Ces dernières années l’actualité a fait écho que des foyers pour enfants et petits enfants servaient de viviers à des proxénètes pour prostituer ces enfants parfois très jeunes à des clients payant le prix fort.
Ces foyers ont été menacés et les responsables soudoyés afin de laisser faire. Mais comme chacun le sait, dans ces cas-là et contre ce banditisme sans scrupule il est impossible de faire machine arrière pour ceux qui ont été piégés.
https://france3-regions.francetvinfo.fr
https://actu.orange.fr/france/aide-sociale-a-l-enfance
Encore une fois, il relève de la responsabilité (pitoyable) de l’État d’agir contre ces réseaux et de stopper ces dérives scandaleuses.
MAIS TOUT LE MONDE S’EN LAVE LES MAINS.
Le gouvernement, comme d’habitude, fait de grandes promesses en l’air, mais nous savons tous, également, que rien ne sera fait.
Notre pays a donc décidé de ne plus protéger ses enfants, y compris les plus jeunes et les plus innocents. Cela fait froid dans le dos.
Ce genre d’atteintes aux fondements de notre société, de notre mode de vie, de notre culture et de notre civilisation sont, tous et toujours, destinés à déstabiliser et à détruire notre pays en sapant à la base tout ce qui en a toujours fait le ciment naturel, la cohésion, la force, la morale, la sûreté de tous et le respect de la vie.
Depuis que le président Emmanuel Macron est arrivé, ces situations criminelles se sont amplifiées et multipliées par 10 ou 20 ou 100, tant il est vrai que lui-même, personnage aux mœurs douteuses, est arrivé à ce poste par des manipulations et des fraudes électorales complexes organisées par la gauche française, les puissances occultes de l’argent mondialistes de Davos et la pression de l’Union européenne.
Le projet est que la France soit le premier pays d’Europe occidentale testé à tomber en ruine, à perdre toutes ses valeurs et à devenir l’équivalent de n’importe quel pays d’Afrique ou du Moyen-Orient effondré et impossible à reconstruire.
Les choses sont en route et leur avancée est inéluctable pour atteindre ces buts.
Tous les moyens sont bons pour détruire notre pays et notre peuple, notamment par la submersion migratoire massive et organisée qui augure une guerre civile sanglante prochaine au cours de laquelle au moins la moitié des Français de souche trouveront la mort.
Dans le même but, on a démoli notre santé publique qui est aujourd’hui moribonde, notre enseignement public de la maternelle aux plus hautes sphères universitaires, notre administration, notre système de solidarité sociale, notre magistrature, nos ressources énergétiques, notre armée, nos forces de l’ordre, etc.
Sans oublier le démantèlement de notre économie, de notre industrie de pointe, de notre commerce extérieur et de notre agriculture exsangue.
Pour anéantir une civilisation, on doit aussi s’en prendre aux fondements de la famille, aux mœurs sexuelles et à tout ce qui touche au sexe, au genre et à la reproduction de l’espèce afin de les éloigner de leurs fonctions et usages naturels en les déviant et en les pervertissant sous des prétextes improbables et absurdes.
On en arrive donc à une société à laquelle on a imposé violemment des mutations sociales et reproductrices qui l’ont ébranlée en profondeur et ont fait perdre, surtout à nos jeunes générations, toute compréhension et toute clarté des choses. Ils sont perdus et ils ne savent plus à quoi se raccrocher.
Autrefois, l’éducation était différente, plus ou moins bonne et variable selon les milieux et les couches sociales, mais il y avait une ligne éducative directrice dans la continuité des générations précédentes et des garde-fous contre toutes déviances et tous errements comportementaux. Les parents étaient là pour éduquer leurs enfants, les instruire, les guider, les conseiller et leur apporter des réponses.
Aujourd’hui, beaucoup de parents ont baissé les bras, parce que la plupart d’entre eux n’ont même pas été éduqués eux-mêmes et se sentent désarmés et subissent les reproches de la société lorsqu’ils font un peu preuve d’autorité envers leurs enfants.
Ce sont même parfois des enfants incultes qui font la loi à la maison.
De tout façon, les moyens de communication de notre époque, télévision, radio, internet, ordinateurs et téléphones portables sont devenus des moyens éducatifs de substitution que préfèrent une partie des enfants et des jeunes sans aucun contrôle parental ni des pouvoirs publics.
