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actualité - Page 12

  • Un vent de Liberté souffle sur le Royaume-Uni

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    Hier, se déroulaient outre-Manche des élections équivalentes à nos élections municipales en France.

    Les premiers résultats sont là, ils indiquent une poussée spectaculaire du parti national anglais Réform UK de Nigel Farage (cf. tableau ci-dessus). Il s’agit d’un véritable camouflet pour les partis moribonds du Système qui s’écroulent totalement.

    Il faut rappeler que la Grande-Bretagne est victime depuis des décennies d’une politique migratoire insensée qui engendre aujourd’hui un véritable état de guerre inter-ethnique extrêmement violent comme on a pu le constater l’été dernier à travers tout le royaume.

    Or, face à cette situation qu’il a lui-même engendré, le pouvoir travailliste (en pleine déconfiture) a préféré jeter en prison l’un des plus courageux militants de la cause de l’identité britannique, l’éveilleur de peuple Tommy Robinson.

    Hier, les Anglais ont sonné la fin de la récréation et condamné sans appel les politiques de soumission aux diktats de Bruxelles, qu’elles soient menées par les travaillistes ou par les conservateurs. Un vent de liberté commence à souffler sur le Royaume-Uni…

    Roland Hélie

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com

  • Nié par la gauche, le racisme anti-blancs est un phénomène massif en France

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    Le racisme anti-Blancs existe bel et bien. Un racisme que Le Monde diplomatique – journal qui, avec ses autres déclinaisons, poursuit depuis plusieurs années sa descente dans l’abîme du militantisme ultragauchiste, sans doute en souvenir de son pire journaliste de jadis, le sinistre et malfaisant Edwy Plenel – qualifiait en 2021 de "mythe de la dépossession raciale", dans un article présentant un livre pétri de déni, Pauvre petit blanc, signé Sylvie Laurent, une enseignante de Sciences Po, tout se tient.

    Livre qui pourfendait la réalité wokiste aux États-Unis mais dont l’auteur ne semblait pas prendre la mesure, malgré les faits aussi évidents que le nez au milieu du visage.

    https://www.monde-diplomatique.fr/

    Pourtant, ce racisme, que l’on voudrait couvrir tel le sein de Dorine à qui Tartuffe tend un mouchoir afin de le dissimuler, est une réalité dans tout l’Occident chrétien. Car il frappe à la fois les Blancs et les chrétiens, et évidemment les juifs, ce que d’autres nient, croyant ainsi servir une cause patriotique par un antisémitisme qui ne sert en fait que nos ennemis. Mais laissons ceux-là à leurs fantasmes, ce n’est pas ici le sujet.

    Le racisme anti-Blancs, en plus d’être mortel – les Blancs étant majoritairement assassinés chez eux, notamment en France –, constitue un harcèlement permanent, servi par une censure impitoyable qui s’étend partout comme l’ombre du vampire la nuit. Ainsi l’enseignant de l’université Lyon 2 – récemment obligé de quitter son cours et fustigé par la présidente de son université, elle-même blanche ! – en est l’un des derniers exemples criants. Car en refusant d’aller dans le sens de la propagande palestinienne, cet enseignant s’est de facto rangé du côté des Blancs à abattre.

    On ne compte pas non plus les sorties haineuses à l’encontre de la culture occidentale – donc blanche – entre autres dans les médias, parmi les élus de certaines organisations politiques détestant ouvertement la France – et qui sont, eux, de vraies bêtes immondes – et même dans les décisions de justice en faveur des non-Blancs contre des Blancs. Toute la société se trouve ainsi sous le joug de ce racisme dont on interdit qu’il dise son nom. À tel point que les chercheurs qui auraient l’outrecuidance de se pencher sur cette question vitale de société sont bannis.

    Ce tabou vent d’être levé par François Bousquet – essayiste fort logiquement classé à l’extrême droite par l’officine de propagande encyclopédique Wikipédia –, avec la parution d’un livre qui ne fera pas les bonnes pages de la presse gauchiste : Le racisme antiblanc, l’enquête interdite.

    Son éditeur le présente ainsi: "Ce livre est une enquête, première du genre. Il se déploie en deux mouvements. Le premier, "Le chic gauchiste", concis mais incisif, démonte l’imposture du racisme systémique, qui fonctionne comme un verrou mental empêchant de penser le racisme anti-blanc – ce “non-objetˮ sociologique. Le second, “Le choc racisteˮ, en constitue la pierre angulaire. Il donne la parole aux victimes, celles que l’on réduit au silence, car reconnaître leur souffrance reviendrait à dynamiter le récit dominant. Or, tous les témoignages rassemblés ici convergent vers une même réalité : loin d’être un fantasme, le racisme anti-blanc est un discours de haine explicite et un phénomène aussi massif qu’occulté. C’est cette vérité interdite que vous allez découvrir. "

    Le "récit dominant" dont il est question ici nous le pourfendons à longueur d’articles sur Riposte Laïque, certains d’entre nous ayant été eux-mêmes victimes de ce racisme institutionnel.

