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Quand une population ne fait plus d’enfants, elle ne peut que disparaître

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"Quand une population ne fait plus d’enfants, elle ne peut que disparaître". Et la solution, bien entendu, n’est pas que les femmes de cette population se fassent engrosser par des hommes venus d’autres civilisations.

Cela d’ailleurs devrait être considéré comme une menace pour cette population et pour sa civilisation. C’est d’ailleurs une menace. Souvenez-vous de cet avertissement: en avril 1974, le président de la république algérienne, Houari Boumediene, prévenait l’Europe du projet de transplantation de peuple qui se préparait: "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront là-bas pour le conquérir, et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire".

Depuis quelques années, nous assistons à la revanche de ces peuples que nous avons colonisés, de la guerre d’Algérie.

Nous devenons la colonie de nos anciennes colonies!

La colonisation a changé de sens, l’expression coloniale: aller du Nord au Sud, s’est retournée. Elle est devenue du Sud au Nord.

Et comme si ce n’était pas suffisant, nous subissons également l’envahissement d’une jeune migration venue de l’Est: Afghanistan, Turquie, Syrie, Tchétchénie, et j’en passe.

Nous sommes les témoins impuissants de cette invasion lente, qui se veut pacifique, qui ne rencontre aucune résistance et qui quelquefois nous agresse physiquement.

Je dirai même que les attentats terroristes, les agressions sexuelles, viols, crimes, etc. qui se produisent contrecarrent momentanément cet objectif élaboré de longue date!

Dans la vision progressiste voulue par l’Union européenne, l’immigration n’est pas seulement tolérée et acceptée, elle est voulue et programmée: l’ONU a donné instruction à l’UE d’appliquer le principe de la Replacement migration (La migration de remplacement).

L‘Europe, selon l’ONU, a besoin de cette migration pour éviter le vieillissement inévitable de sa population, qui résulte des taux bas de fécondité et de mortalité. Pour cette organisation mondialiste, le déclin est inévitable en l’absence d’une migration de remplacement.

Ce scénario migratoire vise au maintien du ratio: "3 actifs pour 1 retraité" et cela commande de faire rentrer au sein de l’Union européenne 153,6 millions d’immigrants entre 2015 et 2040, au rythme d’une moyenne de 6,1 millions par année.

Pour la France, ce scénario de l’ONU préconise une rentrée d’environ 16 millions de migrants jusqu’en 2040.

Cette directive de l’ONU est reprise en France par une note officielle de l’INED (Institut National des Etudes démographiques), en date du 6 avril 2016. Elle préconisait le recours à une immigration massive et indiquait: " La crise démographique va prendre de l’ampleur et les migrations de remplacement feront partie des réponses de l’Europe à sa situation démographique".

Cette importation massive de population équivaut à un véritable remplacement du Continent. C’est devenu une priorité des dirigeants de l’Union européenne pour éviter un déclin démographique et limiter la régression économique et sociale, en l’absence de toute politique familiale.

Il n’y a donc plus de secret: l’ambition reconnue est de changer progressivement le peuplement de l’Europe!

Mais qu’il me soit permis de me poser cette question qui, j’en suis parfaitement conscient, va faire bondir nos féministes: pourquoi ne s’organisent-ils pas des filières de passeurs avec pour principal objectif de fournir à l’Europe et, en ce qui nous concerne, à la France uniquement des jeunes femmes de ces pays cités plus haut? Jeunes femmes qui n’estimeraient pas que la fécondité serait un obstacle à l’épanouissement de leur égalité avec les hommes?

Sans doute que la démographie de nos pays occidentaux retrouverait sa progression. Qu’en pensez-vous?

Manuel Gomez

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