démissionne. Pour elle, on ne fait " qu’effleurer l’ampleur du trafic d’êtres humains dans l’enquête qu’elle a menée". Elle identifie 16 enfants dont certains sont morts et 97 auteurs dont seulement 3 sont traduits en justice. La hiérarchie était tellement incapable que pour identifier des violeurs, on faisait des tests ADN de fœtus issus d’avortements forcés sur des gamines.

Maggie Oliver, inspectrice de police, avait participé au rapport Augusta lancé en 2004, suite à la mort de Victoria Agolia 15 ans, violée et droguée plusieurs fois contre son gré, qui avait alerté les autorités. Les policiers et les travailleurs sociaux, de peur d’être accusés de racisme, avaient étouffé l’affaire et renvoyé la petite chez elle. La petite était morte d’une overdose deux mois plus tard. Cette affaire poussera Margaret Oliver à enquêter sur les viols collectifs, puis à participer activement à l’investigation qui amènera le procès de ROCHDALE.

Ce procès de ROCHDALE est un tournant: les gens commencent à comprendre l’ampleur du phénomène. Maggie Oliver démissionne, c’est une figure connue et reconnue dans ce genre d’affaire.

L’affaire de ROCHDALE. En fait, il y a eu une volonté explicite de modifier ou de faire disparaître des dépositions, il y a eu entrave à la justice, complicité. Pas de vagues et peur d’être accusé de racisme.

Deuxième avancée: la médiatisation grooming gang. Le grooming, sollicitation d’enfants à des fins sexuelles, ou pédoplégeage, vise à manipuler psychologiquement une victime pour l’amener à faire ce qu’on veut. Étymologiquement, le terme désigne uniquement une manipulation mentale, faire de quelqu’un son valet, et pas du tout ce qui s’en suit. Mais dans le cas des gangs pakistanais, un adulte se lie d’amitié avec un enfant dans le but de commettre des abus sexuels à son encontre. Les médias qui étaient partie prenante dans la dissimulation des affaires au début des années 2000, vont populariser ce terme qui minimise ces affaires. Ils ont tout intérêt à sous-estimer les faits, à cacher qu’ils sont passés à côté du plus grand scandale de viols collectifs et de traite humaine en Europe depuis la Seconde Guerre Mondiale. La société anglaise ouvre progressivement les yeux sur l’ampleur du crime commis sur son sol depuis 30 ans.

En Août 2014, le rapport Jay, non à l’initiative du gouvernement, révèle que 1 400 enfants ont été exploités sexuellement entre 1997 et 2013 à ROTTERHAM. Le gouvernement répond à la société civile qui réclame qu’on fasse la lumière sur ces abominations. Des activistes, des médias, des familles des victimes, les victimes elles-mêmes, accusent publiquement et nommément des conseillers municipaux et la police du South Yorkshire d’avoir ignoré ou modifié leurs plaintes, devenant matériellement complices de viols de masse.

Dans ce cadre-là, une experte en protection de l’enfance et ancienne directrice des services sociaux d’Ecosse, Alexis Jay, est mandatée pour examiner les accusations de ROTTERHAM. Tout le monde est au courant de ce qui s’est passé. Alexis Jay publie un rapport de 158 pages d’enquête sur l’ampleur des abus.

Entre 1997 et 2013, 1400 enfants, principalement des filles, âgés de 11 à 16 ans, issus de la classe ouvrière anglaise pour une écrasante majorité, avec un environnement social et familial relativement défaillant, sont victimes d’abus sexuels, de viols, et d’avortements forcés. Le modus operandi est souvent le même. Les pédophiles et les violeurs repèrent ces enfants à l’aide de leurs contacts ou via leur métier, des restaurateurs, des conducteurs de taxi. Ils les flattent et font connaissance avec eux. Ils leur proposent de l’alcool, du crack ou de l’héroïne. Les fillettes et les adolescentes, dans un engrenage infernal, doivent se prostituer face à des groupes d’hommes de 20 à 60 ans. Parfois plusieurs dizaines d’hommes les violent en une seule journée, voire plusieurs centaines dans la semaine. Une victime de 11 ans a eu la fesse marquée au fer rouge chauffé à blanc pour y mettre les initiales de son nouveau propriétaire, M pour Mohammed. D’autres filles ont eu la langue clouée sur une table, pour éviter qu’elles ne se débattent.

Les victimes sont violées avec des couteaux parfois. 84 % des agresseurs sont pakistanais. Ils recherchaient des fillettes blanches, cela leur permettait d’être en accord avec les principes de leur religion. La dimension religieuse est extrêmement importante dans ces viols de masse. Nombre des agresseurs citeront le Coran lors de leur procès. Un policier du West Yorkshire sera accusé d’avoir sexuellement attouché une adolescente en compagnie de 15 autres hommes entre 2006 et 2009. Les policiers de la région sont restés assez silencieux ou complaisants, cela se comprend.

Les agresseurs proviennent souvent d’une région très précise du Pakistan, le Cachemire. Ils sont membres du deobandisme, école de pensée musulmane religieuse sunnite fondée en 1867, qui prône le retour à une lecture littérale et rigoriste de l’Islam, qui voit les ennemis de l’Islam comme un peuple à soumettre par n’importe quel moyen, le viol de masse étant un parfait exemple. Certains experts voient dans ces agissements la traduction de ce mouvement religieux.

