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Société - Page 71

  • Les otages israéliens libérés font penser aux rescapés des Camps de la mort

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                                                             AVANT et  APRÈS   

    Or Lévy, Ohad Ben Ami et Eli Sharabi, (de gauche à droite) sont les 3 otages israéliens capturés le 7 octobre, et libérés par le Hamas le samedi 8 février 25, soit après 16 mois de détention dans des tunnels sordides froids et sombres, ajoutons, réhaussée d’une sous-alimentation ou détresse nutritionnelle. Pourtant ces 3 hommes étaient détenus à Gaza où l’aide humanitaire arrivait régulièrement et massivement par milliers de camions entiers.

    Mais il est vrai, cette aide humanitaire internationale, selon l’intime volonté du sénile Joe Biden, était soumise à un chantage.

    Tout le monde s’en souvient: des camions humanitaires contre des armes et des bombes US pour continuer une guerre sur 7 fronts qui a été imposée à Israël. Le chantage de Joe Biden était destiné à nourrir les terroristes du Hamas, soutenus implicitement par toute la gauche mondialiste, dans une hypocrisie sans nom. Les démo-crasses américains avaient implicitement décidé, pour ne pas décevoir les électeurs de kamala à risques, que le Hamas devait continuer sa guerre génocidaire contre l’État sioniste, comme ils disent. Et Céline Pina, d’ajouter que des nations imbéciles ont fait pression sur Israël et uniquement sur Israël, les forçant à procurer de l’aide à ceux qui les massacrent. Bien dit, n’est-ce pas?

    Regardez, c’est exactement ce qui s’est passé, je n’invente rien! Cherchez bien qui a financé cette barbarie des années durant. Quels sont les Etats complices du génocide du 7 octobre? Qui a décidé à dessein de parquer en quatre décennies une population rejetée par l’ensemble des pays arabes du monde pour leur dangerosité, leur inhumanité, leur barbarie? Aujourd’hui l’heure des comptes arrive, cette population a atteint moins de 2 millions d’aliens, dans un lopin de terre jouxtant la terre d’Israël, car les conseillers islamo-gauchistes de cette ignoble et perfide expérimentation n’avaient dans les années 70 que deux options  à dessein:

    1-d’entretenir en permanence la haine des Juifs et d’Israël sur toutes les générations à venir, les manuels scolaires, financés par vous, sont là pour le prouver ; 

    2– de détruire l’état sioniste qui les a nourris et s’approprier de tous les biens et richesses de l’Etat Juif accumulé depuis 1948. C’est ce que les enseignants ont mis dans la tête de tous les enfants palestiniens, comment doit fonctionner une barbarie dissimulée derrière le mot terrorisme islamique.

    Cette situation révèle en l’état le constat d’une équation sans solution.

    Marc Sangnier, homme de gauche, fondateur des Auberges de jeunesse en 1930, disait (sic): " L’Amour est plus fort que la haine". Pour ces enfants élevés dans la haine depuis leur plus tendre enfance, l’Amour n’existe pas, ou n’a jamais existé. Leur avenir sera ailleurs après une longue étape de restructuration des cerveaux. On retrouve ce manque affectif d’empathie, cette volonté de destruction de l’autre, cette machination de culpabilisation permanente chez les pervers narcissique – ou PN. Si vous regardez bien autour de vous, et même au sommet des États: ils sont légion.

    Visiblement les otages ont subi des mauvais traitements et de nombreux sévices corporels et psychologiques sans aucun respect des lois internationales de la guerre et des accords de Genève sur la protection et le traitement des prisonniers. L’ONG Croix-Rouge s’est montrée d’une inutilité et d’une incompétence historiquement inqualifiable. Le silence assourdissant de cette ONG internationale est insupportable, alors qu’elle empoche chaque année des millions de subventions, prélevés dans la poche des contribuables. Cette ONG a eu la même attitude lorsque des millions de Juifs étaient atteints du typhus dans les camps de la mort nazis. Avez-vous entendu parler de la Croix Rouge?…

    Pensez à refuser vos dons lors de leur prochaine campagne de mendicité pour les remercier de leur efficacité dans des situations humanitaires indiscutables. Les médecins israéliens à l’issue de l’observation de ces 3 otages pensent qu’ils ont été affamés volontairement par les nazislamistes du Hamas. Ces 3 innocents ont vécu l’enfer et un martyr irréversible, la barbarie à l’état pur, qu’on ne peut plus taire depuis la révélation de la Shoah. Se taire c’est devenir complice du silence, et des mensonges du terrorisme et de la barbarie islamique devenus mondialisés.