    Oui, institutionnel, car comment expliquer autrement des concepts officialisés tels que la discrimination positive ou le vivre-ensemble, qui ne sont rien d’autre que des racismes visant à culpabiliser le Blanc et, inversement, dédouaner de tous ses crimes l’Autre, celui qui n’est pas Blanc ? On est là face à une propagande implacable, étayée par les loi liberticides Pleven (1972), Gayssot (1990) et Taubira (2001), cette dernière étant sans doute la pire des trois puisqu’elle réécrit l’Histoire dans le sens de l’idéologie antiraciste – qui est de fait raciste – en niant la suprématie esclavagiste du monde musulman pour ne se concentrer que sur les "crimes" blancs.

    La préférence antinationale, dans les emplois, le logement, les attributions d’aides, est la règle, avec la bénédiction des pouvoirs publics. Et malheur à qui proteste, il tombe sous le coup de la loi. Promenez-vous ainsi dans les musées nationaux et demandez-vous pourquoi, parmi le personnel, les Noirs y sont surreprésentés. Allez dans les cités et constatez le nombre de Blancs, dérisoire. Interrogez-vous sur le temps qu’il vous faut pour obtenir des aides lorsque les migrants sont pris en charge à peine le pied posé sur notre sol, etc.

    La responsabilité de cette injustice criminelle incombe aussi à de pseudo-intellectuels comme le très évitable BHL, qui, dans son torchon, L’Idéologie française, accablait une France dont il profite allègement au passage. Dans ce mauvais livre, il n’hésitait pas à salir Maurice Barrès en l’accusant d’être, avec d’autres, à l’origine du national-socialisme, niant le patriotisme exalté de l’intéressé et sa défiance à l’égard de l’Allemagne, notamment dans son livre Colette Baudoche, paru en 1909. Le même Barrès qui salua le courage des soldats israélites ayant combattu sous le drapeau français en 1914-1918, et qui revint même sur ses positions concernant l’affaire Dreyfus. Enfin, Barrès est mort en 1923, dix avant l’avènement d’Hitler, qu’il n’aurait surement pas soutenu. Mais de cela BHL n’a cure, et l’on peut par contre dire de lui qu’il fut l’un des artisans majeurs du racisme anti-Blancs, un racisme qui explose aujourd’hui à la figure des juifs français, considérés comme les pires des Blancs dans l’esprit des musulmans.

    Dernier exemple de racisme anti-Blancs, et pas des moindres, les non-Blancs qui s’assimilent à notre identité culturelle et qui sont la proie de leurs semblables, car considérés comme des traîtres qu’il faut aussi abattre. Il se voient ainsi traiter de "nègres de maison" ou de "bougnoules de service", toutes choses entendues par l’auteur de ces lignes dans des manifestations parisiennes antiracistes!

    Ainsi, où qu’il regarde, le Blanc se sent légitiment en insécurité, voire en danger de mort, dans l’indifférence générale qui pourrait, espérons-le, provoquer un sursaut de sa part, si violent fût-il.

    Car, dans cette "ténébreuse affaire", il ne s’agit ni plus ni moins que de sa survie…

    Cyrano

     

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLaR)

  • "Par le sang versé"

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    "Qui sait si l’inconnu qui dort sous l’arche immense,

    Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé,

    N’est pas cet étranger devenu fils de France,

    Non par le sang reçu mais par le sang versé". (Capitaine Pascal Bonetti, 1920)

    La bataille de Camerone, le 30 avril 1863, se fête avec Légionnaires, à Nîmes, Aubagne, Orange ou… La Rochelle.

    Camerone, c’est ce combat épique qui opposa une soixantaine de Légionnaires, assiégés dans l’hacienda de Camarón de Tejeda, à une armée de 2000 fantassins et cavaliers mexicains. Après onze heures de combat, par une chaleur torride, les six survivants encore debout, mais à court de munitions, chargèrent baïonnette au canon. Un officier mexicain – d’origine française – somme alors les survivants de se rendre.

     

    Le caporal Maine lui répond:

    "Nous nous rendrons si vous nous faites la promesse la plus formelle de relever et de soigner notre sous-lieutenant et nos camarades atteints, comme lui, de blessures ; si vous nous promettez de nous laisser notre fourniment et nos armes. Enfin, nous nous rendrons, si vous vous engagez à dire… que, jusqu’au bout, nous avons fait notre devoi ".

    L’officier mexicain lui répond: "On ne refuse rien à des hommes comme vous". Les rescapés sont présentés au colonel Milan, qui s’écrie:

    "¡Pero estos no son hombres, son demonios!" (" Mais ce ne sont pas des hommes, ce sont des démons").

    Plus tard, on construisit, au Mexique, un monument sur lequel sont gravés les mots suivants: "Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée. Sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats français".

     

    Depuis, chaque fois qu’un détachement militaire mexicain passe devant le monument de Camarón de Tejeda, il présente les armes.

    Camerone, une défaite contre un ennemi mieux armé, à un contre trente, est entrée dans l’histoire – comme Bazeilles pour les "Marsouins" ou Diên-Biên-Phu pour les paras et (encore!) la Légion – parce qu’elle symbolise l’acte gratuit, le courage, la volonté, l’honneur et la fidélité à la parole donnée.