Le rapport Jay de 2014 est accablant pour les autorités qui ont sciemment ignoré les plaintes massives des enfants de 1997 à 2013. Pendant 16 ans, les plaintes ont été dissimulées, il y a eu des ordres de dissimulation. Des plaintes qui concernent des viols collectifs, des enlèvements, des passages à tabac, la traite d’enfants d’une ville à une autre. Les crimes les plus graves de la loi anglaise, avec l’activité terroriste.

Le rapport Jay met en évidence que des policiers ont volontairement fait passer des enfants de 11 ans comme des " prostituées consentant librement à l’acte sexuel". Ceci pour ne pas éveiller les soupçons. Les services sociaux et la police ont refusé de s’attaquer à ces affaires par peur d’être accusés de racisme et d’islamophobie. Cette peur allait du policier de base à l’assistante sociale, en passant par le conseiller municipal. Elle a entraîné une paralysie institutionnelle où les signalements pour des faits similaires étaient systématiquement ignorés, déformés, ou non suivis d’action.

Depuis 1998, les travailleurs sociaux ont reçu 35 rapports détaillés sur l’exploitation sexuelle d’enfants qui étaient sous l’autorité de ces mêmes travailleurs sociaux. Ils savaient que des gamines de leur propre centre se faisaient déglinguer le week-end par 20 Pakistanais, et protégeaient ces mêmes Pakistanais, le tout facilité par un manque de communication interne, entre les différents services, de la police à la protection de l’enfance.

Par peur des accusations de racisme, ces travailleurs sociaux et ces policiers ont facilité l’exploitation sexuelle des pédophiles pakistanais, grisés par leur propre liberté d’agir, même pendant les flagrants délits. L’impunité est connue des pédophiles. Les pédophiles et les violeurs prennent conscience qu’il ne leur arrivera rien. Dans les années 2006, se produit une explosion des agressions et des viols collectifs.

Les conséquences de ce rapport Jay sont très lourdes. La couverture médiatique est massive. La colère monte dans toute la société anglaise. Roger Stone, le chef du Conseil municipal est contraint à la démission.

A partir du rapport Jay de 2014, et à partir de 2015, tout s’accélère. L’activiste Tommy Robinson produit des reportages et des vidéos sur les grooming gangs, ce qui contribue à faire sortir ces scandales de la sphère locale.

Pendant le réveillon 2014-2015, un autre événement a lieu: la nuit de Cologne. Par crainte d’être accusés de racisme, des policiers et l’administration allemands laissent, voire favorisent le viol de femmes allemandes. L’activisme de Robinson et le rapport Jay inspirent le think tank Quilliam.

En 2017, Quilliam publie un rapport appelé "Group Based Child Sexual Exploitation". C’est une gigantesque étude sur l’ensemble des viols de masse et sur la pédophilie liée à ces affaires.

Le rapport confirme que 84 % des délinquants sont sud-asiatiques alors qu’ils ne représentent que 7 % de la population britannique.

Pendant ce temps, à TELFORD, on commence à enquêter. En Mars 2018, les enquêteurs du Sunday Mirror révèlent que depuis les années 1980, 1000 enfants ont été victimes de viols collectifs, d’agressions sexuelles et d’exploitation sexuelle. Les autorités sont accusées d’avoir ignoré et modifié les plaintes, et parfois même, d’avoir protégé sciemment les agresseurs. Les raisons sont toujours les mêmes: la crainte d’être accusé de racisme.

Une note interne à la police de TELFORD suggère que les relations sexuelles sont consenties, voire demandées, y compris quand les victimes sont âgées de 11 ans, et qu’il faut prouver le contraire. Si une gamine explique qu’elle vient de se faire violer collectivement, ou les parents, la gamine doit apporter la preuve. Ainsi, on traitera Becky Watson, victime d’un viol à 11 ans, avant de mourir à 13 ans, ou Vicky Round, abusée par le même gang, addicte au crack, et qui décédera d’une overdose à 20 ans.

Dans son article, le Sunday Mirror révèle des anecdotes de fous furieux, corroborées par certaines victimes et certains membres de l’aide à l’enfance. Par exemple, quand la police arrivait et prenait des vieux en flagrant délit sur une gamine, elle embarquait la gamine pour ivresse et trouble à l’ordre public. Une mère va voir l’assistante sociale et se plaint que sa fille de 14 ans pleure et a mal aux parties intimes. Réaction: l’assistante sociale prétend que la mère n’est pas capable d’accepter que sa fille grandisse.

On raconte aussi plusieurs mariages à Bradford: des gamines de 13-14 ans sont mariées de force à leur violeur lors de mariages islamiques traditionnels, en présence de leur assistante sociale. Cette dernière expliquera avoir tout fait ce qui était en son pouvoir pour que les parents de la gamine aient la garde de l’enfant à naître, et non le nouveau mari. ABOMINATION.

L’affaire de ROCHDALE condamnait 9 Pakistanais. Une autre affaire éclate et condamne 20 Pakistanais pour des crimes d’exploitation sexuelle sur des jeunes filles blanches: racolage, viols collectifs, silence des autorités, protection des pédophiles par peur des accusations de racisme C’est l’affaire HUDDERSCHEID.