Les réseaux sociaux sont des relais et des moteurs de diffusion de haine et de violence comme il n’en avait jamais existé auparavant.
Et si vous tenter de priver un enfant (pas tous!) de son téléphone portable, ce sera comme si vous lui arrachiez le cœur et il se suicidera ou deviendra prêt à tuer pour le récupérer. C’est un signe et pas un bon.
Au niveau du sexe, on a même vu des drag-queens, des transgenres ou des transsexuels dans des écoles élémentaires ou maternelles envoyés pour faire la promotion de nouvelles pseudo-normes de sexualité ou de genre, sans consultation ni accord des parents, bien sûr!
Parents horrifiés par les récits de leurs enfants une fois rentrés à la maison, selon lesquels récits un petit garçon, c’est une petite fille et inversement et que n’importe qui peut changer de sexe à tout moment et choisir s’il veut être un homme ou une femme et que deux papas ou deux mamans peuvent très bien servir de parents à des enfants et les aimer, etc.
Le tout prêché par des non professionnels de l’éducation et de l’enfance à des enfants totalement dans l’incompréhension, hébétés pour la plupart et finalement et heureusement peu touchés par ces délires en contradiction avec les lois de la nature.
On constate là le niveau terrifiant d’effondrement de notre enseignement public qui a totalement perdu le contrôle des choses et la foi en sa mission quasi sacrée de transmettre des connaissances universelles et un savoir utile à toute notre jeunesse. Bien sûr, la gauche destructrice n’est pas bien loin derrière tout ça. Mais la gauche c’est un peu comme une maladie honteuse qui frappe où elle veut et quand elle veut et passe ensuite à autre chose.
Pour revenir à la nature, j’en ai déjà parlé dans un article précédent en l’évoquant comme la seule chose normale, logique et rationnelle à laquelle nous devons nous raccrocher et nous référer lorsque tout nous semble obscur et embrouillé.
La nature, depuis des milliards d’années, n’a permis aux espèces animales et donc à l’homme de se reproduire que selon un schéma très simple et universel qui est qu’un homme et une femme ou un papa et une maman peuvent avoir des enfants et sûrement pas autrement.
Pour cela, on n’a même pas besoin d’être marié!
Le mariage est une institution religieuse et/ou civile sociale qui a pour raison d’être la reconnaissance par la société ou la communauté de l’engagement ou de l’alliance d’un homme et d’une femme à s’unir définitivement pour fonder une famille et pour avoir des enfants et les élever jusqu’à leur âge adulte.
Le mariage est donc un acte important accompli devant tous qui a aussi pour but de protéger les enfants qui en seront issus, au cas où leurs parents mourraient ou ne pourraient plus s’occuper d’eux.
La mariage assure aussi que la société reconnaît que les enfants qui naîtront de cette union seront bien considérés comme ceux de leurs parents légitimes et seront protégés par la société.
UN PAPA, UNE MAMAN ET DES ENFANTS.
C’est la norme de toutes les sociétés humaines depuis des centaines de milliers d’années. La norme, c’est ce qui est reconnu, accepté et admis comme étant " normal " dans toutes les sociétés humaines dans le cadre de leurs lois, de leurs coutumes et de leurs cultures, qu’il s’agisse de la famille, de la tribu, du peuple ou de la nation.
Aujourd’hui, soudainement, certains groupes humains hors norme et déjantés (gauche, wokistes et autres dégénérés prétendument insoumis) voudraient remettre tout ça en question, après des milliers d’années d’histoire, de culture et de civilisation…!
Ils invoquent leur liberté tout en niant et en mettant en péril la liberté des autres, leur droit tout en l’imposant aux autres, leur mode de vie tout en voulant faire disparaître celui des autres.
Ils sont nombreux à être dans l’erreur et l’anormalité et à diffuser leur idéologie fanatique destructrice. Ils portent un drapeau multicolore prétendant défendre la notion de diversité sexuelle ou de genre au mépris des dangers de chaos sociétaux qu’ils veulent imposer aux autres. Ce sont des intégristes fanatiques également utilisés par certains courants politiques destructeurs pour déstabiliser et fracturer nos sociétés.
