La techno-culture, les marches LGBT, le celtisme, moyens détournés de la lutte anti-chrétienne
La techno-culture s’insère dans la guerre de religion, cause profonde et cachée du mondialisme.
La techno-parade de Paris trahit le rôle de la mode techno dans l’incessant combat des loges contre le catholicisme. Il s’agit de substituer au catholicisme une religiosité globalisante, une gnose naturaliste apte à rassembler les cosmopolites.
La techno-culture sert à faire de l’argent. Cette génération est grande consommatrice de produits importés, parmi lesquels, en première place, la drogue. La techno-culture embrigade la jeunesse dans le projet occulte de République mondiale.
La techno-culture, la LGBTisation des esprits, l’idéologie du genre, l’éducation à la sexualité, l’euthanasie achèvent la civilisation occidentale chrétienne que les initiés haïssent.
Cette mode de la techno-culture, cette normalisation homosexuelle, ne sont pas des modes innocentes, des pratiques anodines, des convenances angéliques. Cet engouement, cette vogue visent à entraîner la jeunesse vers ces croyances naturalistes, c’est-à-dire des croyances que la Nature est le seul principe, la négation de la Surnature, la négation de Dieu, et à adhérer à l’idéologie mondialiste.
Les médias aux ordres invitent les jeunes de tous les pays à participer à ces "cérémonies"; Jack Lang fut longtemps le grand manitou européen de ces défilés. Dans les années Mitterrand, Lang était le petit architecte d’une "galaxie" culturelle, écheveau d’associations et d’idoles, le destructeur de la culture, culture au sens noble du terme. Lang veut créer une nouvelle génération formatée, à la fois anti-chrétienne et antinationale, une génération métissée, déracinée et déculturée. Un réservoir électoral pour les mondialistes. Et depuis 2000, cette politique se perpétue, au gré des gouvernements de gauche et de droite.
La Renaissance ouvrait symboliquement les Temps modernes. La Révolution dite française entamait la période contemporaine. Ces cinq siècles détruisent méthodiquement et progressivement l’Occident chrétien.
Le catholicisme, religion combattue depuis l’origine, avait mis fin à des rituels archaïques par lesquels l’humanité était asservie. Par exemple, le culte phrygien de la déesse Cybèle, vénérée au XIIe siècle avant Jésus-Christ. Cybèle, grande déesse de la Phrygie, originaire d’Asie mineure, la Mère des Dieux ou la Grande Mère. Sa puissance s’étend à la Nature entière, dont elle personnifie la puissance de végétation. Il est possible que sa personnalité se dissimule derrière celle de l’hermaphrodite Agdistis. Un culte orgiastique (qui se rapporte à l’orgie) s’est développé autour d’elle, qui a survécu jusqu’à une époque tardive sous l’Empire romain. Les prêtres de Cybèle pratiquaient l’automutilation sexuelle qui assurait leur chasteté absolue.
Au IIe siècle après Jésus-Christ, les adeptes de Cybèle partagent le pain et le vin dans un repas que Mircea Eliade considère comme " l’équivalent démoniaque et funeste de la Cène chrétienne"; Dans ces cérémonies, le sacrifice et l’ingestion du dieu sont réels, comme dans le dionysiaque. Ces rituels sacrificateurs ont été repris dans les messes noires des derniers siècles de la monarchie, messes noires auxquelles les nobles initiés dans la Franc-Maçonnerie ont participé. Après le " suicide maçonnique " de la haute noblesse, les francs-maçons révolutionnaires anti-chrétiens ont porté le bonnet phrygien. Le symbolisme du sacrificiel archaïque est très présent dans la Révolution. Les initiés de la Terreur voulaient purifier l’humanité par le sang. Dans l’hymne républicain du franc-maçon Rouget-de-L’Isle, le sang "impur" abreuve un "sillon", c’est-à-dire féconde la Terre-Mère.
Les adeptes du culte phrygien s’unissent à la divinité Cybèle par des rites. Ils se reconnaissent entre eux par leurs tatouages, s’approchent de Cybèle et l’adorent dans une extase sublime. Ils atteignent cette euphorie en écoutant une "musique sauvage" et en se lançant dans des "danses frénétiques" après "l’absorption de plantes hallucinogènes.
Ces rites sont d’actualité. Les jeunes adeptes de la techno-culture et des coutumes LGBT ont les mêmes signes de reconnaissance : le tatouage est à la mode. Ils absorbent la pilule d’Ectasy qui donne l’extase, dans des rave parties, des fêtes délirantes. Ils sont fanatisés par une musique sauvage et dé-structurante, destructrice de l’équilibre psychique selon certains neurologues.
Leur cerveau lavé est programmé pour en faire des adeptes d’une "religiosité globale" identique aux vieux cultes de la Nature, cultes qui renaissent dans le mondialisme.