Durant la période 2018 à 2024, la fondation Tommy Robinson va s’occuper de la prise en charge, de l’écoute, et de la gestion humaine des innombrables victimes des gangs pédophiles de Pakistanais. Du côté de l’Etat, on ne fait pas grand-chose. L’enquêteur Dan Hodge montre et prouve que des fonctionnaires britanniques ont modifié le rapport du ministère de l’Intérieur de 2020, pour y enlever les éléments raciaux, y compris les explications racistes qui provenaient des violeurs et des pédophiles eux-mêmes. Par exemple, on l’a fait parce que la gamine était blanche et d’ascendance chrétienne. Ils supprimaient cela du rapport.

Grâce aux travaux d’associations de victimes, de journalistes indépendants, de la société civile, on a des estimations copieuses. En 2022, sky news révèle que le Metropolitan Police Service, donc Scotland Yard a refusé de traiter entre 70 et 90 % des affaires liées au trafic d’êtres humains quand l’accusé était autre chose qu’un blanc.

Là encore, des histoires connues de tous, notamment de la police, mais dissimulées par peur d’être accusé de racisme ou d’islamophobie.

La presse locale ne met pas en perspective les viols collectifs et l’esclavage sexuel avant 15 ans.

Les journalistes ont sciemment préféré un traitement localisé, ville par ville. Ce faisant, ils ont fragmenté chacune des affaires en expliquant qu’il n’y avait aucun lien entre elles. Une fille a été violée par 15 hommes, on passe à l’affaire suivante.

Avant 2015, quand un politique ou un activiste tentait d’aborder un de ces sujets, on lui disait: tu abuses, il n’y a eu qu’une affaire. Mais elle avait été isolée, pour qu’on ne voie pas la traduction d’un problème global. Les filles étaient toujours blanches, les agresseurs toujours pakistanais. Il y avait un aspect religieux certain dans ces viols, une volonté de nuire au blanc parce que blanc. Il y avait une dissimulation des autorités par peur du racisme. Il y avait un système organisé autour de ces violeurs, autour de ces violées, et autour du traitement médiatique de ces viols. En 2015, on est plus de 20 ans après le début du système de viols et de prostitutions forcées.

Pendant ce temps, on n’a pas mis en lien des affaires de viol, on n’a pas su protéger de potentielles violées, on a perdu du temps.

Sarah Wilson raconte son calvaire: " Je pense que j’ai été violée par environ 150 hommes sur cette période de trois ans, parfois 10 ou 11 hommes voulaient me violer en une seule journée". Elle a été vendue à un gang voisin. Les violeurs expliquent vouloir baiser une pute blanche. Elle enregistre les discussions avec son téléphone: " Tu étais où salope, tu nous fais perdre de l’argent. – Je suis désolée, j’avais des problèmes là où je vis. – Beaucoup de mecs qui t’ont baisée te demandent, ils veulent baiser une pute blanche. – Je ne suis pas une pute. – Si, tu es une pute. Tu sais ce qui va arriver si tu ne viens pas, on va te mettre dans un van et te frapper et t’amener à Hessle pour te brûler vivante et t’enterrer à côté de l’eau. – OK, je viendrai. – C’est bien salope". Ces viols sont évidemment filmés et montrés aux victimes. L’une des vidéos où la jeune Sarah de 13 ans se fait violer s’appelle: "Une jeune Anglaise se fait baiser contre son gré".

Les jeunes filles de la classe ouvrière sont forcées de regarder des vidéos de viol, menacées d’être brûlées vives, aspergées d’essence, pour les contraindre à avoir des rapports sexuels avec ces Pakistanais.

Dans un livre, Sarah Wilson explique l’intégralité de son parcours et met en cause plusieurs criminels. Elle s’adresse directement au public. Elle a donné ces témoignages à la police et aux services sociaux, mais n’a pas été entendue. La seule manière d’être entendue, d’être audible, c’est de s’adresser directement aux Anglais, via ce livre.

Une anecdote symbolise toute l’affaire. En 2008, face à l’ampleur du drame humain qui est en cours, la protection de l’enfance commande un film de sensibilisation pour alerter les jeunes filles de ne pas tomber dans l’escarcelle des grooming gangs. Le film a été censuré par les autorités. Pourquoi? Celui qui joue l’agresseur est d’origine pakistanaise.

Donc pour sensibiliser un jeune public à des viols de masse par des Pakistanais couverts par des autorités, on censure un film qui met en scène un Pakistanais violant une jeune anglaise. Toute la matrice est là. A ce moment-là de l’histoire, c’est la vérité.

Elon Musk intervient dans cette affaire. Depuis 2024, il suit avec intérêt l’actualité britannique. En Août, il critique ouvertement le premier ministre Keir Starmer. En Décembre 2024, il annonce vouloir soutenir financièrement le parti de Nigel Farage, dans l’objectif de l’aider à devenir premier ministre. Fin Décembre 2024, début Janvier 2025, il commence à mettre la main dans le tonneau de merde de cette histoire de pédocriminalité pakistanaise. Il parle du pire crime de masse de l’histoire de la Grande Bretagne et soutient activement Tommy Robinson, la figure militante de la défense des victimes. Musk poste des témoignages de certaines agressions. Il s’en prend à la ministre et à la députée chargée de la lutte contre les violences faites aux enfants: "Pourquoi êtes-vous silencieuses sur l’exploitation des enfants de votre propre pays?"