Ils veulent banaliser et imposer au monde l’idée que deux hommes liés entre eux ou deux femmes liées entre elles par un lien sexuel et éventuellement affectif, un quelconque pacte de solidarité ou un mariage absurde bafouant et salissant tout ce que représente la véritable institution du mariage depuis des millénaires (le mot mariage signifie "donner un homme à une femme", lui donner un mari et donc la marier à cet homme), peuvent constituer un couple…
En réalité, il ne s’agit aucunement de couples mais plutôt de paires, sont à même d’élever des enfants au même titre et avec les mêmes résultats que de vrais couples naturels homme-femme qui sont dans le cadre de la norme humaine universellement admise.
Deux hommes ou deux femmes réunis ne peuvent pas être mariés mais seulement appariés (paire).
Mais de quels enfants s’agit-il?
Tout simplement d’enfants qu’ils feront procréer par d’autres personnes (PMA ou GPA, si la loi le permet ou par fécondation et grossesse libre monnayée) ou encore pour les autres par fécondation de l’une des deux par un mâle choisi ou par un donneur anonyme. Et enfin par l’achat de bébés volés dans d’autres pays, notamment de l’Est, spécialisés dans ce trafic.
Autant dire que déjà les origines de ces enfants seront le plus souvent troubles et non traçables, au plus grand mépris du fait qu’un enfant devenu adulte aura peut-être l’envie et le droit de connaître légitimement la vérité sur ses deux vrais géniteurs et donc ses origines.
Il s’agit là de pratiques que l’on ne peut pas encourager et que l’on doit même interdire afin de respecter le droit des enfants à pouvoir connaître leurs origines et leur généalogie.
Je pense que seule la PMA, la Procréation Médicalement Assistée, qui enrichit déjà pas mal le corps médical, doit être autorisée par la loi dans le cadre très strict et encadré d’assister des couples légitimes mariés stériles et donc dans l’impossibilité de procréer naturellement.
Ce que propose et veut imposer le lobby à la bannière arc-en-ciel soutenu par la gauche et le wokisme est malsain et malhonnête.
Tous les acteurs politiques et publicitaires de France nous abreuvent de paires de parents du même sexe et très souvent d’origines raciales différentes afin de favoriser le mélange des races et la dilution/disparition de toutes.
Ce ne sont pas les races, ni les ethnies, ni les nationalités qui sont le problème, mais la juxtaposition de cultures dissemblables, opposées et sans rien en commun entre elles qui sont incapables de vivre côte à côte tant leur haine des autres est exacerbée.
Pour en revenir à ces innombrables catégories sexuelles étrangement rassemblées sous ce fameux drapeau arc-en-ciel, tout ce qu’on peut en observer et en dire, c’est qu’elles n’ont rien à apporter au monde à part des troubles, du chaos et des nuisances à la société humaine traditionnelle et que personne ne les a invitées à s’agiter publiquement et sans la moindre vergogne dans des tenues, des attitudes et des postures provocantes et choquantes pour beaucoup de personnes attachées à des valeurs anciennes et unanimement acceptées par nos ancêtres.
Que des personnes aient des attirances et des préférences sexuelles personnelles différentes de la norme naturelle communément admise et pratiquée depuis toujours et veulent exercer ces différences avec des partenaires qui leur ressemblent LGBTQRIA… (lesbiennes, homosexuels gays (sodomites), bissexuels, transsexuels, transgenres, indécis – en questionnement), etc. Ces personnes, donc, ont leur place dans la vie et dans la société, mais leurs attitudes publiquement provocantes, exubérantes, exhibitionnistes, choquantes pour certains et surtout pour les enfants qui n’ont pas à connaître cela et dont c’est notre rôle à tous de les préserver de ces choses.
Ces gens prétendent des tas de choses invraisemblables pour avoir le droit de se montrer comme ils sont.
Mais d’autres estiment que l’on n’a pas le droit d’être provocant, vulgaire ou agressivement dérangeants et que les personnes normales hétérosexuelles vivent une vie sexuelle tranquille et discrète et ne font pas de manifestations de mauvais goût pour exhiber leurs préférences sexuelles.
Elles ont bien mieux à faire dans la vie.
Que font dans la vie ces gens-là, obsédés par le sexe, par une sexualité explosive et débridée qui les ronge et l’exhibition de leurs penchants? Je ne sais pas. Travaillent-ils ou simplement vivent-ils de la générosité de l’État à travers ses subventions à tous les indigents, malheureux, malchanceux, handicapés et anormaux soutenus par la gauche socialo-communiste qui y trouve des suffrages…?