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  • La grippe aviaire s'agrave dans les zoos du monde entier

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    Des dizaines d'animaux rares, y compris des tigres, des lions et des guépards, meurent alors que la grippe des oiseaux s'infiltre dans les zoos, avec des "implications graves" pour les espèces menacées, ont averti les chercheurs.

    Alors qu'un nombre croissant de zoos signalent des morts chez les animaux, les scientifiques craignent que les oiseaux sauvages infectés ne débarquent dans des enclos puissent les épandre parmi les animaux captifs.

    Aux États-Unis, un guépard, un lion de montagne, une oie indienne et un kookaburra figuraient parmi les animaux morts dans le zoo mondial de la vie sauvage près de Phoenix, selon les médias locaux la semaine dernière. Le zoo de San Francisco a temporairement fermé ses volières après qu'un faucon sauvage à épaules rouges a été retrouvé mort sur son territoire, puis testé positif pour la grippe aviaire hautement pathogène (HPAIV).

    Une rare oie à poitrine rouge est morte au zoo de Woodland Park à Seattle, provoquant la fermeture des volières et l'alimentation des pingouins pour les visiteurs en novembre. Ces cas font suite à la mort de 47 tigres, de trois lions et d'une panthère dans les zoos du sud du Vietnam au cours de l'été.

    "Compte tenu des conséquences potentiellement fatales d'une infection par le HPAIV chez les oiseaux et chez certains mammifères, comme les grands chats, ces infections peuvent avoir de graves conséquences pour les espèces animales menacées hébergées dans les zoos", a déclaré le Dr Connor Bamford, un virologue de l'Université Queen's de Belfast.

    Les chercheurs affirment que des cas ont probablement émergé dans les zoos à cause de l'entrée et de l'entrée des oiseaux sauvages infectés, et cela a tendance à se produire plus pendant la saison de migration. Un certain nombre d'États américains, dont la Louisiane, le Missouri et le Kansas, ont signalé une augmentation des cas de grippe aviaire, en particulier dans les oies et les oiseaux d'eau. Il y a eu un «saut aigu» de cas dans l'Iowa, selon les autorités de l'État, après « presque un an » sans détection du virus.

    "Nous devons réfléchir à la manière de gérer cette situation, soit en améliorant la biosécurité des zoos, soit en vaccinant les animaux de zoo. Cet exemple nous donne un autre signal d’alarme à l’importance du HPAIV et de ses impacts sur les animaux et les humains", a déclaré M. Bamford.

    Un ibis à crête est vacciné contre la grippe aviaire au zoo de Mulhouse dans l'est de la France en 2020.

    Les chercheurs ont averti pendant des décennies que cette variante de la grippe aviaire pourrait tuer les primates, les rongeurs, les porcs et les lapins, avec des rapports de tigres du Bengale et de léopards assombriss assombriss.

    Les infections dans les zoos n'étaient pas inattendues, a déclaré le virologue Dr Ed Hutchinson de l'université de Glasgow. Les visiteurs des zoos au Royaume-Uni ont peut-être remarqué que les enclos à oiseaux étaient temporairement fermés ou neutralisés lorsque les risques d'infection par la variante de la grippe aviaire H5N1 provenant d'oiseaux sauvages étaient connus pour être élevés, a-t-il déclaré. «Lorsque les zoos s'occupent des animaux d'espèces menacées d'extinction, il est particulièrement important de prendre des mesures pour réduire le risque auquel ces animaux sont confrontés du virus H5N1, par exemple en limitant l'accès des oiseaux sauvages aux enclos.»

     

    Les zoos abritent généralement des densités élevées d'animaux et ont des approches différentes en matière de biosécurité, de santé et de bien-être, ainsi que des possibilités d'être visitées par la faune. Ces facteurs affectent leur vulnérabilité, selon le professeur Rowland Kao, un épidémiologiste de l'université d'Édimbourg. «Il n’y a pas nécessairement une chose et l’on ne peut pas pointer vers un zoo spécifique et dire « ils ont fait ce mal », mais ces facteurs variables, les nombreuses voies que ce virus semble prendre et les faibles doses de virus qui peuvent potentiellement déclencher des épidémies, signifient qu’il apparaîtra dans toutes sortes d’endroits », a-t-il déclaré.