Musk explique que ces élites ont caché les scandales. Et les responsables doivent être traduits en justice pour inaction et échec moral.

Jess Philips, ministre pour la Protection de la jeunesse, répond que les victimes ont besoin de justice, pas de tweet populiste d’un milliardaire éloigné.

Quand on vient d’aborder toutes ces abominations, quand on sait ce qui s’est passé pendant vingt ans, ce que des dizaines de milliers d’enfants anglais ont subi, le tweet de Musk ne choque pas. D’ailleurs, Elon Musk permet à cette affaire d’avoir la médiatisation qu’elle mérite.

Si un tweet de Musk fait plus de bruit et fait plus réagir Jess Philips que des dizaines de milliers d’enfants violés collectivement dans des chambres par des pédophiles pakistanais, c’est qu’on est déjà moralement et humainement mort.

On reproche à Musk de l’ingérence. Or, l’ingérence consiste à s’occuper d’affaires théoriquement et politiquement du ressort de l’Etat central en question. Dans ces affaires d’exploitation sexuelle, c’est précisément ce que l’Etat n’a pas fait. L’Etat britannique a délibérément mis sous le tapis cette affaire, il ne peut pas reprocher à Elon Musk d’en parler.

Un crime systémique rentre dans un crime de guerre d’une envergure sans précédent. ROTTERHAM, TELFORD, sont connus, mais de nombreuses municipalités ont connu le même sort, ROCKDALE, OXFORD, NEWCASTLE, OTHERERSFIELD, BRADFORD, CYLEY, HALIFAX, BRISTOL… À chaque fois, des centaines de victimes. On connaît l’existence de gangs dans 27 municipalités, ils ont été jugés. On a relevé des situations de viols collectifs, de harcèlement humain, de traite humaine dans ces 27 municipalités.

Les plaintes et les jugements nous amènent au minimum à 3 658 victimes. Mais sous la contrainte et la peur des représailles, on peut légitimement abaisser ce chiffre à 10%. Et des plaintes n’ont pas été comptabilisées. A ROTTERHAM, 70 à 90 % des plaintes sont passées sous silence.

Donc ces deux paramètres essentiels montrent que les 3 658 victimes reconnues ne sont qu’une infime partie de l’iceberg. Le National crime agency et d’autres recherches tablent sur plusieurs dizaines de milliers de victimes, partout au Royaume Uni. Les calculs du rapport Jay, de l’opération Augusta sont terrifiants. En partant des victimes connues, on estime que 10% des plaintes sont reçues, ce qui nous amène déjà à 36 580 victimes.

Si on estime qu’une gamine sur deux n’a pas porté plainte par peur des représailles, le nombre de cas réels est multiplié par deux, soit 73 160 victimes environ.

Et si la dissimulation persiste, une fois que la plainte est sur le bureau des autorités, on peut penser qu’au moins 35 % des cas ont été volontairement dissimulés. Le chiffre reconnu aujourd’hui par les experts est de 97 000 victimes de viols collectifs. C’est une estimation basse puisqu’on estime que 10 % des plaintes sont reçues, que 50 % des fillettes sont allées porter plainte, et que 35 % des cas sont dissimulés par l’administration.

Or les notes internes dans les commissariats et la pression des activistes antiracistes avaient un poids bien plus lourd à l’époque. The Indépendant table sur un minimum de 76 024 victimes.

Dans une déclaration à la Chambre Haute, Lord Malcom Pearson parle de 250 000 victimes.

Alan Craig, le candidat à la mairie de Londres, parle d’un holocauste des enfants anglais.

La députée de ROTTERHAM, Sarah Champion, parle de près d’un million de victimes. Elle explique que ces viols collectifs sont légion, qu’ils perdurent encore aujourd’hui. Il y a encore des centaines de milliers de victimes d’exploitation sexuelle dans tout le pays, jusqu’à 1 million. Elle parle d’une catastrophe nationale sans précédent.

Mais on oublie les morts directes ou indirectes causées par ces gangs de pédophiles, couverts eux aussi par l’antiracisme et par l’administration. On peut évaluer à 1 ou 2 % de gamines mortes par overdose, d’une fausse couche, par suicide, ou encore tuées par leur violeur: une fourchette de 1000 à 3000 morts en l’espace de vingt ans.

Cette affaire constitue le plus gros crime sexuel depuis la Seconde Guerre mondiale en Europe.

Ce qui est prouvé, écrit et raconté: la motivation principale pour taire ces affaires a été l’antiracisme, la peur d’être traité de raciste. Cette idéologie d’aspect totalitaire est complice d’un crime de masse. Ceux qui menacent d’accuser ou qui vivent en accusant les autres de racisme ont du sang sur les mains puisqu’ils ont entraîné en Angleterre des viols et une exploitation sexuelle de masse sur des enfants. En créant un climat de peur, ils ont participé à ces viols et à cette prostitution de masse.

