Depuis sa naissance, tout a été bidon chez ce Boche. Faux catholique parce que la majorité de la population l’était à Ravensburg sa ville natale. Faux Suisse parce que sa mère l’était, mais l’Helvétie lui a refusé sa nationalité, malgré son pognon et 60 ans de résidence. Faux juif rejeté par les vrais. Faux anti-nazi qui profitaient des dividendes des affaires faites par son père avec Adolf. Faux chef d’entreprise alors qu’il n’était que prof d’économie. Faux intellectuel se parant de 17 doctorats!
EMBROUILLES, MAGOUILLES ET CARABISTOUILLES
Klaus Schwab accède à la notoriété à 33 ans en 1971 lorsqu’il contribue à la création du forum économique mondial, dit groupe de Davos, dont il prend le commandement. Une entreprise de lobbying se cachant derrière une fondation soi-disant neutre et désintéressée, avec pour objectif de sauver le monde et de faire le bonheur de l’humanité.
Parmi ces philanthropes, on trouve la crème des banksters et des magnats du Nouvel Ordre Mondial, ainsi que des politiciens à la ramasse pouvant encore servir. Deux profils type de membres se distinguent: Le chef d’État retraité ou désavoué auquel il reste encore un fort pouvoir de nuisance ou d’influence. Et le PDG d’une multinationale réalisant un chiffre d’affaires d’au moins cinq milliards de dollars.
La cotisation annuelle est modeste. Seulement 35.000 euros. Plus 15.000 € pour la participation aux frais d’organisation du raout de l’année. Où l’OTAN occupe une place de faveur. De même que l’ONU qui a offert un siège à cette organisation aux contours flous. Dont les caïds se déplacent en jets privés. Mais fustigent la populace qui roule en diesel. Parce qu’ils se disent écologistes et réchauffistes.
UNE ORGANISATION OPAQUE AUX POUVOIRS DEPASSANT CEUX DE CERTAINS ÉTATS
Le forum des maîtres du monde est un cénacle fermé, plus secret que la commission de la mafia italo-américaine. Les participants réunis dans un palace sont coupés du reste du monde. Tous leurs moyens de communication sont confisqués. Et interdiction de prendre des notes. Comme on y décide qui favoriser, déglinguer ou corrompre et comment on compte s’y prendre, il ne faut surtout pas laisser de traces.
Vu les pouvoirs des participants, ces rencontres n’ont pas tardé à devenir un marché ouvert à la cupidité des mondialistes. Où ils échangent des contrats juteux et des concepts tordus, dont la fameuse arnaque à la taxe carbone. Et élaborent les moyens de détourner les embargos contre les États-voyous comme la Corée du Nord et l’Iran. Ou au contraire, s’efforcent de nuire le plus possible à la Russie. Avec la complicité des médias mainstream stipendiés pour ne jamais poser de questions.
Les nababs décident entre eux, dans l’univers feutré des ultra riches, comment s’enrichir encore plus et mater les gueux qui se rebiffent. Des sbires repentis ont fait fuiter que les dommages physiques infligés froidement aux Gilets Jaunes auraient été suggérés au pleutre Macronescu qui perdait les pédales au début de ce mouvement de revendications. De même que son inertie contre les émeutiers ethniques. Pour ne pas contrarier les émirs aux pétrodollars, membres de droit de cette mafia.
" Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux". avait annoncé Shwab aux gueux. Étalant cyniquement son pouvoir de nuisance au détriment des peuples. Son départ ne semble pas avoir changé les fondamentaux des parrains de la triade Japon-UE-USA.
Schwab n’était l’élu de personne, sinon de crapules à son image, comme Pustula la Hyène, vassale discrète des Davos. Sans eux, elle ne serait rien. Elle étale son pouvoir pour impressionner les petits types à la Macron, Nick Starmer ou Adolf Merz, mais on sait où elle prend ses ordres. Même si elle dispose d’une certaine latitude pour les moduler en fonction des spécificités locales, l’objectif principal reste la disparition des nations et la fusion des économies dans un capitalisme mondialisé.
Il est probable que la mise à la retraite forcée de Schwab à 87 ans ne change pas grand chose aux projets et procédures de l’organisation. Même si on peut imaginer que les maîtres du pouvoir mondial adoptent une stratégie plus discrète que celle du fondateur.