En 2012-2013, au sein de la Manif pour tous, des jeunes filles exhibaient le bonnet phrygien sans en connaître le sens. Mais Ludivine de La Rochère, organisatrice du défilé, est responsable de cette anomalie.
A la fin du XIXe siècle, les pré-nationaux socialistes et les anarcho-communistes ont été initiés dans les mêmes sociétés secrètes naturistes. Ils y vénéraient le soleil, ils se tutoyaient, ils communiaient avec la Nature en dansant nus, formant des cercles, selon une chorégraphie fortement copiée par le ballet moderne, qui n’a rien inventé. Au XXe siècle, le Naturisme a servi de fil conducteur aux ennemis de l’Eglise, sous forme de philosophies, et aussi de modes promues par des sectes ou des associations du cercle extérieur, dans lequel toutes les tendances peuvent cohabiter.
Le mouvement "hippie" a repris les mêmes rites et croyances. L’écologie et la mode techno répondent aux mêmes desseins. Les mondialistes préparent la dictature de l’écologie, une écologie fondée sur la gnose naturaliste des francs-maçons. L’écologie fait partie de la "spiritualité globale" que le mondialisme veut substituer aux religions. Cette spiritualité ressemble à la gnose naturaliste de la Franc-Maçonnerie.
Les fêtes techno-culturelles et LGBTisées copient les rituels de soumission des cultes archaïques abolis par le Christ.
Les ressemblances entre Révolution et culte phrygien ne sont pas fortuites, accidentelles. Les francs-maçons révolutionnaires antichrétiens ont fait du bonnet phrygien un symbole républicain. Ce bonnet, coiffure souvent de couleur rouge, est repris au début de l’été 1790 comme symbole de la Liberté et du Civisme.
Les adeptes de Cybèle pensaient "se délivrer de l’autorité, des normes et des conventions" par les transes. Mircea Eliade, philosophe roumain (1907-1986), conclut: "Dans un certain sens, c’était la découverte de la liberté".
Les ressemblances entre les modes contemporaines et le culte phrygien ne sont pas fortuites, accidentelles. En réalité, l’humanité, idolâtre et dépendante, soumise par le bonnet phrygien révolutionnaire, préfère le culte phrygien des révolutionnaires au catholicisme, et se livre à un nouvel esclavage.
La techno-culture copie les mêmes rituels de soumission à une divinité de la Nature. Elle fait partie du lavage de cerveau dénommé "guerre culturelle";
Les jeunes actuels régressent aux temps archaïques par des rituels sauvages. Ils sont endoctrinés, puis intégrés dans une religiosité globalisante qui fera d’eux les nouveaux esclaves du Nouvel Ordre Mondial.
A New York, une statue maçonnique de la pseudo-liberté n’est-elle pas la nouvelle Cybèle du mondialisme? Est-ce un hasard si la techno-parade a été organisée à Berlin, la capitale des monarques "éclairés", devenue ville cosmopolite? Est-ce un hasard si la techno-parade a été organisée à Paris, ville que les initiés ont prise pour capitale symbolique depuis la Révolution dite française?
Toutes ces manifestations festives, organisées par des gaucho-libéraux libertaires, renouent avec des croyances et des rites archaïques, le culte du Cosmos, le Naturalisme, l’ésotérisme, la magie, et rallument les feux du satanisme et d’une sexualité débridée, tous les attributs du mondialisme.
Personne ne discerne ce qui se cache derrière ces démonstrations infligées au peuple par une minorité agissante.
Le matraquage mondialiste s’observe aussi dans l’obsession à vanter toute culture "autre", et à dénigrer systématiquement l’Occident chrétien. Du Musée des Arts Primitifs au rap, de la supériorité de la civilisation islamique aux merveilles de l’Orient, toute la propagande médiatique et scolaire vise à détruire l’Occident chrétien.
Par la culture, un lavage des cerveaux a été programmé par les forces occultes. Le lavage d’Halloween et de celtisme qui déferle sur les médias s’intègre dans ce logiciel franc-maçon.
Les francs-maçons sont vicieux. Aucun de leurs actes n’est innocent. En fait, avec la mode celte, il ne s’agit nullement de nous aider à retrouver nos racines occidentales. Il s’agit de récupérer le celtisme pour mieux détruire l’Occident, parce que l’Occident a eu l’immense tort de devenir chrétien.
L’Empire romain s’est effondré à partir du moment où le christianisme de la Tradition est devenu sa religion d’État. Puis, le christianisme est devenu historiquement la Tradition de l’Occident, lorsque les barbares se sont convertis au catholicisme, en suivant l’exemple du fondateur de notre nation, Clovis.
Depuis, notre nation est l’objet de la haine des forces occultes. En quelque sorte, la christianisation de l’Europe signait l’arrêt de mort de l’Occident.
La Révolution a été préparée à partir du moment où l’Occident chrétien a succédé à l’Empire romain. Depuis ce moment, la culture participe au complot antifrançais et anticatholique.