En sociologie, on utilise très souvent le concept de continuum. Ce concept est parfaitement et doublement adapté à cette affaire. Le continuum est défini comme un phénomène progressif dont on ne peut considérer une partie que par abstraction. On part d’une idée apparemment positive, combattre le racisme, promouvoir la diversité, et on aboutit à des viols de masse.

Entre ces deux points, l’antiracisme est devenu une idéologie totalitaire. Dans un premier continuum, tout ce qui remettait l’idée initiale en cause était interprété comme raciste. Donc, critiquer des problèmes spécifiques liés à certaines communautés, en l’occurrence la communauté pakistanaise, devenait impossible, perçu comme une attaque contre l’ensemble d’un groupe, ce qui n’a pas de sens. Les informations collectées sur ces gangs de violeurs pakistanais ont été apportées par des filles d’origine pakistanaise, donc musulmane, qui avaient déjà subi au Royaume Uni ou au Pakistan les mêmes attaques. L’antiracisme devient progressivement une idéologie totalitaire. Comme toute idéologie totalitaire, elle interdit aux individus de questionner un réel en contradiction avec son idéologie.

Un deuxième continuum intervient, beaucoup plus pernicieux. Quand on demande à des individus dans des petites administrations de campagne, à des travailleurs sociaux, à des petits policiers, pourquoi ils ont agi ainsi, ils répondent, c’est un peu un mélange d’égoïsme et de terreur. A leur échelle individuelle, ils n’ont pas conscience que, avoir fermé l’œil sur une affaire ou une déposition, cela allait avoir un impact. Ils sont terrorisés par la pression sociale et institutionnelle. Ils se disent que le jeu n’en vaut pas la chandelle. Mais si on additionne chaque renoncement individuel, chaque petit chantage moral sur ces individus, on aboutit à la plus grande affaire de pédocriminalité depuis la Seconde Guerre Mondiale.

Le premier continuum, c’est la métamorphose de l’antiracisme vers une idéologie totalitaire qui entraîne un deuxième continuum, lui aussi très progressif: renoncement par renoncement, petit à petit, on obtient une paralysie collective, une complicité systémique des institutions, et au final, le sacrifice de dizaines de milliers de gamines.

Pour ces gens-là, l’accusation de racisme valait bien le viol collectif d’une gamine. Les conséquences sociales d’une accusation de racisme pour des agents, donc l’ostracisation des cercles sociaux, le risque de licenciement, la réputation, le petit confort individuel auquel on renonce quand on dit la vérité … tout cela valait bien le viol collectif d’une gamine par 12 Pakistanais.

C’est exactement le même ressort que l’attentat au concert d’Ariana Grande, à Manchester, en 2017, qui tue 22 personnes. Un vigile avait refusé d’interpeller un terroriste, par peur d’être perçu par ses collègues comme raciste. Les autorités allemandes ferment les yeux et minimisent les viols de masse lors de la nuit de Cologne en 2015.

Les Pakistanais ont une culture misogyne, raciste envers les minorités, très dure envers les femmes, avec un fort taux de mariages d’enfants, de mariages forcés, des résolutions de viol ou d’agression sexuelle.

Les gens reprochent leurs actes à ces gangs pakistanais. Carl Schmitt, juriste allemand (1888-1985), distingue entre l’ami et l’ennemi. Le monde est composé d’amis et d’ennemis. Ceux qui participent à un viol collectif de gamines pendant 30 ans sont des ennemis. Il faut combattre ces ennemis, protéger les innocents.

Mais on ne peut pas reprocher aux ennemis d’avoir agi en ennemi, puisque c’est leur principe même. Ces gens-là sont en guerre contre nous, contre notre civilisation.

Les viols de masse et l’esclavage sexuel sont des symptômes de crimes de guerre. Les Pakistanais veulent soumettre une population et terroriser l’environnement. C’est le préalable ou le corollaire d’une conquête. Si on individualise trop cette affaire, on ne voit pas l’aspect collectif, l’aspect territorial et guerrier de ces crimes.

Dans la chaîne de responsabilité, l’ennemi est tout aussi responsable que celui qui nous fait vivre et cohabiter avec l’ennemi, celui qui protège l’ennemi, celui qui participe à un climat de terreur antiraciste, celui qui nous empêche de nommer l’ennemi. L’omerta autour des viols collectifs en Grande Bretagne a duré plus de vingt ans. Elle a touché plusieurs générations de victimes, d’agresseurs et de professionnels. L’omerta a traversé le temps. L’omerta a infiltré tout le monde.

La peur d’être accusé de racisme a touché les travailleurs sociaux, la police, les administrateurs locaux, les médias. Tous étaient animés par une seule et même peur. Le temps de l’omerta et la généralisation de l’omerta prouvent l’omniprésence et l’omnipotence de l’idéologie antiraciste qui dure et touche tout le monde. Hannah Arendt parlerait de totalitarisme. L’idéologie de l’antiracisme a les caractéristiques du totalitarisme. Elle dure dans le temps, malgré la vérité. La peur qu’elle instigue touche tout le monde, avec la même puissance et la même violence. Elle fait taire des gens censés sur le viol collectif de gamines.