Ce que je sais, pour en avoir vu beaucoup défiler devant les tribunaux, c’est que ces personnes sont le plus souvent malheureuses, tristes, désenchantées, dans le regret profond d’avoir pris des engagements ou des décisions sans retour possible, d’avoir détruit leur corps par des chirurgies et mutilations définitives volontaires abjectes et dramatiques (qui devraient être interdites) et gâché toute leur vie pour des pulsions sexuelles qui leur sont d’autant plus vite passé que lorsqu’on use des choses avec excès, on se lasse plus rapidement et on finit par se retrouver seul et profondément déprimé. La période d’apogée de la sexualité est relativement brève dans la vie et ensuite elle retombe à un niveau plus modéré. C’est alors que les regrets surviennent et entraînent des troubles psychiatriques qui conduisent à la dépression, à la solitude, à l’alcoolisme ou à la drogue et plus tard au suicide.
Ils ne sont pas heureux et quelques films et chansons ont dépeint ce malaise qu’ils finissent tous par ressentir de ne pas être simplement comme tout le monde. Mais il est alors trop tard.
Une chanson de Charles Aznavour titrée "Comme ils disent" en particulier, déjà assez ancienne, décrivait le mal-être profond de ces personnes.
Vouloir être différent, à part, original et rejeter le monde et la société normale finit toujours par le rejet de la société envers ceux qui ont eux-mêmes choisi de vivre ainsi à l’écart.
Oh, bien sûr, je le sais mieux que personne, des lois ont été votées pour protéger ces personnes et leur donner des droits parfois excessifs, interdire de les critiquer, de les rejeter et de leur faire du tort et je suis d’accord sur le fond, si ce n’est que rien ne sera jamais acquis pour ces gens et que d’autres viendront aux affaires et abrogeront les anciennes lois pour en adopter de nouvelles…
Le sexe n’est qu’une petite part de la vie biologique et ne doit pas être le centre de toutes choses. Le sexe est destiné à la reproduction, à avoir des enfants et ensuite la charge et la mission de les élever, de les éduquer et de les accompagner dans leurs apprentissages jusqu’à ce qu’ils deviennent eux-mêmes des adultes.
On oublie trop souvent les lois de la nature.
Dans mon premier article, j’avais évoqué en quelques lignes ce que l’on appelle le droit naturel.
Le droit naturel, sur lequel repose tout le reste de notre droit, respecte la vie et la protège. Mais il ne prend pas en compte les déviances et anomalies mentales ou physiques des uns et des autres, les inversions, les perversions et les délires de certains, car cela finit toujours pas ouvrir la porte à des abus.
Ce qui est hors norme nuit toujours à notre société humaine.
La reproduction tend à transmettre le meilleur de nos caractères biologiques à nos enfants. L’espèce est programmée pour toujours se renouveler en éliminant les anomalies et en s’enrichissant et en s’améliorant d’apports de caractères génétiques nouveaux.
Ce qui ne peut se faire que par la diversité du choix des possibles reproducteurs et le fait que chacun recherchera de préférence, instinctivement, celui qui lui semblera le plus éloigné de lui-même.
Cela rejoint la loi de Darwin dans le cadre de la sélection naturelle.
Dites-moi ce que deviendrait l’espèce humaine si chacun faisait ce qu’il veut et n’importe quoi et à n’importe quel prix dans la consanguinité permanente, la peur et le refus des femmes de se marier et d’avoir des enfants, le refus des hommes d’avoir des enfants et la transmission croissante de tares et d’anormalités graves de génération en génération?
Sans doute une espèce dégénérée, difforme, altérée par d’innombrables tares et pathologies, psychiatriquement délabrée et une civilisation en voie de pur effondrement et disparition.
Cela dit, rien n’empêche des personnes majeures qui le veulent (à l’exclusion légale et pénale de tout participant mineur) d’avoir une sexualité alternative, inversée, à plusieurs, en groupe (parties), ou contraire à la norme naturelle tout en restant dans le consentement et l’intégrité physique des participants, mais la moindre des choses est de s’adonner à ces pratiques dans un contexte de discrétion totale et loin de toute visibilité publique.
Cela doit se passer dans le cadre de la stricte vie privée et loin des regards et de la connaissance des autres.
Juge ALBAN
Ce "juge" est vrai juge, à la retraite