    Les virus de la grippe aviaire peuvent être transmis chez une grande variété d'animaux. En 2020, une variante s'est répandue à travers le monde, atteignant finalement l'Antarctique à la fin de 2023, provoquant la mort de millions d'animaux sauvages à travers l'Eurasie, l'Afrique, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud sur sa route. Aux États-Unis, il est parfaitement adapté au bétail, augmentant le risque d'infections humaines.

    La propagation se poursuit dans les exploitations laitières, en particulier en Californie – l’État laitier le plus riche en produits laitiers des États-Unis – où près de la moitié des 1 300 exploitations de l’État ont été touchées, et deux travailleurs agricoles ont été testés positifs ce mois-ci. Deux chats d'intérieur sont soupçonnés d'être morts à Los Angeles après avoir bu du lait cru infecté.

    Le professeur Ian Brown, un virologue du Pirbright Institute dans le Surrey, a déclaré: «Il y a toujours un risque, mais les zoos devraient prendre des précautions d’hygiène supplémentaires pour ces espèces – je sais que certains zoos ont confiné des flamants tons à leur maison pendant les périodes de risque de propagation du virus.

    Dans certaines régions, comme le Royaume-Uni et l'UE, les vaccins contre la grippe aviaire autorisés peuvent être utilisés sur des animaux de zoo en captivité. Aux États-Unis, cela n'est pas permis.

  • Vaccins: la science au service du totalitarisme

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    Aux États-Unis, Robert Kennedy Jr, critiqué et harcelé par les médias, lutte contre les lobbys puissants qui influencent la santé publique. Il a défié les normes établies lors de la crise du covid et s’est opposé au diktat du gouvernement. Il persiste dans sa bataille contre les géants de l’industrie pharmaceutique.

    En France, le professeur Raout et ses collègues de l’IHU Méditerranée, le professeur Christian Péronne, le médecin anesthésiste-réanimateur Louis Fouché, et combien d’autres, ont été aussi victimes de ce harcèlement médiatique. Ainsi, des scientifiques internationalement reconnus se retrouvent mis au ban de la société.

    Dans ce débat autour des vaccins-injections, la presse et la science font un mariage de convenance. Les médias scientifiques et les médias généralistes subventionnés mènent des campagnes contre les figures dissidentes. Didier Raout affirme: "Ils sont achetés, ils appartiennent aux plus grandes puissances financières du monde".

    Et il rappelle les liens des fonds d’investissement avec les lobbys, sociétés et revues pharmaceutiques. Cette dépendance financière des médias fausse la perception publique et influence les politiques sanitaires. La vérité scientifique est sacrifiée sur l’autel des intérêts financiers et de l’idéologie.

    En ce qui concerne la covid, le résultat des injections est catastrophique: des millions de morts, de blessés et de handicapés.

    Le train du totalitarisme a bien repris sa course effrénée, dans sa version contemporaine. Les totalitarismes ne sont pas des accidents de l’histoire. Ils réalisent la modernité politique occidentale, débarrassée de la morale et du tabou du meurtre, par la célébration fanatique de la science toute-puissante. Hannah Arendt annonçait le retour de la bio-politique nazie sous l’égide d’un mouvement international. Le totalitarisme se développe à nouveau sous nos yeux.

    Le totalitarisme substitue une pseudo-science, le scientisme, à la morale et à la spiritualité, dans le discours sur le corps.

    Une partie de la population est ainsi écartée de l’humanité, via la figure antique de l’Homo sacer, être exclu de la cité, déconsidéré et voué à mourir, condamné à une irréversible mise au ban, prélude à son élimination physique.

    L’appareil judiciaire devient un instrument de persécution et ne protège plus la dignité humaine. Cette situation juridico-politique met au ban des individus privés de leurs droits et rendus à une existence fondée sur la survie. Dans cet univers, toutes les transgressions sont possibles, le meurtre est non seulement toléré et acceptable, mais encouragé au nom d’une légitimité qui s’affranchit de la morale.

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