L’idéologie a réussi à infiltrer aussi puissamment et aussi longtemps l’ensemble de la société anglaise, parce qu’elle est le produit de la classe dominante occidentale. Cette affaire opposait des gens détestés par la classe dominante occidentale, à savoir la classe ouvrière blanche des villes moyennes, aux protégés de la classe dominante, les Pakistanais, la diversité qu’ils représentent. Ces jeunes filles blanches n’avaient aucune chance.

Ces viols de masse pourraient-ils arriver en France? Les Français et les Anglais ont deux modes d’intégration radicalement différents. En Angleterre, il n’y pas vraiment d’intégration, les différents groupes vivent de manière parfaitement isolée et indépendante les uns des autres.

Première conséquence. Un Pakistanais vit en Angleterre comme il vivait au Pakistan, il a juste déplacé géographiquement son mode de vie.

Deuxième conséquence. La cohésion sociale est moins développée puisque chaque individu vit dans sa propre communauté, sans avoir aucune interaction avec l’extérieur et avec les autres communautés. Il ne développe pas ce que Robert Putnam, professeur américain, né en 1941, appelle l’empathie pour les autres communautés, empathie qui crée la cohésion sociale. Le migrant anglais ne connaît pas les autres communautés, il ne va pas dans les mêmes écoles, il va dans les écoles communautaires, au sein d’un quartier ethniquement et culturellement homogène, écoles qui reproduisent les dynamiques importées depuis le pays d’origine.

En France, pendant très longtemps, on a pensé assimilation et identité commune. Jusque dans les années 1990, les communautés vivaient ensemble. L’Etat restait l’interlocuteur majoritaire, très centralisé, ce que Raymond Aron appelait une structure protectrice face aux dérives locales.

Les gangs ethniques en autarcie totale, c’était inimaginable en France pendant très longtemps.

Puis l’archipélisation est passée par là, l’esprit communautaire américain et britannique est en train de s’immiscer dans l’esprit français. Le mode de vie communautaire apparaît, il choque parce qu’on n’est pas habitué, parce que ce n’est pas notre tradition. Mais il est en train d’apparaître. Certains quartiers fonctionnent aujourd’hui comme des enclaves, à Marseille, en Seine-Saint-Denis.

Il pourrait y avoir des dynamiques de prostitution de grande ampleur sans qu’on en soit conscient. Ainsi, la vidéo de Marie S’infiltre, comédienne humoriste, née en 1991, sur les femmes dans les banlieues, vidéo qui montre des culottes dans les caves: les dynamiques de prostitution plus ou moins contraintes, plus ou moins tolérées, sont déjà en cours. Sans parler des réseaux exclusivement communautaires, avec des réseaux de prostitution pakistanais, des réseaux de prostitution nigériens, des réseaux de prostitution comoriens, des réseaux de prostitution à Marseille, à Nantes, à Lyon, ou des réseaux de proxénétisme aggravés en Seine-Saint-Denis.

Donc on a un terreau fertile au niveau des violeurs et de l’ambiance de délitement de la cohésion sociale. Est-ce qu’en France, l’administration, la police, les médias pourraient couvrir ce genre d’affaires de viols collectifs, de proxénétisme forcé, par peur d’être accusés de racisme? Car l’antiracisme est en jeu. La réponse est malheureusement oui.

L’être humain a une faculté naturelle à se conformer au groupe. On le sait depuis l’expérience de Stanley Milgram en 1961. Le désaccord avec le groupe nous expose à la solitude, ce que notre cerveau perçoit comme une mise à mort.

En France, l’idéologie antiraciste dont l’arme principale est la mise à mort sociale, est bien plus puissante qu’on ne le croit. On baigne dedans depuis l’enfance, ce qui n’est pas le cas de tous les Anglais. En France, dès l’école primaire, on apprend que la diversité est une chance, on apprend que le racisme est le pire des crimes possible, on apprend qu’on ne doit jamais s’opposer au multiculturalisme, on apprend le vivre-ensemble. Inconsciemment, quand on regarde la télévision, quand on écoute les artistes, les chanteurs, les auteurs, les journaleux, quand on feuillette la publicité, on est exposé à cette idéologie.

Même si on pense que cette idéologie ne nous atteint pas, on se trompe. Par exemple, qui assume publiquement ce qu’il pense, ce qu’il a voté? Qui est à visage découvert vis-à-vis de sa véritable pensée politique? On est tous confrontés aux dynamiques de peur et d’exclusion sociale. Combien seraient capables de taire un petit événement par peur d’être accusé de racisme?

Cette accusation de racisme a été puissante pendant les élections présidentielles et législatives.

Le système rhétorique des mondialistes est extrêmement bien rôdé. Les journaleux définissent que le racisme est le crime suprême, et ils définissent en même temps qui est coupable du crime suprême. On accepte les règles et le cadre défini par l’adversaire, donc on perd à tous les coups.

Le cadre de l’affaire des viols est en train d’arriver et un discours antiraciste terrorise tout le monde. Les médias attendent que le traitement de l’affaire n’entraîne aucune discrimination possible. Ils attendent de savoir si c’est possible de parler d’une affaire avant d’en parler. La seule discrimination possible concerne les catholiques, les Blancs et les Français.

Si la classe dominante occidentale avait voulu se saisir de l’affaire des viols de TELFORD ou de ROTTERHAM, cette affaire aurait fait un bruit énorme: 1000 fois plus de victimes que dans l’affaire d’Epstein, 90 000 fois plus de victimes que dans l’affaire Muriel Pélicaud.