Par la culture, le mensonge s’impose sur la vérité, par exemple, avec l’invention des termes "Moyen Âge" ou "Renaissance", termes infondés, mais efficaces. Ces mots vides de sens ont été créés par les initiés, puis répercutés par les historiens francs-maçons au XIXe siècle. Les romantiques étaient des initiés à la mode celtique.
On peut parler d’un celtisme chrétien à partir de Saint Patrick, fondateur du christianisme en Irlande (345-461). Saint Patrick évangélisateur de l’Irlande au Ve siècle, aurait expliqué le concept de Sainte Trinité aux Irlandais, lors d’un sermon, grâce à un trèfle, faisant ainsi du trèfle et de la couleur verte les symboles de l’Irlande.
Selon la légende, Saint Patrick chasse tous les serpents du pays. Cette action symbolise la conversion du peuple irlandais. Les serpents représentent les croyances polythéistes celtiques des Irlandais, croyances assimilées à Satan, rendu responsable de l’ignorance du Dieu véritable. Chaque année, lors de la Saint Patrick, Saint Patron d’Irlande, le 17 mars, les citoyens d’Irlande mettent un trèfle à la boutonnière pour se souvenir de cet enseignement religieux.
Le celtisme chrétien se concrétise par une osmose du celtisme et du christianisme, dans l’institution de la Chevalerie.
Mais les païens résistent à la sanctification du passé celte. Et les initiés orientaux détournent le celtisme chrétien, notamment par les romans des XIIe et XIIIe siècles, Perceval, Lancelot du Lac, Roman de la Rose…
Ces romans entraînent les chevaliers du roi Arthur vers la quête du Graal, non plus un Graal qui représente le vase de la Cène, mais un Graal qui symbolise la gnose, la connaissance supérieure des mystères de l’Antiquité.
En Irlande, les Celtes avaient été en partie christianisés par des hérétiques. Saint Patrick voulut les ramener vers le vrai christianisme, mais il échoua, car le christianisme irlandais est toujours resté rétif à l’Eglise de Rome.
Des moines irlandais ont été séduits par la gnose, ils n’ont jamais compris l’augustinisme, c’est-à-dire la synthèse universelle réalisée par Saint Augustin. Cette synthèse a convaincu les rois "barbares" qui ont entraîné leurs peuples dans la conversion.
La vague celtique estivale est un exemple d’abrutissement culturel. Les chanteurs et organisateurs disent que le celtisme doit à l’Orient, et non à l’Occident. Ils ajoutent que les Celtes n’appartiennent à aucune nation. Ils ne parlent jamais, ou alors en mal, du vrai christianisme. Ils organisent des fêtes magiques, c’est-à-dire des fêtes anti-chrétiennes.
Aujourd’hui, la vague du celtisme prolonge la mythologie du franc-maçon Walt Disney. L’enrôlement des enfants et des masses parentales au service d’une " spiritualité globale " permet la domination du monde par les forces occultes.
Le celtisme sert le même combat que le football (le football mondialisé et dénaturé, non le football sport sain), la chanson, le cinéma, les drag queens, Halloween. Les organisations sont entre les mêmes mains, des mains orientales et non pas occidentales.
Les nostalgiques du paganisme celte participent à la curée anticatholique. Ils ont déjà échoué une fois avec le national-socialisme, croyant défendre l’Occident. Après la guerre, les forces occultes sont revenues, plus puissantes que jamais.
Les païens d’aujourd’hui pourraient être de nouveaux golems, c’est-à-dire des humanoïdes artificiels et aliénés.
Le vrai christianisme a convaincu les Germains, que les menteurs nomment "barbares", parce qu’ils ont eu la foi. Leur héritier, Charlemagne, fondateur d’une Europe chrétienne, le seul apte à endiguer l’invasion islamique, a permis la seule vraie renaissance de la culture grecque. En effet, la Renaissance carolingienne est tout à l’opposé de la Renaissance du XVIe siècle, cette victoire de la magie cabalistique.
Les modes culturelles, faussement culturelles, techno-culture, LGBTQIA+, mouvement "hippie", écologie, Halloween, celtisme, divinisent la Nature, détruisent le catholicisme, et nous emmènent vers une religion globale, et donc vers le mondialisme.
Tant que le catholicisme existe, il menace le mondialisme par son ordre naturel, sa métaphysique dualiste (Dieu et le Cosmos séparés en deux Êtres), sa morale, son refus du sacrificiel et de la magie, son humanisme, sa condamnation du Veau d’or. Le catholicisme seul obstacle et seul rempart contre le mondialisme. Son éradication complète et totale conditionne la victoire définitive du mondialisme. Au contraire, la continuation du catholicisme assurerait la survie de l’humanité. Mais aujourd’hui, le catholicisme est en voie de disparition …
Jean SAUNIER