Schwab était le président inamovible de cet aréopage de voyous au parler feutré et aux costards sur mesure jusqu’en avril 2025 où il s’est fait virer par ses pairs. Qui l’accusent de malversations. Et veulent l’obliger à rendre l’argent. Lui qui plastronnait que les gens ruinés étaient les plus heureux, il a enfin l’occasion de joindre la pratique à la théorie. Même si on a de bonnes raisons de penser qu’il a planqué une partie de son magot à gauche.
Schwab qui se gargarisait "d’éthique de la finance" a été dénoncé pour des délits financiers par son propre conseil d’administration.
Après que les caciques du Forum aient constaté la disparition de près d’un million et demi de dollars au profit de Schwab et de son épouse pour des vacances dans des lieux huppés, une enquête diligentée en Suisse a révélé des détournements de fonds et des dépenses somptuaires, ainsi que des chantages politiques afin d’asseoir les intérêts de cette association de malfaiteurs. Pour discréditer le Brexit et orienter les échanges dans le cadre de l’UE à leur profit. Entre autres crapuleries.
Des lanceurs d’alerte ont ajouté des actes odieux contre des salariés, comme le licenciement de femmes du seul fait de leur âge, et des abus sexuels sur le lieu de travail, commis par "l’élite de l’élite" comme ils aiment se désigner.
Le forum économique mondial, acronyme WEF (world economic forum) a déposé son fondateur après 55 ans de pouvoir absolu, comme des putschistes se débarrassent d’un dictateur usé dans une ripoublique bananière. Le promoteur du Grand Reset qui voulait remettre les compteurs à zéro pour refaçonner le monde au profit des banksters, a été trahi par ses complices. Ulcérés d’avoir été, eux aussi, ses dupes.
Le point de départ de l’engrenage fatal à Schwab fut l’enquête interne commandée par le conseil d’administration du WEF au cabinet d’avocats suisses Homburger. Des fuites, peut-être volontaires, ont révélé les comportements crapuleux de l’indigne et irascible vieillard.
Schwab et sa femme Hilde auraient cumulé près de 1,2 million de dollars de frais de voyages non justifiés par leur travail, pour des séjours de luxe dans des palaces à Venise, Miami, aux Seychelles et au Maroc. Et comme il n’y a pas de petits profits, les soins de massages à l’hôtel, le téléphone mobile de leur femme de ménage et le salaire de leur chauffeur, ont été financés par le WEF pendant des années.
Sa modeste paye d’un million de francs suisses, soit un peu plus d’un million d’euros net/an, ou 84.000 € / mois, à laquelle s’ajoutaient les royalties de ses conférences et de ses livres, ne devait pas suffire à assurer son train de vie.
Aurait-il craint de ne plus rien posséder comme il le préconisait aux gueux pour faire leur bonheur? Pour éviter le déshonneur (personne ne parle de prison vu son âge) Schwab a prétendu que sa femme présidait la Fondation Schwab à titre bénévole et qu’il avait signé en 1973 un accord avec le Forum pour couvrir ses menus frais. En outre, il affirme avoir fait de nombreux dons à des œuvres caritatives. Hélas trop modeste ou très étourdi, il a égaré les justificatifs. Mais a promis de rendre l’argent. Les promesses n’engagent que les naïfs qui y croient.
On peut ajouter aux malversations la Villa Mundi, une somptueuse demeure de 50 millions de dollars, achetée et rénovée avec l’argent du WEF, supposée servir aux activités officielles. Où l’on organisait des fêtes, tournant parfois à la partouze avec des call girls, où les "gens de l’élite" se goinfraient de mets délicats, de vins fins et d’alcools hors de prix, tandis qu’ils invitaient le populo à bouffer des insectes et à se serrer la ceinture pour "sauver le climat".
Le spectacle abject de Davos était devenu une parodie grotesque de ses leçons de morale. Quand les communiqués de presse appelaient à rétablir la confiance, à limiter les gaspillages et à réduire les inégalités, la réalité affichait le plus grand luxe dans la débauche. Des agences d’escort girls se félicitaient d’une forte augmentation de la demande pendant le forum. Les travailleuses du sexe venaient soulager les élites qui passaient leurs journées à prêcher la vertu.
Comme une vulgaire Brichel prise dans ses contradictions, Schwab a déposé des plaintes en diffamation contre les lanceurs d’alerte. Cette intimidation ne lui a pas réussi.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/