Pourquoi ce traitement différencié de l’actualité? L’actualité médiatique n’est pas faite par les lecteurs ou les auditeurs, mais par la classe dominante.

Il y a remédiatisation de l’affaire des gangs pakistanais parce qu’Elon Musk a parlé de cette affaire, a insufflé un récit alternatif.

Le Nouvel Observateur nous dit: " Le scandale de pédophilie de TELFORD fait le miel de la fachosphère". On est témoin de milliers de viols de mineures par un gang de Pakistanais. Le premier réflexe est de savoir à qui profite la médiatisation de cette affaire. Cette réaction signifie que Le Nouvel Observateur et ses journaleux font partie du problème.

Retranscription écrite d’une vidéo de Georges

Samedi 11 Janvier 2025. Ivor Caplin, ancien député travailliste, ancien ministre, ancien président du Mouvement travailliste juif, qui a critiqué Elon Musk à la télévision britannique la semaine précédente pour ses propos sur Keir Starmer, a été arrêté à la suite d’une opération d’infiltration menée par des chasseurs de pédocriminels. Caplin aurait tenté d’organiser une rencontre avec un garçon de 15 ans, après avoir discuté avec lui sur Facebook.

Sur son compte X, Caplin se manifeste comme homosexuel et " patron LGBT". Il fait preuve d’activisme en ce domaine: sermon contre l’homophobie, participation à des émissions gay, exposition de son bar gay préféré. Et il déclare: "J’aime le fait que les parents soient heureux d’amener leurs enfants à la Gay Pride à tout âge".

Il avait été suspendu du Labour Party en Juin 2024 pour des raisons restées confidentielles, "pour de sérieuses allégations". Il avait " tweeté des images de plus en plus explicites de jeunes hommes, allant de photos à moitié nues à des vidéos pornographiques".

Thierry Breton, les ministres, les entités en place dans nos gouvernements sont violents à l’égard d’Elon Musk, veulent absolument bloquer X. Pourquoi?

Elon Musk vient de livrer la liste de cinquante pédophiles appartenant à un groupe politique britannique très important. Cette liste est ouverte à tous, elle a été diffusée, chacun peut la consulter. Cela ouvre la voie à la fin de la pédophilie, en tout cas par les élites. C’est pour ça que ces gens ne veulent pas d’Elon Musk, essentiellement pour ne pas être révélés aux yeux du public, et pour que leurs saloperies ne soient pas connues. Des affaires financières se cachent-elles derrière ces turpitudes?

Andrew Bridgen, un ancien député dénonce le trafic d’enfants et les meurtres d’enfants en Grande Bretagne. Il confirme que des centaines d’enfants sont victimes de la traite sexuelle au Royaume Uni et vendus à des pédophiles impliquant des noms très connus. Le M I 5 ou M I 6 aujourd’hui, la NCA, National Crime Agency, agence de lutte contre le crime organisé, n’agissent pas. Des enfants sont utilisés dans le commerce du sexe pendant trois ans environ, puis leurs organes sont prélevés. On retrouve les restes dans la viande des fast-food, dans les boîtes pour chien. Ce n’est pas du complotisme. Dans une grande ville américaine Seattle, on a trouvé la personne qui fournissait la viande des Mac Donald et on a trouvé des restes humains. Une certaine quantité a été mélangée à de la viande de bœuf. Si on fait cela avec Mac Donald, on peut supposer qu’on le fait aussi avec d’autres.

Andrew Bridgen déclare que quelque chose ne va pas au Parlement britannique. Il déclare que la pédophilie a sévi à Leicester, qu’il a transmis au gouvernement britannique les détails des personnes qui se livrent à ce trafic d’enfants, les noms de toutes ces personnes, et comme par hasard, aucune institution ne souhaite agir. Il affirme qu’il s’agit d’une grande opération qui implique des centaines et des centaines d’enfants. Ces enfants sont transportés par avion dans des petits aéroports. Les pédocriminels ont mis en place ce système pour transporter les enfants de la pédophilie en toute discrétion, ainsi, ils n’empruntent pas les grands aéroports très fréquentés.

Andrew Bridgen a donné au gouvernement britannique les noms des personnes et le nom de la société par laquelle ces personnes blanchissent l’argent reçu à travers ce trafic. Il a indiqué l’endroit où les enfants étaient emmenés, pour que l’on prenne des photos. Les enfants pensaient qu’ils allaient à l’école. Ils ont été vendus à des pédophiles. Cette information a été envoyée au M I 6, et à l’agence nationale de lutte contre la criminalité, mais personne n’agit.

Pour ne pas enquêter, les agences de police, les institutions de santé, censées protéger les citoyens se renvoient la balle: c’est pas moi, c’est l’autre. Andrew Bridgen affirme: dès que vous prenez connaissance des noms des personnes en place, vous comprenez pourquoi ils ne vont pas agir, ce sont des noms connus.

Des enfants innocents sont violés pendant des années, et lorsqu’ils sont épuisés, on prélève leurs organes et on les assassine de la manière la plus atroce qu’on puisse imaginer.

Il faut que l’humanité entière pousse un cri de protestation et d’indignation comme jamais auparavant pour empêcher que ce mal atroce ne se reproduise à des centaines d’autres enfants innocents. Vous devez exiger que le gouvernement britannique enquête et poursuive en justice tous ceux qui sont impliqués dans ces atrocités, contacter le M I 6, l’agence nationale de lutte contre la criminalité, les députés locaux, et réclamer des enquêtes et le sauvetage de ces enfants.

Andrew Bridgen a les preuves, les lieux, les noms des personnes impliquées dans ces opérations de traite d’enfants au Royaume Uni, mais il a besoin du soutien de la population et de sa protection. Le seul espoir pour ces enfants est notre voix forte et unie. Nous ne pouvons pas nous reposer tant que chaque enfant n’a pas été sauvé, avant que tous les criminels impliqués n’aient pas été mis derrière les barreaux à vie.

Cela ne se passe pas uniquement en Grande Bretagne. En Amérique, les Clinton et autres sont liés dans ces affaires. Ils ont fait la même chose aux Etats-Unis. C’est pourquoi Trump s’est battu pour libérer une partie de ces enfants, pour dénoncer ces trafics. Mel Gibson se bat également pour cela. Son acteur fétiche qui a joué dans La Tentation du Christ aussi.

Cette histoire concerne la Grande Bretagne, les Etats-Unis, et aussi la France, l’Italie, l’Espagne. Tous les trafics d’enfants sont abominables. En France, des gens courageux se sont engagés à retrouver des enfants qui ont été kidnappés pour servir d’objets sexuels à des malades mentaux, à des salopards. En France, nous avons eu des affaires similaires, comme l’histoire du Coral où Mr Jack Lang aurait été sérieusement impliqué, ainsi que le parti socialiste. Roger Holeindre avait témoigné et avait révélé cette affaire dramatique, ne supportait pas ces horreurs commises sur des enfants.

Souvent, ces faits se produisent dans des classes sociales inférieures, avec des gens qui ne savent pas se défendre, qui ne connaissent pas la loi, qui font confiance à l’autorité. Or, on ne peut plus faire confiance à cette autorité. Parfois, les prédateurs kidnappent les enfants aussi dans des classes moyennes, un peu supérieures, pour faire taire le père ou la mère qui a des informations, pour les tenir ainsi en otage. Le plus souvent, ça se termine en drame, comme Andrew Bridgen l’a expliqué.

C’est pourquoi, tous ces gens veulent supprimer X et Elon Musk. Ils sont tous concernés, ils savent la vérité, ils sont complices de ces crimes contre les enfants. Cessez d’écouter et de valoriser ces voix. Il faut arrêter de critiquer Elon Musk sur ce sujet. Actuellement, Donald Trump et lui sont les seuls hommes politiques qui se battent pour défendre les enfants kidnappés, violés, dans les trafics sexuels.

Bientôt, Elon Musk va libérer la liste Epstein. Elle ne concerne pas que les Américains, les Français aussi. C’est pour ça qu’aujourd’hui, ils crèvent tous de trouille. Le monde change.

Tous ces événements ont un point commun: la pédocriminalité. D’autres affaires liées à la pédocriminalité ont émaillé l’histoire de ces dernières années: le CD Rom de Zandwoort, le Coral, Jimmy Saville, prédateur sexuel et pédophile anglais (1926-2011), l’affaire Marc Dutroux, l’affaire Jeffrey Epstein, l’affaire Puff Daddy, de son vrai nom Sean Combs. Et combien d’autres. Marc Dutroux n’était pas un prédateur isolé, mais un pourvoyeur de dirigeants bien placés.

Ces affaires se manifestent par des enlèvements d’enfants, des agressions sexuelles, des viols collectifs, de la pédocriminalité, des actes de torture, des menaces de mort, des morts réelles, directes ou indirectes.

Les responsables sont de deux sortes. D’une part, des migrants issus de communautés diverses, pakistanais, afghans, asiatiques, maghrébins, africains… D’autre part, des membres des élites occidentales, principalement des Anglo-Saxons et des Français.

Ces événements sont étouffés et leurs auteurs bénéficient de la protection des juges. Silence médiatique, rien ne doit sortir, une omerta totale règne. Les policiers, les travailleurs sociaux, les municipaux, se taisent. Les femmes et hommes politiques couvrent tous ces agissements. Tous ont peur d’être accusés d’antiracisme. Et les " élites " qui sont impliquées ont tout intérêt à imposer la Loi du silence, politiciens, magistrats, juges, journaleux, policiers véreux… Ils sont corrompus et compromis dans des affaires sexuelles abominables et se tiennent par la barbichette.

Et tous ces oligarques mondialistes font un choix idéologique, un choix ethnique: les gens de couleur contre les Blancs, contre les classes pauvres et moyennes. Ce sont eux qui font preuve de racisme et qui mettent en oeuvre la discrimination, discrimination des Français blancs de souche et pauvres.

Enfin, ces affaires traduisent l’état de décrépitude et de dégénérescence morale qui affecte notre époque. Les Esprits Supérieurs veulent absolument conserver le pouvoir et instituer le gouvernement mondial. Ils forment leurs représentants à l’immoralité, dès le plus jeune âge, des agents, des émissaires qui appliqueront plus tard et cyniquement leur programme.

Jean Saunier

 

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